• EX- Les MÉDIAS réunionnais :

    La Réunion est un village. Un village où le moindre évènement peut prendre des proportions gigantesques pour peu qu’il soit traité par la presse locale. Un village où tout se sait (ou se devine…) mais où « tout » ne se dit pas. Selon le leitmotiv, vieux de quelques années, de La Radio Freedom : « On peut parler de tout mais pas de n’importe quoi ». Le « n’importe quoi » portant sur les sujets strictement tabous, tel celui qui me mobilise : les gros désordres urbanistiques, administratifs, fiscaux et autres générés par la construction sans permis de construire – spécialité réunionnaise – instaurés par la collusion entre tous les pouvoirs locaux, sujet brûlant s’il en est

    Un village où le classique tam-tam a du mal à rivaliser avec la machine médiatique du pays, faiseuse de « rois » et escamoteuse de gabegies.

     

    Outre LA Radio Freedom, tous les médias réunionnais ont parfaitement intégré le principe de l’Omerta ; se gardant bien de libérer les vérités pas bonnes à dire, susceptibles de fâcher certains (un magistrat, par exemple) et d’en contrarier d’autres : les Élus-Peï, grands dispensateurs de « cadeaux à leurs parents, amis et obligés…

     

    Les Médias-Peï – dans leur ensemble – s’empressent de servir au public réunionnais ce qui lui plait, apte à soulever l’enthousiasme des foules – telle l’extravagante affaire de la couronne de la « MISS » Valérie BÈGUE… Mais aussi les innombrables « Faits Divers » alimentant généreusement l’émotionnel.

    En revanche, l’incurie, la gabegie et l’impéritie de nos élus sont traités de façon plus discrète : quelques-uns de leurs nombreux scandales mis à jour créent le « buzz » un instant puis s’éteignent ; jusqu’au prochain…

     

    Ce que le public réunionnais aurait intérêt à connaître – et serait en droit de savoir – est maintenu dans la plus sûre des oubliettes : l’Omerta !

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    Le PARC MÉDIATIQUE du Département comprend 3 chaînes de T.V. locales, plusieurs dizaines de radios- dont la reine incontestée est La Radio Freedom et sa vocation auto-décrétée de « Radio de la Liberté ». Bien assise sur sa base « multiservices »ce média est – sournoisement – essentiellement, manipulatrice  et réductrice de vraie Liberté.

    Quelques journaux en ligne, également, dont ZINFOS 974 qui est le seul Média à m’avoir donné la parole, ICI, à la Réunion…

    Enfin, la Presse écrite, celle qui représente pour moi un intérêt particulier parce qu’elle est celle « qui reste » et qui permet ainsi de ne pas perdre de vue ce qui a été publié ou volontairement « oublié ».

    Par exemple le sujet de la construction illégale à la Réunion

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    Amie de l’écrit, ignorant, à l’époque, la pratique d’un ordinateur, ce sont les deux principaux journaux – LE JIR et LE QUOTIDIEN – qui, depuis 2006 et des années durant, ont été « sollicités », harcelés puis systématiquement informés du déroulement de l’affaire GRONDIN/VICTORIA/CARBONNEL/ANNETTE/MACCIONI/DOUMAS,… 

    ***

    *UN JOURNAL, UN QUOTIDIEN, c’est-à-dire ?

    **Un journal c’est d’abord une entreprise commerciale avec un patron et des intérêts à servir. (Les deux journaux en question ont, l’un et l’autre, été contraints, ces dernières années, à une importante baisse de leurs tirages ; l’idée d’une fusion des deux titres a même été envisagée ; ce qui révèle le côté fragile de ces entreprises ; et ce qu’elles peuvent choisir de faire – même de plus indigne – pour rester financièrement «  à flot »…)

    ** Un journal est sous la responsabilité d’un Directeur de la Publication, chargé entre autre de veiller à ce que son journal ne commette pas le délit de diffamation ; mais aussi de prendre de prudentes distances avec un éventuel « diffamateur » : moi, en cette occurrence…

    **Reste que cette entreprise est majoritairement composée de journalistes, dont un Rédacteur en chef, animateur de l’équipe et gendarme patenté du respect de la « ligne éditoriale » du journal.

    **Reste aussi que le métier de journaliste est « soumis » à des règles déontologiques faites de Droits et de Devoirs,(Voir Charte de Munich) débouchant sur une soi-disant « Liberté de la Presse ».Le tout ne concordant pas forcément avec le mode de « gestion » de l’entreprise.

     

    **Et c’est là que l’on découvre qu’éthique et profit ne font décidément pas bon ménage…

     

    À noter : À partir de cette rubrique, Je souhaite mettre en évidence le rôle des responsables de la publication ainsi que celui des Rédacteurs en chef dans le traitement de l’affaire de la construction illégale à la Réunion et – bien entendu – le « traitement » qui m’a été réservé pour en être la plus redoutable des « Lanceuses d’Alertes »... 

     

    ***

    N°1 – Le JIR et son « Hyper-Président », Jacques TILLIER

     

    Dès mon arrivée à la Réunion, j’ai lu le JIR ; fidèlement, jusqu’en 2008. J’ai donc lu du TILLIER dès sa prise de poste, en 90. Comme tant d’autres, je me suis régalée des éditos de Jacques TILLIER – qui faisaient, chaque samedi, monter d’un tiers la vente du journal ! Ces éditos où Jacques TILLIER vendait férocement quelques « ripoux » de notre société-peï ; mais pas n’importe qui, ça se saura…

    J’étais si fière de son « courage » que, lorsqu’il a été en difficulté de trésorerie à cause de ses condamnations pour diffamation, je lui ai réglé 2 ans d’abonnement d’avance…

     

