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    Après les trois « décisions » de Francis CARBONNEL et les « avis » de son « Jiminy Cricket » Sabine ENCONTRE, il m’a fallu encore cinq mois pour être totalement convaincue de ce dont j’avais été le jouet. Je résistais, naïve !! ; je ne voulais pas croire qu’un Président de Tribunal Administratif et son « associée » puissent être grossièrement corrompus, jusqu’à la moelle, dans notre belle « démocratie »…

    Affaire Francis CARBONNEL/René-Paul VICTORIA /Hilaire GRONDIN…

     Une fois ce diagnostic posé, c’est parti ! Sous la forme de ce courrier du 23 Octobre 2007 au Président Francis CARBONNEL :

     

    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

     

     

    La réponse de Francis CARBONNEL a été plus rapide que sa programmation du règlement de mon « contentieux » (sic) avec les GRONDIN/VICTORIA ; elle a jailli par retour de courrier du 25 Octobre 2007 ci-après dont je vous laisse apprécier la qualité : juste un petit avertissement de type mafieux afin de montrer qui est le boss…

    Affaire Francis CARBONNEL/René-Paul VICTORIA /Hilaire GRONDIN…

     

     

    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

     

     

    La « qualité » de ce texte m’a amenée à saisir la hiérarchie de Francis CARBONNEL, le Chef de la M.I.J.A. ( Mission d’Inspection des Juridictions Administratives) le Conseiller d’État Marc DURAND-VIEL ; lequel partage avec nos deux lascars-peï le contenu de la « Charte de déontologie des membres de la Juridiction Administrative », pleine de beaux principes dont l’  « indépendance » et l’ « impartialité » !!!  - Fax du 05 Novembre 2007 :

    Affaire Francis CARBONNEL/René-Paul VICTORIA /Hilaire GRONDIN…

     

     

    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

     

     

    Là, encore, la réponse n’a pas traîné venant d’un de ces astres morts qui se raniment à l’idée de pouvoir, en trois « gros mots », mater mon début de rébellion. Il est clair que le « conseiller » n’imaginait pas qu’une justiciable présente une « réclamation » et de surcroît joue les raisonneuses… -  Réponse de Marc DURAND-VIEL du 07 Novembre 2007 :

    Affaire Francis CARBONNEL/René-Paul VICTORIA /Hilaire GRONDIN… 

     

    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

     

     

    Ma réplique du 11 Novembre 2007 ci-après mettra un point final à notre correspondance :

    Affaire Francis CARBONNEL/René-Paul VICTORIA /Hilaire GRONDIN… 

     

    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

     

    Mais le « Grand Magistrat- petit moralisateur » CARBONNEL n’a pas mis ses menaces « d’ « actions judiciaires » à exécution. Il a préféré transférer sa vengeance (Oui, oui, dans ces milieux-là on se venge !) à son petit protégé VICTORIA (C’est fou les petits services qu'on se rend dans ces milieux-là…)

    Mes lecteurs connaîtront bientôt l’ampleur des représailles : ma lettre du 23 Octobre 2007 a dérangé un gros nid de « frelons » qui s’est mis, rageusement, à bourdonner, tous Ordres et Juridictions confondus. Au point que l’année 2008 a été pour moi, toute seulette, une année intensément judiciaire (les détails ne tarderont pas à s’exposer, ici, sur ce blog…) mais pas assez prenante pour que j’oublie de saluer le « Grand Magistrat » lors de son départ pour Toulouse. Mon Fax du 13 Août 2008 ci-après :

    Affaire Francis CARBONNEL/René-Paul VICTORIA /Hilaire GRONDIN… 

     

    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

     

     

    Le temps est passé, toujours lourdement occupé, pour moi, par les suites des « décisions » du « Grand Magistrat » CARBONNEL le « discret, modeste et très respecté » (sic- le Quotidien) « ancien président du Tribunal administratif de St Denis ( 1996 -2008) » (sic) le Quotidien du 27.07.2011, pour valoriser la personne du Grand Prêtre de « Kaloo Bang »… 

    Plus de quatre ans après notre ultime contact, un beau soir, en St Denis de la Réunion, de façon impromptue, j’ai retrouvé face à moi le triste individu qui, en l’an de grâce 2007,avait fait le choix de voler ma vie et celle des miens pour sauver la face du petit voyou VICTORIA et de sa misérable clique…

    Cette rencontre inopinée du 17 Novembre 2011 a donné lieu à une séance originale, en public, décrite dans ce « Courrier des lecteurs » du journal en ligne « ZINFOS 974 » - Article « Juliette CARANTA-PAVARD à Francis CARBONNEL ex-Président du Tribunal Administratif de la Réunion » du jeudi 01 Décembre 2011, ci-après :

    Affaire Francis CARBONNEL/René-Paul VICTORIA /Hilaire GRONDIN… 

     

    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

     

     

    Pour terminer ce chapitre j’ajouterai :

    *Que le « QUOTIDIEN de la Réunion » a été, au fil des ans, ponctuellement tenu au courant par mes soins, de tous les « événements » se rapportant à l’affaire H.GRONDIN/R.-P.VICTORIA/G.ANNETTE et du rôle majeur qu’y a joué Francis CARBONNEL, Président du Tribunal administratif d’alors. Sans réagir.

    *Que, néanmoins, ce même « QUOTIDIEN » a éprouvé le besoin de « valoriser » l’image du Président de l’Association « 21 DEGRÉS SUD », le grand ordonnateur de la manifestation « KALOO BANG » Francis CARBONNEL, en faisant référence à ses anciennes fonctions de Magistrat ; avec, je le présume, l’assentiment de ce dernier…

    *Que ces références rappelaient que le Président de « 21 DEGRÉS SUD » était l’ « ancien Président du Tribunal administratif de St DENIS [ 1996 - 2008 ] » (sic. Le QUOTIDIEN des 27 Juillet et 31 Août 2011)

    *Que l’utilisation qu’a voulu  faire le journal de cette référence me contraint à apporter un juste et salutaire correctif en dévoilant la véritable personnalité de Francis CARBONNEL.

     Je précise, enfin, que le chapitre « AFFAIRE CARBONNEL… »  n’est en rien clos. Ceci, au regard des multiples interférences de ce premier volet  dans le déroulement « à rallonges » de l’affaire H.GRONDIN/R.-P. VICTORIA/G. ANNETTE. Au fil de ce blog, il est inévitable que le nom du « Grand Magistrat » CARBONNEL revienne régulièrement en rappel dans cette extravagante histoire…

     

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    Francis Carbonnel, Ex-Président du Tribunal Administratif de la Réunion, « Grand magistrat, discret, modeste, très respecté… - d’une grande rigueur… ». (Le Quotidien de la Réunion du 19 Juillet 2008) – Ah ! , ah ?

     « C’est le loup ! », ainsi s’écrie mon petit-fils, 3ans, découvrant – sur mon ordinateur, plein écran-couleur -  le portrait toulousain du Président CARBONNEL. L’exclamation a fusé ! Il veut parler (Il me plait de le croire…) du loup des « Trois petits cochons », celui qui se déguise ridiculement, espérant tromper ceux d’en face…

    Quelle irrévérence, déjà !! Qui m’amène à parler des déguisements de notre ex-Président de Tribunal Administratif, désormais à la retraite. Parler du « look » de ce « grand magistrat » peut sembler léger ; mais un « look » n’est jamais tout à fait innocent, n’est-ce-pas ?

    *ICI, à la Réunion, Francis CARBONNEL affiche, malgré la gravité de sa fonction, un look décontracté, « cool », ses longs cheveux artistement disposés, teints ( !) en blond vénitien sale ; un look très contrasté avec le masque dur et froid qu’il arbore lorsqu’il officie sur son estrade -  lui, le Président, en personne – dans la remarquable affaire Hilaire, Karine et David GRONDIN/René-Paul VICTORIA…

    *Déporté à Toulouse – après avoir sévi 12 ans à la Réunion… - « La Dépêche du Midi » annonçant sa prise de fonctions, nous le révèle sous un jour bien différent : veston, cravate club, coupe militaire aux cheveux sagement grisonnants, sur le visage, une expression amène ; transfiguré !! Et ce qu’il y a de plus amusant c’est que je suis sûrement à l’origine de cette transformation ; jugez plutôt : (Lire ici) 

    Ainsi, pour ce «  Grand Magistrat » tout se réduit à une apparence. Apparemment, Francis CARBONNEL est un Magistrat, un Président de tribunal qu’on ne pourrait imaginer autrement qu’impartial et intègre ; pourquoi pas ? Las !!

     

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    La première chose que nous avons apprise, en 1971, en nous fixant dans le quartier, c’est que nous nous dotions, en même temps, d’un voisinage pour le moins inquiétant : M. Hilaire GRONDIN, notre plus proche voisin, avait, deux ans auparavant, tué froidement son épouse et blessé l’amant ; avec préméditation. Un assassin ! – pas tout à fait le genre de proximité espérée par une famille avec deux très jeunes enfants … Et plus grave encore, ledit assassin – comparaissant libre ! – avait été acquitté de ce crime, sous les applaudissements de la foule !! (Journal de l’île du 16 décembre 1970)

    Imaginez l’effet que peut produire sur tel individu, l’approbation de la Justice et du public « légitimant » de tels actes !