    Puis, il m’a fallu – en direct – découvrir que Jacques TILLIER TRIAIT SOIGNEUSEMENT LES ORDURES QU’IL DÉNONÇAIT DE CELLES QU’IL COUVRAIT DE SON SILENCE ; dont les protagonistes de l’affaire de mon voisin, le tueur de femme Hilaire GRONDIN et ses deux enfants fraudeurs, producteurs et utilisateurs de faux ; le Député-Maire René-Paul VICTORIA (alias « la Reine-Maire » pour TILLIER !!!) et ses sbires, Dominique FOURNEL et Brigitte LAMY ; le Président du Tribunal administratif, Francis CARBONNEL ; le Préfet Pierre-Henri MACCIONI ; le Procureur de la République, François MUGUET ; le Procureur général, Raymond DOUMAS ; et autres « raclures » de notre Peï…

     

    De mon premier Fax adressé à son adjoint, Jacky FERRÈRE le 24 Avril 2006 jusqu’ au 12 Septembre 2007, 11 Fax d’alerte ont été Faxés nommément à Jacques TILLIER et 4 autres à Jacky FERRÈRE ; dans le plus absolu des mépris : Le SILENCE !

     

    Cette basse crapule de TILLIER a TOUT « supporté » :

    *Les Délits ouvertement commis par le clan GRONDIN (mon voisin le tueur…) et toutes les complicités de ses honorables soutiens, déjà cités.

    *Les ignobles persécutions directement ou indirectement exercées sur ma personne par les Maires de St DENIS VICTORIA et ANNETTE, leur milice, la Police d’État, la Magistrature… etc… ; au su de tous… afin de me faire taire !

     

    À partir de sa « liberté de ne pas dire »,Jacques TILLIER, cette POURRITURE D’HOMME, prostituée au profit et au plaisir de plaire, a TOUT supporté de ce qui m’était appliqué, TOUT couvert de son silence complice, sans aucun état d’âme ; jamais aucun de ses  journalistes dans les prétoires, les jours de mes indignes comparutions ! (Quinze, en tout !) Une « affaire » unique dans les annales judiciaires de tout le territoire français, avec des « journalistes » regardant ailleurs…

    Nous étions loin de la pléthore de « papiers » sortis lors de l’affaire Valérie BÈGUE qui, grâce à lui, TILLIER, a failli faire couler le sang à la Réunion !! N’oubliez-pas, des dizaines de titres dans le JIR pour défendre les « droits » à sa couronne de la fameuse « Miss », pour le moins douteuse ; avec l’Évêque AUBRY en pleine page couleur de « Une » du JIR du 23 Décembre 2007, appelant – via la volonté de jacques TILLIER – à voler au secours de la Miss !!! Prêts, les uns et les autres, à provoquer une révolution pour le maintien forcé de la fameuse couronne… du GRAND journalisme !

    Ce, juste avant que le GRAND TILLIER nous quitte, en avril 2008, laissant éplorées toutes les «Mmes AUDE » du département…

     

    Consolons-nous, le Grand TILLIER revient ; pour VENDRE son livre, « Une Plume Libre ». Oui ? Une plume libre de se prostituer quand « Gamelle » oblige. (Gamelle c’est du TILLIER ; pour les autres…)

     

    POUR CONCLURE, QUE DIRE DE CE VIEUX VOYOU QUI M’A VOLONTAIREMENT « NEUTRALISÉE «, POUR LA PLUS GRANDE RECONNAISSANCE DE SES MAÎTRE ?

    POUR L’HEURE RIEN DE PLUS QUE CE QUE JE VIENS DE DIRE ; POUR L’HEURE…

                                                                                                                                                                              Saint Denis le 27 février 2013

                                                                                                                                                                                 

     

    …et ça n’a pas traîné : TILLIER arrive le 03 Mars et il offre à ses « fans » une séance de dédicaces le Samedi 09 suivant, à la Librairie Gérard ! Ayant une occasion unique de me trouver face à cette fripouille, pour la première fois de ma vie, je ne vais pas la manquer !! J’ai donc décidé d’aller lui faire visite et – pourquoi pas ? – de lui donner, encore une fois, une dernière fois, quelques-uns de mes sous. À la loyale, j’ai eu la délicatesse de m’annoncer. (Commentaire N° 11 du 27.02.2013 – Blog de Pierrot DUPUY : «…une plume libre… »)

     

                                 Les MÉDIAS réunionnais :

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    J'ai eu la surprise de découvrir un Jacques TILLIER tel que je ne l’imaginais pas : un vieux pépère amène et gentillet pas le profil du dur qui avait voulu ma peau, pas le profil d’un qui avait survécu aux soins de MESRINE, ce MESRINE qui, contre toute attente, a tant fait pour l’image de TILLIER…

    À partir des informations qui me sont parvenues, j’ai cru que notre Jacques avait été révolvérisé par MESRINE ; ce qui, entre truands, est traitement d’Honneur.

    Pas du tout ! MESRINE a flanqué une très, très grosse rouste à TILLIER, avant d’user de son arme ; ce qui démontre clairement une volonté de sa part d’abaisser, d’humilier au-delà du possible, ce grand malpropre de TILLIER…

     

    Donc, comme annoncé, j’y vais ; et, tout comme MESRINE, je me paye le luxe de traiter comme elle le mérite cette ordure de TILLIER. J’en suis pleinement satisfaite ; lui, pas !! Au lui de s’écraser, il en rajoute ; selon lui tout a été parfait lors de sa séance de dédicaces : « À l’exception d’une gazée agitée de tremblement nerveux qui me reproche de ne pas avoir évoqué le cas de son mari, tout s’est bien passé » affirme-t-il dans son édito «  Le coup de pied à l’âne », paragraphe « samedi », du 18 Mars 2013. Ah ? Ah !!