    Ainsi, en 1970, ICI à la Réunion, l’infidélité méritait la mort pour LA coupable et l’assassin, auteur d’un « crime passionnel », s’attirait une unanime sympathie…

    Pendant plus de 30 ans, nous n’avons jamais perdu de vue ces faits, tous ces faits ; d’autant qu’Hilaire GRONDIN se posait en homme très sûr de lui et de ses «  droits » de voisin…Nous avons donc fait en sorte de tenir de fermes distances avec ledit voisin ; moyennant cela, aucun problème majeur n’est survenu durant cette période. Nous étions loin de nous imaginer, alors, que les « problèmes majeurs » surgiraient des décennies après…

    À mon insu, Hilaire GRONDIN et ses deux enfants adultes (David, né le 31.07.1975 et Karine, née le 24.07.1982) avaient prémédité, dès 2004, de construire pour ces deux derniers un immeuble accolé à ma propriété. Ce projet était délibérément concocté pour se réaliser hors lois et règles, tant au point de vue technique que légal, et – bien entendu – sans permis de construire ; tout cela avec l’aimable « permission » du Député-Maire d’alors, René-Paul VICTORIA ; « permission » qui a été par la suite prorogée, en 2008, par Gilbert ANNETTE, nouveau maire de St DENIS, garant du bon achèvement du chantier…

    (Dans le cadre de cette affaire, David et Karine GRONDIN, dignes enfants de leur papa, se sont rendus coupables de faux et d’usage de faux ; toujours avec la même aisance !)

    L’immeuble HORS LA LOI  - ô combien ! -  dont la construction a été engagée début  Décembre 2005,  a été achevé en force, en 2010, avec la complicité des deux maires de St DENIS,  du Préfet MACCIONI, via le service de la Légalité de la Préfecture, mais aussi du Préfet Michel LALANDE et enfin, de celle du Président du Tribunal Administratif de la Réunion d’alors, Francis CARBONNEL – magistrat  corrompu  -  en collaboration avec la «  Commissaire du Gouvernement- Rapporteur Public »… Sabine ENCONTRE…

    Ces deux derniers personnages-clé  dans l’affaire GRONDIN/VICTORIA/ANNETTE feront l’objet d’un prochain chapitre.

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  • 1°- Les acteurs et soutiens de la corruption disposent d’une grande liberté de mouvement et de décision, aidés par la triste « Servitude volontaire » dont la majorité silencieuse n’est pas près de se défaire. Paradoxalement – ou pas – la violence est reine ICI.

     2°- La Mafia réunionnaise n’a pas de chefs, pas d’organisation ; les contacts utiles s’établissent, plaisamment, au cours des nombreux raouts « mondains », à la Préfecture, dans les Palais de Justice et autres administrations.

     3°-Cette Mafia implique et compromet – ouvertement, délibérément – TOUS les pouvoirs locaux ; dont, les principaux : l’ÉTAT, LA JUSTICE, LES MÉDIAS ET … L’ÉGLISE CATHOLIQUE.

     4°- Aucun des médias locaux, pourtant bien au fait de cette gangrène, n’y fait allusion ; bien au contraire, ils s’autocensurent pour ne pas déplaire et conserver ainsi le juteux marché de la publicité dont les politiques réunionnais sont prodigues. Pas de « liberté de la presse » donc, ICI, à la Réunion, où par surcroit, la Justice est très, très sévère en cas de « diffamation » ; alors, autant être prudent…

    5°- La «  Mafia », version locale, ne produit aucun « repenti ». Jamais un ( ou une…) de ses affiliés n’a à faire acte de contrition ou doive faire repentance pour les préjudices portés à la société réunionnaise ; ils gardent, fièrement, leur défroque sale toute leur vie ; rarissimes sont ceux qui sont condamnés à la mesure de leurs délits, maintenant moins que jamais. La Magistrature-peï, odieusement corrompue, est très compréhensive… Les Préfets-peï – grands amateurs d’ « ordre public » et de « paix sociale »  - dans les limites de leur séjour – satisfaits…

    6°- Enfin, la Mafia réunionnaise est une Mafia «  douce » : elle ne tue pas ; pas directement… Sa spécialité mafieuse est la persécution, concertée entre TOUS les pouvoirs, organisée et programmée avec les moyens de la collectivité. Appliquée et insistante, elle peut s’exercer sur le long terme…

    7°- En clair, la « Mafia » réunionnaise n’est pas une « Honorable Société » qui s’assume mais un climat fait de connivences, de mépris des autres, de petits « arrangements » et d’abus en tous genres.


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    À cause de sa neutralité, il m’a paru intéressant de publier d’abord l’ « Histoire » racontée par un tiers non concerné mais néanmoins informé.(« Défendre son droit à la Réunion » - par Didier MÉRY) .

    Le document qui suit, plus précis, détaille l’histoire, de son point de départ le 03 Décembre 2005 (Ouverture du chantier GRONDIN) jusqu’au 10 Décembre 2010, où, ayant rassemblé mes esprits, j’ai pu enfin clairement diagnostiquer le FAIT de CORRUPTION AVÉRÉ, nourri par la complicité flagrante de TOUS les pouvoirs locaux. (J’avais rédigé ce document, en Décembre 2010, sur demande de Christian VITTORI, Éditions Azalées – pour servir d’introduction à une espèce de « WIKILEAKS 974 » dont j’avais à fournir la matière à M. VITTORI qui se chargeait,  lui, de la diffusion ; le projet n’a pas abouti M. VITTORI s’étant rétracté…).