    La « gazée » c’est moi et je n’ai pas de mari… Tillier, pour escamoter les raisons de cet énorme camouflet public  qu’il vient d’essuyer, n’hésite pas à dire n’importe quoi, à mentir. Bof, ça n’étonne personne, je pense…

     

    De là à le tenir quitte il y a un pas… que je franchis en vous proposant la suite sous la forme d’un texte de dernière heure, « C’est la fête à TILLIER… » :

     

     * * *

     

     *DERNIÈRE HEURE ! : C’est la fête à TILLIER… 

     

    (Librairie Gérard, mon « Point Rencontre » avec un 2ème de mes « NAZIS » après Francis CARBONNEL. Ce Samedi 09.03.2013 – Séance de dédicaces de TILLIER.)

    Comme je l’annonçais dans ZINFOS du 26 Février dernier, j’étais là ! – TILLIER aussi, à son poste de dédicace. Dès mon arrivée, il m’a vue et …reconnue ! Il ressemblait à une poule surprise par un renard…tétanisé !

    J’ai salué quelques connaissances ; j’ai acheté mon exemplaire de TILLIER (25€ !) et pris sagement ma place dans la queue. TILLIER me regardait à la dérobée, mais ma bonne tenue l’a sans doute rassuré. Tous ceux qui n’ont jamais pratiqué l’agression, en forme de scandale public, froidement préméditée, ne savent pas le grand désordre que les torrents d’adrénaline sont capables de générer à l’approche de l’ «exécution » : l’émotion m’a fait, tour à tour, perdre mon parapluie préféré et mon exemplaire à 25€ de TILLIER … un vrai gag !  J’allais et je venais dans la librairie, égarée moi aussi, distrayant les amateurs de dédicaces qui patientaient

    Lorsque mon tour est arrivé, TILLIER était calme, rassuré, prêt à m’accompagner dans la petite comédie de gens comme-il-faut ; il ne m’a cependant pas tendu la main. Il m’a demandé mon nom ( !), l’a noté avec sa dédicace sur la page de titre que je lui présentais d’autorité (Je ne voulais pas qu’il voie l’intérieur des pages saccagées au marqueur noir.)

     

    J’ai récupéré mon exemplaire TILLIER à 25€ et, posément, j’ai arraché et gardé la page de dédicace ; puis, j’ai refermé le livre et le lui ai jeté dessus en l’insultant haut et fort. Il était médusé avec l’air d’être une poule promise au renard…

    Ceci fait, je me suis installée sur le trottoir, juste à l’entrée, avec vue sur Jacques TILLIER et j’ai distribué, de la main à la main, le tract d’adresse de mon blog.

    Tout cela s’est déroulé gentiment, sans mouvement de foule. Les « nervis » préposés à la protection rapprochée de TILLIER n’ont pas tiqué. Sauf Jean-Claude VALLÉE qui n’a pas pu s’empêcher de me donner une leçon de conduite : « C’est pas sympa ! » m’a-t-il apostrophée, indigné ; ajoutant que ce genre de chose devait se faire en aparté…            

    J’ai été vengée par « Mme AUDE » : même si elle m’a volé la vedette en faisant la visite la plus remarquable du jour, je lui suis reconnaissante d’avoir répandu son enveloppante affection sur TILLIER et quelques autres, mais surtout sur notre Jean-Claude VALLÉE, tout rose de plaisir ! Mon stock de tracts épuisé, j’ai levé le siège à 18h00. Par la suite j’ai remarqué que pas un seul Média a rapporté cet original « Fait Divers »…

     

    …et je me suis trompée : ZINFOS a ouvert ses colonnes  à cette rigoureuse information  rapportée par Jacques TILLIER, soi-même, dans son édito « Le coup de pied de l’âne. » ZINFOS du 18 Mars 2013 (Paragraphe « Samedi »)

    *Voici le « Rapport TILLIER » sur l’évènement relaté ci-dessus :

     

    « À l’exception d’une gazée agitée de tremblements nerveux qui me reproche de ne pas avoir évoqué le cas de son mari, tout s’est bien passé. » (Sic – TILLIER) Du TILLIER Grand Cru…

     

    N.B. :« LA FÊTE À TILLIER » ci- dessus rapportée, était destinée à mon blog ; seulement à mon blog. Après le « Rapport TILLIER » je l’ai soumise à « ZINFOS 974 » en guise de rectificatif et de réplique ; malgré ma lourde insistance, Pierrot DUPUY a refusé de le publier ; « Fidèle en amitié » (sic), Pierrot veut protéger le mensonge de TILLIER et  TILLIER avec… Alors j’ai déjà envoyé ce texte à l’« UNION » de REIMS… et je me réserve la possibilité de le diffuser largement à qui bon me semble.

     

    Pour conclure : mon « nazi » TILLIER a été « servi » ; je me tiens prête à aller plus loin s’il s’avise encore à me chercher noise. Pour matérialiser ma visite de dédicace du 09 mars dernier, je présente ci-après la copie de celle qu’il m’a dédiée : « Bien amicalement »… !!! 

     

                                         *DERNIÈRE HEURE ! : C’est la fête à TILLIER…   

                                            

    *Le prochain chapitre traitera du rôle joué  par les deux Rédacteurs en Chef du Quotidien, Pascal BAUDOIN et Thierry DURIGNEUX, en faveur de la corruption-peï, sous le titre : « Le Quotidien et son crédo ». 

    Saint Denis le 23 Juin 2013 

     

    ***

     

    N°2 – Le QUOTIDIEN et son credo :

     

    Lors de sa création, en 1976, le Quotidien se voulait « un journal ouvert sur l’ensemble de la société réunionnaise et soucieux de participer à la vie et au développement de notre île » (sic).

     

    Cette profession de foi n’incluait pas le DEVOIR d’INFORMATION et la lutte contre la corruption, par l’écrit HONNÊTE… 

     

    Comparé à « Var-Matin », le petit dernier de la presse écrite locale est un bijou ; l’image est plus que trompeuse : le Quotidien peut rivaliser avec « Var-Matin » -  et avec son concurrent, le JIR -  pour son entière loyauté aux ripoux du département et par son absolue discrétion sur les sujets sensibles-peï…

     

    Dans l’affaire qui m’occupe (La construction sans Permis de construire, la fraude fiscale qui va avec et l’incroyable discrimination administrative que cela représente.) le Quotidien a adopté la même attitude que le JIR en matière d’Omerta ; mais avec, une plus grande hypocrisie, une malhonnêteté encore plus lourde, de la même nature que celle de Freedom ; allant jusqu’à s’« indigner » des « muselages » de presse  chez nos voisins  mauriciens et malgaches !! 

     

    Je voudrais, à ce propos, vous donner un exemple, un seul : 

    Dès le début de mon combat, nombre de « bonnes personnes » sont venues me dire que je n’avais pas la bonne façon d’interpeller mon monde. (Sous- entendu : « C’est pour ça que vous n’obtenez aucun résultat. ») Parmi elles, Bernard GROLLIER, correspondant local du « POINT ». Lequel GROLLIER me fait, un jour, une surprenante proposition : Il rédige à ma place – de façon bien comme il faut... – un Courrier des Lecteurs sur l’affaire GRONDIN/VICTORIA/ etc… et, il se fait fort de le voir publié…sous ma signature !! Ah !? Mais rien ne m’interdis d’avoir un « nègre », n’est-ce-pas ? Marché conclu ! Et, sous le titre : « Construction : La fraude et l’omerta » je propose ledit courrier (rédigé par Grollier) aux médias locaux et, ô miracle !, le voilà  publié par les deux journaux – JIR et QUOTIDIEN – le 29 Décembre 2008 ! – Après  3 ans de silence mafieux… 

     

    Voilà ci-après le texte – tel que rédigé par Bernard  GROLLIER – dont l’original a été transmis, par mes soins, le 27 Décembre 2008, à la presse locale :

     

    Construction : la fraude et l’omerta.

     

    Un silence assourdissant couvre un scandale permanent dans notre île : celui des « arrangements » qui caractérisent un grand nombre d’opérations de construction.

    Bien sûr, cette corruption rampante est plus difficile à dénoncer que les malversations à plusieurs centaines de millions d’euros qui font la une de nos journaux.  Les affaires dont je veux parler sont « municipales », elles  concernent essentiellement des particuliers, les sommes en jeu sont à leur échelle.

    Ce n’est pas une raison pour se taire !

    J’accepte d’autant moins cette omerta que j’en suis victime. Voici un bref rappel des faits :

    En décembre 2005, mon voisin le plus proche, dans le quartier de Bellepierre, démarre la construction d’un petit immeuble, sans permis de construire. Je n’ai pas de relations, ni bonnes ni mauvaises, avec cet individu, mais je viens alors de vivre une expérience  éprouvante avec le service de l’urbanisme de Saint-Denis, à l’occasion de la reconstruction à l’identique de ma propre maison. L’extrême rigueur dont a fait preuve ce service à mon égard me laisse penser qu’il ne saura tolérer une construction illégale. Las ! Malgré de multiples relances de ma part, la mairie n’intervient pas. En avril 2006, un article de presse relate l’affaire. Le service de l’urbanisme daigne alors venir constater les faits et quelques jours plus tard un arrêté municipal impose l’arrêt des travaux. Il apparaît que mon voisin avait déposé une demande de permis de construire en décembre 2005, et qu’il était tellement sûr de l’obtenir qu’il avait lancé les travaux sans attendre. En mai 2006,sa demande est rejetée , tant le projet est incohérent. Mais le 27 décembre 2006, un nouveau permis de construire est accordé, avalisant (de quel droit ?) les travaux déjà réalisés. Indignée, je saisis la Justice : mes requêtes sont rejetées. Révoltée, j’imprime des tracts, j’alerte diverses autorités, en vain. Et, d’accusatrice, je deviens accusée…  La mairie (René-Paul Victoria, son 2ème adjoint, le service de l’urbanisme) m’attaque en diffamation.

    Les détails de ce parcours judiciaire seraient trop long à raconter, mais sachez que pour avoir dénoncé un fait illégal, la « justice » a cru devoir me condamner à payer un total de  4 500 euros d’amendes. Sachez également que les magistrats de la place (ainsi que la plupart des détenteurs d’une parcelle de pouvoir dans cette île), se montrent particulièrement agacés par mon insistance à refuser l’inacceptable. 

    Mon voisin a maintenant terminé sa construction. Et réclame le droit d’entrer chez moi pour crépir la façade hideuse qui se dresse désormais sur trois niveaux au ras de mon jardin ! Il va sans dire que je refuserai jusqu’au bout cette ultime humiliation et je continue à réclamer une expertise judiciaire  qui ne manquera pas de souligner les nombreuses irrégularités de cette opération immobilière. 

    Je précise que je suis âgée de 72 ans. J’emploie toute mon énergie, depuis trois ans, à tenter de faire valoir le droit. J’ai pour l’instant échoué mais je refuse toute idée de résignation. Seule, j’ai le plus grand mal à me faire entendre. Sans doute nombre d’entre vous ont-ils été témoins ou victimes de faits similaires. Je vous invite à rompre le silence,  à témoigner, à alerter la presse. 

    Peut-être, alors, la Justice fera-t-elle davantage son travail ?  

    Juliette Pavard, Saint-Denis le 27 Décembre 2008  

    DESTINATAIRES : Presse écrite : JIR, Quotidien, Visu, Témoignages, Agri-Mag, Le Mémento, l’Écho Austral, L’Économie de la Réunion, Réussir. Télévisions : RFO, Antenne Réunion. Radios : RFO, Freedom, Radio Festival, Radio Arc en Ciel, Exo-FM., Zinfos 974.