     

    URBANISME REGLEMENTAIRE

    DE LA VILLE DE SAINT-DENIS

    DE LA REUNION

    ***************** 

     

    Affaire Hilaire, David et Karine GRONDIN / René–Paul VICTORIA / Gilbert ANNETTE :

     

    ü CONSTRUCTION ILLEGALE

    ü PERMIS DE CONSTRUIRE DE COMPLAISANCE

    ü CONSTRUCTION NON CONFORME

    ü FAUX ET USAGE DE FAUX

    ü CLIENTELISME - FAVORITISME

    ü FRAUDE FISCALE

    ü ETC…ETC…

     

    « Si vous saviez, Madame, ce qui se passe dans ce service ! » - Novembre 2005 – Un agent du service de l’Urbanisme Réglementaire de la Mairie de SAINT DENIS de la RÉUNION …

     

     *****************

     

      BREF RÉSUMÉ du POINT de DÉPART de l’ « AFFAIRE » …

     

    * Le 03 Décembre 2005 : 

    Mes voisins, les consorts GRONDIN, ouvrent un chantier en limite de ma propriété. Après d’importants terrassements, ils engagent la construction d’un immeuble ; sans qu’apparaisse l’affichage légal d’un permis de construire… 

    * Le 18 Avril 2006 : 

    Je prends mon premier contact officiel avec l’Urbanisme réglementaire de la mairie de Saint-Denis. J’y apprends que les GRONDIN ont déposé une demande de permis de construire, le 05/12/2005. Restée sans réponse, à ce jour. 

    Du 24 au 27 Avril 2006 : 

    J’adresse, de plus en plus alarmée, 16 fax de signalement à l’Urbanisme réglementaire de la mairie de Saint-Denis, lequel ne bouge pas ! 

    * Le 27 Avril 2006 : 

    Je saisis par lettre recommandée avec accusé de réception, le maire de Saint-Denis, René-Paul VICTORIA, et je dépose plainte auprès du procureur de la République, François MUGUET (ladite plainte, réitérée, sera classée sans suite le 23/08/2007…). 

    * Le 27 Avril 2006 : 

    Sur mon signalement, un journaliste du JIR intervient auprès de l’Urbanisme réglementaire et, par ce simple fait, contraint la mairie à réagir (la construction est largement engagée : fondations, première dalle, façades, dont l’une en limite extrême de ma propriété…). 

    * Le 27 Avril 2006 : 

    10 jours de « réflexion » y ont été nécessaires, mais les choses se précipitent :

    -          Brigitte LAMY, directrice de l’Urbanisme réglementaire, ainsi que la police municipale, viennent sur place « constater » l’illégalité du chantier et le non respect du PLU de Saint-Denis ;

    -          un arrêté interruptif de travaux est pris, le jour même, contre ce chantier. 

    * Le 30 Avril 2006 : 

    Sous le titre « permis tardif mais bafoué », le JIR révèle l’histoire… 

    * Le 04 Mai 2006 : 

    La demande de permis de construire, déposée le 05/12/2005 est rejetée sous la signature de l’adjoint délégué à l’urbanisme de la mairie, Dominique FOURNEL – entre autres motifs du refus, « pour incohérence » (sic). 

    * Le 06 Juin 2006 : 

    Un courrier de Dominique FOURNEL me confirme, par le détail, les dispositions prises contre cette réalisation ; hormis la démolition de l’existant hors la loi… Le chantier reste en sommeil pendant les 8 mois qui suivent. Il se confirme qu’aucune décision n’est prise pour faire procéder à la destruction de ce qui existe, illégal, irrégulier (ô combien !) et… « incohérent » (sic).

    * Le 26 Novembre 2006 :

     Je m’absente du département et ne rentrerai que le 03 Mars 2007 (ce détail a une importance capitale dans ce qui va suivre).  

    * Le 27 Décembre 2006 : 

    Un permis de construire, signé Dominique FOURNEL, est délivré aux GRONDIN. Manœuvre ayant pour but de permettre à ces derniers de continuer les travaux engagés hors lois et règles.

    Présenté, administrativement, comme un « projet » grâce à la complicité, es qualité, d’un architecte et par le biais d’un faux, établi de concert par les GRONDIN et leur artisan (entreprise SINABAT). Soit un « procès-verbal de commencement de travaux » qui, en date du 03/01/2007, atteste que le chantier « …débute le 03/01/2007 », 7 jours après l’attribution du permis de construire du 27/12/2006, un an après le vrai « commencement de travaux » le 03/12/2005 (c’est très grossier, mais ces nouveaux délits feront foi et donneront satisfaction – on le verra –  à Francis CARBONEL, président du tribunal administratif). 

    * Le 07 Mars 2007 : 

    Je saisis le tribunal administratif de ce qui précède, présentant 2 requêtes en référé suspension et 1 requête en annulation du permis de construire du 27/12/2006. L’affaire a été jugée par le Tribunal Administratif du 07 Mars 2007 au 15 Novembre 2007. Je suis déboutée partout, partout ! par le président Francis CARBONNEL, lequel complète son œuvre en me condamnant à verser 1000 Euros de « dédommagement » à la mairie de René-Paul VICTORIA. La décision se veut dissuasive… 

                                       

                                               **************** 

     

    Ainsi débute le Volet Pénal de ce qui va devenir l’ « affaire Juliette CARANTA-PAVARD » (sic) par la subtile et souveraine définition du procureur général Raymond DOUMAS (confirmée par son courrier du 25/11/2008). Il n’y a plus, il n’y a jamais eu, une « affaire GRONDIN/VICTORIA/ANNETTE ». Pourquoi Gilbert ANNETTE ? Parce que le successeur de René-Paul VICTORIA à la mairie de Saint-Denis a eu à cœur d’accompagner de sa bienveillance l’achèvement de l’immeuble GRONDIN, objet d’une procédure pour le délit de non-conformité auprès du procureur de la République, Richard BOMETON… 

     

                                               *****************

    Pour terminer, je crois utile d’ajouter que, ayant moi-même déposé le 04 Octobre 2004, à l’Urbanisme réglementaire de Saint-Denis, une demande de permis pour reconstruire, à l’identique, le rez-de-chaussée familial à Bellepierre, j’ai eu la surprise de découvrir un traitement de ce dossier plus que surprenant de rigueur. J’ai dû, alors, affronter les très lourdes tracasseries de la directrice de l’Urbanisme réglementaire, Brigitte LAMY, ce, avant, pendant et après la réalisation de ce projet (lequel avait été programmé et conduit de ma part, en parfaite transparence administrative et légale). Je ne comprenais pas pourquoi… Jusqu’à la révélation des actes délictueux de mes voisins GRONDIN et des délits avérés de leur « protecteurs » de la mairie de Saint-Denis (le député maire René-Paul VICTORIA et son successeur à la mairie Gilbert ANNETTE) qui m’ont prouvé que tous les dossiers de permis de construire n’étaient pas traités d’égale façon, bien loin s’en faut !! 

    Sans conteste, l’ « amitié » s’en mêlait… 

    Suffoquée par la découverte de cette incroyable discrimination, je me suis appliquée – confiante en la JUSTICE de mon pays – à prospecter TOUS les moyens susceptibles de rétablir DROIT et égalité de traitement dans cette première affaire. EN VAIN ! 

    INEXPLICABLEMENT – au nom du DROIT ! – j’ai été – je le répète – déboutée partout, partout ! Et, par surcroit, persécutée à l’infini par un ennemi innombrable, et lourdement condamnée, en « coupable ébahie…, sur plainte des voyous municipaux (René-Paul VICTORIA, député maire, Dominique FOURNEL, élu en charge de l’Urbanisme réglementaire, Etienne CHARRITAT, directeur général des services et, accessoirement, président de l’ordre des architectes…) et Brigitte LAMY, directrice de l’Urbanisme réglementaire !!). La JUSTICE-PEÏ parlait… 

    Engagée en résistance et en justes dénonciations, seule, face à tous les pouvoirs locaux, ayant uni leurs efforts et rassemblé leurs moyens pour me « calmer » (sic, Police nationale, janvier 2008), j’ai enfin compris qu’à partir de ce cas particulier – « Un problème de voisinage » (sic) m’assurait le préfet MACCIONNI dans son courrier du 07/09/2007 – nous allions vers un « général » explosif touchant les très graves dérives urbanistiques de TOUT le département ! 

    J’ai enfin compris qu’il était URGENT pour ces pouvoirs de continuer à les camoufler, à n’importe quel prix. Au risque, sinon, de nuire, par l’application de la Loi, à l’économie souterraine de l’île. 

    Au risque, aussi, et ce n’est pas anodin, de mettre au grand jour le rôle des pouvoirs locaux dans la pérennisation de ce système frauduleux. Rôle compromettant gravement l’ÉTAT et ses services (DDE, Services fiscaux, police, etc…), la JUSTICE (ordre administratif  et judiciaire, bras armés de la corruption…), l’ÉGLISE CATHOLIQUE (…) et les MÉDIAS (en particulier la presse écrite, JIR et QUOTIDIEN, férocement concurrents, mais unis dans ce cas par une complicité de silence sans faille… L’OMERTA). 

    Alors, comment comprendre, autrement, qu’une JUSTICE-PEÏ si douloureusement privée de moyens tels qu’encre, papier, codes, juges, greffiers, etc… (V. articles du JIR et du Quotidien novembre 2010) en ait engagés de si lourds et de si spectaculaires (en une absolue discrétion, il est vrai…) depuis mars 2007… 

     

                   …Juste pour me faire taire ???