     

    Sauf que la prose de Bernard GROLLIER – déjà bien mollassonne – a encore été édulcorée, en « missouk », par les deux titres afin de bien tromper les lecteurs, non informés de ces amputations… ( Je crois utile d’ajouter que ceux qui me connaissent n’ont pas été dupes de cette supercherie : « ce n’est pas toi qui a écrit ça ! »…)

     

    *POUR LE JIR : le 1er paragraphe a disparu, en toute discrétion… (J’ai oublié qui était le Rédacteur en chef de l’époque…) 

     

    *POUR LE QUOTIDIEN : le mot « CONSTRUCTION » du titre a été oublié – tiens ! Pourquoi ?? 

    Mais, de prime abord, le texte semble entier ; de prime abord ! En réalité, le texte a été complètement mité par quinze traitresses soustractions ; quinze !,  allant d’un mot à des phrases entières, soigneusement choisies ; sans l’obligatoire signe conventionnel – (…) – le  signalant aux lecteurs et… au rédacteur… 

     

    Cela se passait sous l’ère de Pascal BAUDOIN, Rédacteur en chef… lequel sévit actuellement dans la Meuse ; les meusiens ne semblent pas très rassurés quant à son honnêteté… 

     

    Après cela, je vous propose deux illustrations des mœurs de ces défenseurs de la « ligne éditoriale » spécifique au pays de Réunion : 

     

    *POUR Pascal BAUDOIN, Rédacteur en chef du Quotidien : j’exhume, ci-après, l’originale « réponse » que l’individu a osé faire à mes interpellations. (Courrier reçu de P. Baudoin, en date du 09 Octobre 2008) :

     

    lettre baudion

    *Et ma réplique du 28 Octobre 2008… 

     replique

     

    *POUR Thierry DURIGNEUX, Rédacteur en chef du Quotidien :

    interpellé à son tour sur son devoir d’information, Monsieur DURIGNEUX manifeste la même grossière lâcheté que son prédécesseur. Mais le vent a tourné et l’intimidation semble avoir changé de camp : j’ai eu le délicat plaisir de bouleverser ce personnage – habitué, comme tous les autres au confort de la servitude-peï – en le ridiculisant. (Courrier des lecteurs : « Juliette CARANTA-PAVARD à Thierry DURIGNEUX, Rédacteur en chef du Quotidien » - Zinfos 974 du 20 Mars 2012.)

     

    *Je présente ci-après l’objet du délit : soit en premier l’original tel qu’il a été publié au courrier des lecteurs de Zinfos le 20 Mars 2012 à 14h39. J’ai dû faire un petit bricolage, signalé par les caractères en rouge : «  TOUJOURS LE PANTALON SUR LES SOULIERS, THIERRY…Ah ! ». Le deuxième exemplaire est celui qui a été amputé de la fameuse phrase du pantalon, toujours présent aux archives de Zinfos.

     

    pantalon

     

    *Suivent les commentaires que j’ai ajoutés à mon courrier : 

    °Celui du 07 Avril 2012 à 11h10 : Thierry, vous venez de me raccrocher brutalement au nez… (Je me suis pourtant présentée poliment à vous : je voulais juste connaître le nom d’un journaliste qui, contrairement à moi, n’ose pas signer ses écrits en clair.)

    Je vois que, comme à l’accoutumée, vous n’appréciez pas mes écrits ; surtout les centaines qui ont été faxés au Quotidien, depuis le début de l’affaire Hilaire, David et Karine G. / Victoria / Annette, en 2007 ; au point de déléguer le journaleux-syndicaliste  Yannick BERNARDEAU à venir – chez moi ! – me conseiller de cesser ces envois, étant donné que vous les mettiez systématiquement à la poubelle…

    Comment se fait-il que vous soyez si sensible, alors que je ne fais que parler de votre pantalon, moi ??

     

    *Juste après ce « contact » avec Durigneux, je découvre que le « Toujours le pantalon sur les souliers, Thierry… Ah ! » a disparu de mon courrier du 20 Mars 2012…

     

    °Celui du 07 Avril 2012 à 13h55 : Thierry, je viens de découvrir que Zinfos a supprimé la dernière phrase relative à votre pantalon ! Votre fureur de ce matin m’a signalé que j’avais visé juste ; et vous n’avez pas encore tout vu… Une Petite Chose comme vous est capable de les avoir menacés ; je me demande bien de quoi ! Quant à l’auteure – responsable de cette « liberté d’expression » si chère au Quotidien, moi en l’occurrence – elle vous a classé parmi les personnes dont il convient de s’ «occuper » ; en troisième priorité.

    EN ESPÉRANT UNE TRÈS PROCHAINE « LIBERTÉ DE LA PRESSE », ICI, À LA RÉUNION…

    En conclusion, Thierry n’a pas supporté du tout que l’on rit à ses dépens : tout humour écarté, il aurait menacé Zinfos d’un procès ; IMAGINEZ L’AUDIENCE !!

    Ce qui n’empêche pas que cet olibrius publie, dans le Courrier des Lecteurs du Quotidien du 05 Mars dernier, sous le titre : « La parano des pseudos » et sous sa signature, cette phrase osée : « Nos pages « Courrier des lecteurs » accueillent les débats, tous les débats, dès lors qu’ils ne contreviennent pas à la loi ou à la morale. »

     

    Vous l’aurez compris : dans la petite tête de Thierry, une investigation suivie d’un article de fond – ou même, simplement, un Courrier des Lecteurs différant de la bouillie pour les chats quotidiennement publiée – portant sur la CONSTRUCTION ILLÉGALE et LA FRAUDE FISCALE QUI EN RÉSULTE, ICI, À LA RÉUNION, contrevient à la LOI et à la morale...Voilà !

     *** 

    La suite de cette rubrique sera consacrée à la base de la corporation : les « Journaleux-peï », dignement représentés par Messieurs Bruno GRAIGNIC du JIR et Pierre-Yves VERSINI du Quotidien. 

      ***

     

    *Les journalistes de base-peï : 

     

    Au-delà des « responsables-modérateurs-escamoteurs » d’information, de nos deux principaux quotidiens, il me reste à parler des « autres » : la centaine d’encartés répartis entre les deux titres ; qui, pour ne pas être « responsables », n’en dépendent pas moins déontologiquement, des règles éthiques de leur profession. (« Charte d’éthique professionnelle des journalistes » - Syndicat National des journalistes = S.N.J. – et – « Charte de Munich » Déclaration des Devoirs et Droits des journalistes.) 

     

    Pour introduire le sujet – et par souci d’économie d’énergie – je récupère l’un  de mes innombrables commentaires publiés sur « Zinfos 974 » : 

     

    *[…] Côté « liberté de la presse » il aurait mieux valu oublier les « journaleux » de la Réunion… ; et avoir l’élémentaire délicatesse de ne pas les mêler à ceux qui perdent leur vie – de différentes façons – pour leur courage et/ou leur liberté de ton. Les « nôtres » ne risquent rien de si grave ; ils ne risquent que leur « gamelle » (Terme favori du grand reporter Tillier…) ; je pourrais comprendre qu’ils fassent profil bas, seulement pour ça ; mais pas admettre la médiocrité, la stupide suffisance, la flagornerie, la lâcheté et la malhonnêteté de trop nombreux d’entre eux. Dans l’affaire Hilaire Grondin/René-Paul Victoria/Gilbert Annette […] j’ai pu faire une étude de la corporation « en live »…depuis 7 ans !) 

     

    Vous l’aurez  compris, il est impossible de trouver un « vrai » journaliste à la Réunion ; ceux qui aspireraient à l’être (Une mini-minorité ; pour leur éviter des ennuis, je tairai leur nom…) sont rudement encadrés, maintenus sous tutelle. (Ayant moi-même vécu un licenciement disciplinaire, je peux comprendre qu’ils s’inclinent ; mais là, il ne s’agit pas de ça !) 

     

    Faisons fi des Yannick BERNARDEAU, Thomas LAURET, Ludovic PROUVOST, Sébastien GIGNOUX et autres  petits déchets du métier ; allons directement aux deux phénix qui au nom et sur ordre de leurs employeurs respectifs (JIR et Quotidien) ont, de concert, touché le fond du misérable, modèles de « servitude volontaire » de la presse locale… Ces deux petits « nazillons » décérébrés – mais très sûrs d’eux – ont su choisir leur « gamelle »…

     

    Je les cite : Bruno GRAIGNIC du JIR et Pierre-Yves VERSINI du Quotidien.

     

    Je relate, ci-après, les circonstances dans lesquelles ils sont entrés dans ma vie, en faisant preuve de leur talent et de leur sens de la déontologie : 

     

    *En rappel : il s’agit là – encore et toujours – des effets de la CONSTRUCTION  SANS PERMIS de CONSTRUIRE et de la FRAUDE FISCALE qui va avec ;

     

    *Mon rendez-vous, à ce propos, avec Gilbert ANNETTE, le 01 Avril 2009 et mon courrier du 15 Juin 2009 rapportant tous les points évoqués lors de cette rencontre et lui enjoignant d’agir. (Ce courrier a été publié le 28 Avril 2012 sur « Zinfos 974 » et se trouve dans les archives du journal.)

     

    *Comme je ne voyais rien venir, je décidai de renouveler mes interpellations – publiquement, cette fois – au Conseil municipal du 29 Juin 2009 ; occasion  d’autant plus propice que ce Conseil se flattait d’une grande première : la transmission des débats en direct, par internet…

     

    *Le JIR et le QUOTIDIEN persistant à maintenir l’Omerta sur les scandales Urbanistiques  municipaux, je décidai, non seulement de ne pas les « solliciter », mais de les tenir soigneusement dans l’ignorance de ce projet.

     

    *Ainsi, le soir du 29 Juin j’étais là, sagement assise dans mon coin favori. Rusé comme un vieux singe, Gilbert ANNETTE – encore « chaud » de nos récents contacts et alerté par ma présence – avait  cédé  la présidence à sa 1re adjointe, Monique ORPHÉ et s’était positionné dans mon dos ; avec sa milice à portée de main…

     

    *Dès que je me suis levée et ai ouvert la bouche, il a lancé sur moi quatre robustes policiers qui se sont mis en devoir de me neutraliser : deux hommes aux jambes et deux femmes aux bras (j’ai pu apprécier à quel point les femmes sont plus motivées que leurs collègues masculins, n’hésitant pas à employer les gestes « anti-forcenés » sur la grand’mère de 74 ans que j’étais alors…)

     

    *Comme de juste, je résistai : brutalement et douloureusement maîtrisée, j’ai dû user de ce qui me restait pour me défendre et faire cesser cette violence : j’ai mordu le bras de la plus efficace des deux policières (Tout en évitant  sciemment d’enlever le morceau…) À quatre, ils ont réussi quand même à me traîner dehors et me jeter à terre, hurlante…jusqu’à être prise en charge par les pompiers et conduite aux urgences du C.H.D. où j’ai retrouvé ma « mordue ».

     

    *À noter que les trois guenons féministes composant le harem du mâle dominant ANNETTE (Monique ORPHÉ -1re adjointe, Ericka BAREIGTS-2e adjointe et Nalini  VÉLOPOULÉ)  sont restées de marbre…

     

    *Un très grand moment de « communication » en forme d’original « Fait divers » ; sauf qu’il a failli être raté, Bruno GRAIGNIC du JIR et Pierre-Yves VERSINI du Quotidien, s’étant lassés du cirque, étaient partis prendre l’air… Fallait-il  pour autant priver leurs lecteurs de ce qu’ils avaient manqué ? Qu’à cela ne tienne ! Nos « encartés-peï n’ont pas besoin de voir pour témoigner, dire et écrire…

     

    *Et voilà ce que ça a donné : (je retranscris à la virgule près leur prose de petits rats d’égouts.) 

     

    ¤Pour le JIR du 30 Juin 2009 :

     

    ¤Titre : « Les comptes ne font pas les bons amis »

     

    ¤Annexe de dernière heure : « Une expulsion en plein direct ». Signé B.G.