                         Juliette CARANTA-PAVARD – St DENIS le 10 Décembre 2010

     

    N.B. : LE 26 Avril 2011, j’ai fait tenir par FAX, ce document assorti du commentaire suivant : « La copie de ce document, en 5 pages, a été transmise à Sabine ENCONTRE, «  Rapporteur Public » alias « Commissaire du Gouvernement », en 2007. Tous les deux vendus au « sistèma », elle a été la complice du Président (du T.A. …) Francis CARBONNEL dans les « jugements » proclamés en faveur du tueur de femme, Hilaire GRONDIN, protégé en ses délits par le Député-Maire, René-Paul VICTORIA. »  aux  destinataires suivants :  

    *Jean BRENIER – Président du Tribunal Administratif de la Réunion

    *Michel LALANDE – Préfet de la Réunion

    *Denis ROBERT-CHARRERAU – Procureur Général de la Réunion

    *Gilbert AUBRY – Président de la commission « Justice et Paix » de la Réunion

    *Le J.I.R. – Journal de l’Île de la Réunion

    *Le QUOTIDIEN

    *Et Libre Diffusion.

     

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    Extrait du site Internet www.didiermery.re

    Défendre son droit à la Réunion
    Par Didier Mery, samedi 25 octobre 2008 à 05:13 

    Quand on achète une maison avec un jardin à la Réunion, on n’est jamais à l’abri de la construction d’un immeuble devant chez soi (sauf si vous vivez au bord d’une ravine). Ceci est d’autant plus vrai même si vous aviez vérifié auparavant la non-faisabilité d’un tel projet par rapport au PLU de votre commune. Un règlement de zone n’est pas éternel et peut très bien être modifié.

    Je ne veux pas vous faire peur, mais il faut le savoir. 

     

     Affaire Pavard-Grondin

    Maintenant, que pouvez-vous faire si on projette de construire un immeuble en face de chez vous ? vers qui pouvez-vous tourner ? comment procéder ? vous devez faire face à des tas de questions qui s’additionnent comme les étages de l’immeuble d’en face (je sais, c’est pas drôle).

    Vous pouvez vous renseigner au CAUE, à l’association AUC mais aussi vous rendre à l’Urbanisme de votre commune, leur demander des explications.

    En attendant, permettez-moi de vous raconter l’histoire de Madame Juliette Caranta-Pavard

    Madame Juliette Caranta-Pavard a 72 ans et vit à Bellepierre, un quartier de Saint-Denis depuis + de 35 ans. Tout allait bien jusqu’en décembre 2005, le jour où son voisin a coupé les jolis manguiers et laissé place à un BOB4 pour s’occuper du terrassement. Madame Pavard n’avait aucune raison de s’inquiéter, vu qu’il n’y avait aucun panneau d’affiché, elle s’était dit que c’était sûrement dans le but de réaliser un mur de clôture. Les jours et les semaines passent, les travaux avancent et là, Madame Pavard se rend à l’évidence : il s’agit de la construction d’un IMMEUBLE et non d’un mur. Elle se rend de suite à l’Urbanisme et on lui répond que le permis de construire est à l’étude. A l’étude ? cela signifie que le voisin avait déjà commencé les travaux avant même de savoir s’il allait obtenir son permis de construire (j’ai toujours pensé qu’être sûr de soi était une qualité mais là quand même, le voisin, il a fait fort !).

    Madame Pavard, en bonne citoyenne prévient donc l’Urbanisme sur ce qui se passe près de chez elle, mais les parpaings continuent d’être montés car il n’y a aucune réaction. Déçue de la tournure des évènements, Madame Pavard décide de contacter la presse. Un journaliste du JIR mène son enquête et un article relatant les faits sortira le 30 avril 2006. Sentant le vent venir, l’Urbanisme, accompagnée de la Police Municipale viennent sur place pour arrêter le chantier le 27 avril 2006. Une semaine plus tard (le 4 mai), le permis de construire est refusé. Ni une, ni deux, il refait une demande de permis mais cette fois il s’aide des compétences d’un Architecte. Rien n’y fait, deuxième refus. A force de patience et d’obstination, le voisin réussit à obtenir ce fameux permis de construire le 27 décembre 2006. Je suis incapable de vous dire si c’est à cause du dicton « jamais deux sans trois » ou bien l’absence prolongée de Madame Pavard (partie en Métropole, voir ses petits enfants), toujours est-il que lorsque cette Dame rentre chez elle, c’est pour s’apercevoir que le recours aux Tiers de 2 mois est caduc.

    Beaucoup d’entre nous, aurait déjà jeté l’éponge mais il faut reconnaître une qualité à Madame Pavard, celle de ne jamais renoncer. Forte de son droit, elle présente 2 requêtes en reféré suspension qui seront rejetés (ainsi que la requête en annulation du Permis de Construire) par le Tribunal Administratif en 2007. Cependant, Madame Pavard est toujours en litige avec son voisin, car il réclame maintenant le « droit » d’accéder chez elle pour terminer l’étanchéité de sa façade en justifiant donc de son « droit » du « tour d’échelle ».