     

    « LES COMPTES NE FONT PAS LES BONS AMIS À SAINT-DENIS 

    Une expulsion en plein direct

    Alors que ça tourne (trois caméras, de la bande passante pour mille connexions en même temps…) et ça diffuse depuis environ deux heures sur le site de la Ville, Juliette Pavard, accompagnée de son fils, a voulu profiter de cette tribune pour crier son désespoir.

    Depuis des années, cette habitante des Hauts de Bellepierre est en contentieux avec la Ville. En cause, des faits qui remontent à 2005. Un de ses voisins démarre la construction d’une maison sans permis et, qui plus est, en rognant sur son terrain selon ses dires. Le permis aurait finalement été régularisé en 2006.

    Mais la bataille judiciaire, longue et pénible, n’est pas à son terme. René-Paul Victoria, maire de l’époque, son 2e adjoint, Dominique Fournel, et le service de l’urbanisme attaquent en diffamation et gagnent. Aujourd’hui, avec l’avènement du PS, elle espérait obtenir la démolition de la construction voisine après quatre ans de bataille. Mais, son intervention s’est soldée par une expulsion manu militari de la salle polyvalente. Le coup d’essai de la mairie, 5 000 euros annoncés, a donc essuyé les plâtres des aléas du direct. Mais la Ville veut généraliser les diffusions en live tout de même. »  B.G.

      

    ¤Pour le QUOTIDIEN du  01 Juillet 2009 :

     

    ¤Titre : « Débats sous haute surveillance »

     

    ¤Annexe de dernière heure : « Crise en plein conseil » - Non signé.

     

    « DÉBATS SOUS HAUTE SURVEILLANCE

    Crise en plein conseil

    Le conseil municipal était lundi soir pour la première fois diffusé sur internet (639 visites ont été comptées sur le site). L’occasion pour les élus sans doute plus encore que d’habitude de s’écouter parler et d’expliquer et réexpliquer le contenu de dossiers ou d’une politique qui n’échappe pas à leurs collègues mais peuvent peut être ne pas être connus de tous les internautes !

    C’est humain, c’est « la démocratie participative », comme s’en amuse Gilbert Annette, pas peu fier de présenter aux dionysiens en direct le travail réalisé.

    Mais cette web-TV a aussi été l’occasion pour une administrée bien connue des services, Juliette Caranta-Pavard, de s’emporter et d’apostropher d’abord les élus de l’opposition, René-Paul Victoria et Dominique Fournel en tête, puis ensuite l’ensemble des élus et l’administration municipale.

    Juliette Caranta-Pavard, 73 ans, est en conflit avec la mairie depuis 2006 pour une histoire de de construction d’un de ses voisins qu’elle estime sans permis. Elle a déjà fait une grève de la faim en 2008 et a porté l’affaire au tribunal, ayant elle-même été poursuivie pour diffamation.

    Elle est intervenue hier durant l’examen du compte administratif 2008 alors que le maire, comme le prévoit la loi, avait cédé la direction des débats à Monique Orphé.

    Juliette Caranta-Pavard, faute de dialogue possible, a été évacuée par la police municipale pour la sortir de la salle polyvalente, puis prise en charge par les pompiers à l’extérieur. » Article non signé. 

     

    *Pour savoir qui étaient les auteurs de ces deux torchons,  j’ai appelé  le JIR qui m’a  donné le nom de Bruno GRAIGNIC ; pour le Quotidien, j’ai dû attendre que Pierre-Yves VERSINI me confirme – grossièrement, haineusement – sa paternité.

     

    J’ajoute encore, que ces deux-là n’ont pas vu intérêt à se rapprocher de moi pour parler de moi ; et en quels termes ! – de vraies petites pourritures… 

     

    *Enfin, j’ai  adressé un « Droit de réponse » en courrier sécurisé, le 25 Septembre 2009, aux deux journaux ; lesquels se sont contentés de ne pas bouger… Ces deux « Droit de réponse » ont été joints à ma « Lettre Ouverte » du 04 Janvier 2010, interpellant les Directeurs de publication Jean-Baptiste MARIOTTI du JIR et Thierry BENBASSAT du QUOTIDIEN ; qui n’ont pas bougé…Cette « Lettre Ouverte », sous forme de tract recto-verso, a été largement et publiquement diffusée. Voilà ci-joint les 2 pages originales de ce tract : 

     

    Juliette CARANTA-PAVARD

     

    - Affaire H-D-K GRONDIN / René-Paul VICTORIA

    - Affaire F. BACHELIER / Gilbert ANNETTE                                 

    M. Jean-Baptiste MARIOTTI (le JIR

    M. Thierry BENBASSAT (le Quotidien) 

     Directeurs de publication

                                                                                                                                           SAINT-DENIS de la REUNION

     

    LETTRE OUVERTE

     

     

    OBJET :   Après vous avoir transmis, le 25/09/09, mes « droits de réponse » – dont copie ci-jointe – à la suite de vos articles me concernant du 30/06/09 pour le JIR et du 01/07/09 pour le Quotidien.

     

    Mais où avais-je donc la tête, perdre de vue que la prescription en insertion forcée tombait en même temps que celle visant la publication « volontaire » du droit de réponse !!

     

    En ce qui concerne cette dernière formule, vous avez reçu – en temps légal – ces répliques, que vous avez, avec un bel ensemble, « ignorées ». D’autant qu’à quelques jours de là, la prescription (légale) vous tendait les bras. Alors, toujours avec un bel ensemble, vous avez sauté dedans… La « gamelle » (sic) dirait fort élégamment M. J. TILLIER (Ah ! La récente manne des larges placards publicitaires que ces braves gens vous confient, à foison et sans radinerie… avec les sous de mes impôts !).