    Affaire Pavard-Grondin

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Aujourd’hui Madame Pavard a des problèmes avec la justice car en essayant de défendre ses droits de citoyenne, elle s’est mise à dos certaines personnes haut-placées qui la portent depuis un an, en diffamation devant les Tribunaux. Justice, Justice….Audiences le 30 octobre et le 06 novembre…

    L’histoire de Madame Pavard est bien sûr l’exemple d’un cas extrême, il ne faut pas oublier que cela peut arriver à n’importe qui…

     

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    • Après sept ans d’immersion dans les arcanes de la « Mafia » réunionnaise. Après sept ans de silence mafieux, je veux « casser » l’Omertà.
    • Pour émerger de la censure pratiquée, ICI, à la Réunion, je me vois dans l’obligation d’avoir recours à l’Internet…à l’instar des dissidents-résistants des régimes autoritaires… !

    • La « Liberté d’Expression », je veux lui donner tout son sens, toute sa dimension ; et toute sa valeur ! Et, ainsi aller plus loin que je ne l’ai déjà fait dans le devoir de dénonciation.

    • Depuis sept ans que dure cette « affaire », j’ai toujours assumé tous mes dires, tous mes actes et signé de mes noms tous mes écrits. De même, toutes les personnes ayant figuré dans cette affaire, à quelque titre que ce soit, l’ont été sous leur identité et, ensuite, en leur titre ou fonction.

    • Notre Préfet actuel, Michel LALANDE, affirme que nous sommes, ICI, à la Réunion, «  en pays de droit » (sic). J’ai la «  naïveté » de le croire…

       

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  • Tous les faits et leurs conséquences touchant la construction illégale à la Réunion.

    * Quelques faits : 

    * La construction sans permis de construire ; « sauvage » et hors normes elle est une pratique courante et délibérée, ICI, à la Réunion. 

    Les permis de construire de complaisance, attribués d’emblée, hors règles de l’urbanisme, ou délivrés a posteriori, une fois la construction sciemment engagée ou même carrément achevée, hors normes et sans permis de construire « préalable »…

    Les « Régularisations » automatiques et abusives sur des constructions  illégales et non conformes.( Ce qui fut désigné par le Conseil d’État comme une « possibilité » pour un cas particulier, en Octobre 1956 ( !) est devenu LA Règle, ICI, à la réunion…). 

    * Les « Permis modificatifs » réitérés pour tenter de faire « coller » la réalité à ce qui aurait dû être exigé via les procédures obligatoires… 

    L’absolue impunité couvrant et encourageant ces délits à commencer par le délit de clientélisme commis par les Maires au profit de leurs « amis » souvent nantis… Cette impunité est instituée par la magistrature locale, tant Administrative que Judiciaire. 

    Les conséquences : 

    * Gravissimes et infinies sur les voisins des délinquants ; particulièrement lourdes sur ceux qui ne sont pas d’accord et qui le manifestent haut et fort… 

    La Fraude fiscale qui découle de toute cette construction sans existence légale crée forcément un manque à gagner dans le budget des collectivités ; qui se rattrapent en…augmentant les taxes locales… au préjudice de la communauté… 

    * Par un effet « dominos », beaucoup de désordres sont créés de toutes pièces par cette  gestion  qui va bien au-delà de la malhonnêteté…

     

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  • Je me présente :  Je m’appelle Juliette CARANTA-PAVARD. Je suis née à Hyères, dans le Var, en 1936. Je suis petite-fille et fille d’immigrants piémontais des années 1914 et 1930.    ( Ma mère a été une émigrée clandestine, terrorisée, de 16 ans.  Ses parents sont morts, brutalement, tous les deux dans la même semaine, de la Grippe Espagnole, laissant seuls 6 enfants âgés de 14 ans à 11 mois ; tous ont survécu…). A l’époque, les français  « de souche » désignaient ces envahisseurs piémontais sous le nom de « Bâbi », crapaud, en Provençal.

    Il n’y a pas eu d’esclaves ni d’esclavagistes dans ma famille. A son arrivée en France en 1914, mon grand-père paternel a dû, cependant, vivre à l’égal d’un serf  sur les « domaines » viticoles des propriétaires terriens «  français de souche » varois ; l’exploitation de l’Homme se faisait à travers le dur travail de la terre. Malgré cela, parce que dans leurs villages montagnards mes ancêtres ont été des Hommes LIBRES, dans leurs gènes, ils ne l’ont jamais oublié ; la preuve…

    Ma famille a pris racine. Ces gens-là ont profondément respecté leur terre d’accueil, se signalant par leur courage à la tâche et leur honnêteté. Le jour où un courrier est arrivé  - avec le « décret-loi » annonçant que désormais le groupe familial jouissait de la nationalité française – il y a eu, toute la journée, un grand silence à la maison…

    Ma famille est (discrètement) très honorablement connue à Hyères, depuis bientôt cent ans.

    J’ai fréquenté l’école publique jusqu’à 14 ans. Mon premier métier a été la terre. A ma majorité (21 ans) j’ai sauté du champ de choux à l’école d’Infirmières et d’Assistantes sociales de la Croix Rouge de Toulon. A la fin de ma formation, j’ai été recrutée par la Caisse Générale de Sécurité Sociale de la Réunion comme Assistante sociale ; sur  un poste resté vacant depuis deux ans, faute de postulants.

    Je suis arrivée à la Réunion le 2 juillet 1962, juste après le cyclone « Jenny ». J’ai ouvert la toute première permanence sociale de la C.G.S.S. au dispensaire de P.M.I. de St Benoît, dans les mois qui ont suivi ma prise de fonctions. Pendant 35 ans d’activité, j’ai travaillé comme Assistante sociale de base, puis comme responsable du Service social spécialisé de l’organisme. En 1987, j’ai créé un Service d’Information pour la Santé et je m’y suis investie jusqu’à mon départ en retraite, en 1996.

    Durant ces 50 ans de vie au Pays, je me suis appliquée à rester digne des qualités de courage et d’honnêteté de mes aïeux et parents. J’ai choisi de terminer ce qui me reste de vie à la Réunion.

     

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  • Lors de mes premiers contacts avec la population de mon secteur, à mes clients venus à la permanence demander un « secours du gouvernement », je répondais : «  Je vois que vous avez là des fiches de paie ; nous allons d’abord voir si vous avez des droits ; si oui, je suis payée pour vous aider à les faire valoir. »

    Je n’ai pas changé d’un iota : ayant pour goût et pour habitude de me soumettre aux lois de mon pays, je préfère – toujours et partout – revendiquer des DROITS plutôt que quêter des « bienveillances ». Ces «bienveillances » tellement prisées ICI, à la Réunion, où les lois et règles sont allègrement, impunément, triomphalement bafouées…

    La Réunion où la seule loi, scrupuleusement appliquée, est la loi du silence…

    Il est donc possible de vivre des décennies, ICI, à la Réunion sans savoir. Puis, un jour votre vie ( la mienne…) bascule ; vous vous retrouvez, stupéfait, dans la tourmente, aux prises avec la « Mafia » réunionnaise !

    « La MAFIA réunionnaise ?? Mais que dites-vous là, Madame !!??

    De fait, l’île de la Réunion est , aux yeux du Monde, ce que la minorité agissante et profiteuse de l’île a intérêt de faire croire, ICI et ailleurs : une île « intense » de beauté et de plaisir de vivre ; pour TOUS !

    A l’évidence, nous ne sommes pas ICI, à Naples ou à Palerme ; la « Mafia » réunionnaise est, je dirais, une mafia de soupe populaire, style « Une louche à toi – une louche à moi ».  Cependant, le « sistema » réunionnais  fonctionne selon les mêmes pratiques que les vraies Mafias, à base d’intimidations, de menaces, de représailles et d’omertà…

    Parmi les très nombreux scandales qui éclaboussent ce département français, il y a celui de l’urbanisme « sauvage », avec ses constructions sans permis de construire ; ses bétonnages de bric et de broc – néanmoins « REGULARISES » à tour de bras par les services de l’Urbanisme Règlementaire des mairies ; ses permis de complaisance, délivrés par les mairies, au mépris des lois et règles…

    Le sujet est explosif. Mais c’est ce scandale-là qui me mobilise parce que des cas précis et flagrants de constructions illégales ont généré des faits extrêmement graves sur ma vie et sur celle de ma famille. Comme dans tout système mafieux…

    Il faut savoir que le jour où votre vie bascule, vous restez là, pétrifié de surprise en découvrant la « gestion » de ce bout d’  « Etat de droit ». Indigné, vous décidez de dire NON !, de résister et de réagir. Alors, vous vous retrouvez seul ( seule ! ) face au front uni des affiliés et des aspirants-affiliés. Et – ô surprise ! – même les victimes de « ça » vous en veulent de faire trop de bruit ! Il est clair que vous dérangez l’ordre des choses : ICI, à la réunion, TOUT se sait mais RIEN ne doit se dire…

    Alors, nos Préfets, très attachés à l’ « ordre public » lancent la machine à étouffer les scandales, tous moyens rassemblés ; au premier rang, ceux de l’Etat et ceux de la Justice préposés à vous «  calmer ». ET – spécificité locale -  aucun FALCONE, aucun SAVIANO, aucun LAS CASAS ; jamais !! Pas un seul doigt levé en faveur du Droit et de la Justice ; pas une voix, JAMAIS !!

    Mais il sera temps, pour les internautes le souhaitant, de découvrir la suite : sept ans, déjà, de dure résistance et d’intense guérilla au pays de la douceur de vivre ; ce pays que Prosper EVE, historien local, désigne comme «  l’île de la peur » et moi, comme l’île du mensonge-roi…

     

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