     

    Il est vrai qu’à près de 70.000 exemplaires à vous deux, ces missives auraient constitué un super scoop pour le peuple réunionnais… Quel dommage ! Mais il vous faut, n’est-ce pas, contribuer au maintien de l’ « ordre public », cher à notre Préfet MACCIONI…

     

    La sauvegarde du système municipal de « bienveillances » (sic, Rapport d’activité 2005 - Chambre Régionale des Comptes) en matière d’urbanisme, la boite à bonbons des maires …, vous intime – et par prudence, et par opportunisme commercial – de camoufler l’implication, la complicité des pouvoirs locaux dans la pérennisation dudit système. Est-il, d’ailleurs, encore possible de renverser la vapeur ?? Toutes ces constructions (immeubles, piscines, etc…) non déclarées…

     

    Et, par contraste, les tribunaux spéciaux de la Cour d’Appel de la Réunion pour les « petits », frappés à mort, pour servir d’exemple (pour qui ??) et de paravent (pour qui ? pour quoi ??).

     

    Pour revenir au sujet, avec l’expérience qui m’a été prodiguée dans l’affaire GRONDIN/VICTORIA, je n’ai pas à regretter ma distraction : une action judiciaire en insertion forcée aurait été vouée à l’échec, comme d’habitude… Ceux qui honorent de leur « impartialité » la « justice péi » – largement compromis – vous auraient fait « gagner » (sic, le JIR) afin de refouler mes scandaleux propos, mais surtout pour se protéger, eux et leurs complices…

     

    Il reste à s’interroger sur le fait que, vous, disposant légalement de votre liberté d’expression professionnelle, vous vous asseyez sur votre devoir d’information et restez insensibles, depuis des années, à un phénomène local, étrange et hors du commun : tout un département français de pouvoirs, dont l’Etat, l’Eglise, la Justice et… les Médias – ligués en meute pour persécuter et tenter de neutraliser une femme, une vieille femme, seule, face à ce front, et qui va – depuis 5 ans – martelant d’insupportables vérités…

     

    Le Préfet est sur le départ (JIR du 30/06/09). Tout comme le Procureur de la République (JIR du 02/10/09). Le Procureur général ne fera pas de (trop) vieux os ; ce ne sont là que pernicieux et impudiques oiseaux de passage, peu soucieux de ce qu’ils laissent derrière eux. L’Evêque se veut cardinal à Rome…

     

    Mais VOUS !? Pensez vous, encore longtemps, masquer l’incidence de la fraude fiscale, générée par le clientélisme municipal, sur le budget des communes ? Allez vous, encore longtemps et jusqu’où, laisser la majorité de la population « compenser » ces manques à gagner (en subissant l’augmentation des taxes locales la plus forte de tout le territoire…) dans l’ignorance de ce qui la provoque (hormis la crise, les proches suppressions de la taxe professionnelle et de l’octroi de mer…) ?

     

                                                                                                                                                              Saint-Denis, le 04 janvier 2010

     

                                                                                                                                                              Juliette CARANTA / PAVARD

    P.J. : copie des droits de réponse

    Copie à :

    ü  M. P-H. MACCIONI, Préfet de la Réunion

    ü  M. G. AUBRY, Evêque de la Réunion

    ü  M. R. DOUMAS, Procureur général

    ü  M. J. BRANA, Président de la Chambre Régionale des Comptes

     

    DROITS DE REPONSE AVORTES

     

     

     

    M. Abdul CADJEE, Directeur de la publication, Le JOURNAL de l’île de la REUNION          Saint-Denis, le 25.09.2009

     

    Je vous prie de trouver ci-après le texte de mon droit de réponse, après l’article me concernant paru le 30 juin 2009 :

     

    DROIT de REPONSE : Juliette CARANTA / PAVARD

     

     

    Par l’article du JIR du 30.06.09, intitulé « une expulsion en plein direct», signé B.G., vous avez choisi de tromper vos lecteurs et de porter atteinte à ma dignité par vos écrits, plus que tendancieux, vos insinuations et vos mensonges. Le fait que vous ayez omis quelques « détails » n’est certes pas innocent. Par exemple, que le « manu militari » (sic) s’appliquait, sur ordre du maire de Saint-Denis, à quatre policiers sur une femme de 73 ans, parce qu’elle dénonce ce que vous même aimez taire… C'est-à-dire le clientélisme municipal éhonté émanant de l’Urbanisme Réglementaire de la mairie de Saint-Denis (...et d’ailleurs ??), lequel se permet de consentir, OUVERTEMENT, les avantages de la construction sans permis et/ou en violation des règles d’urbanisme (exemption des taxes locales : T.L.E., foncier bâti, habitation) à des administrés nantis, unanimement appréciés par les politiques de tous bords…

     

    Atteinte dans ses droits, ses intérêts, sa santé, et dans sa vie, ma famille fait les frais – depuis 2004 !! – de ces dérives délictueuses (affaire GRONDIN/VICTORIA et BACHELIER/ANNETTE).

     

    Nous, citoyens discrètement sans reproches, n’avons rien demandé, rien cherché – hormis le droit, dans le respect de la loi et des règles. En ne sacrifiant pas à la « servitude volontaire péi », nous nous heurtons à un mur de complicités impliquant tous les pouvoirs locaux (dont les médias…). D’où des actes extrêmes que je suis amenée à poser, depuis, pour tenter de créer une brèche dans l’« omertà » volontairement entretenue…

     

    Le JIR a reçu de moi, entre le 30.05.2007 et le 01.02.2009, 17 fax sur l’affaire GRONDIN/VICTORIA, restés lettre morte. Après votre article du 30.04.2006, la relatant, une chape de plomb est tombée sur l’affaire : vous ne vouliez plus du tout aborder le sujet explosif de la construction illégale à la Réunion. Dites à vos lecteurs pourquoi !

     

     

    Juliette CARANTA / PAVARD

     

     

     

    M. Thierry BENBASSAT, Directeur de la publication, Le QUOTIDIEN                                    Saint-Denis, le 25.09.2009

     

    Je vous prie de trouver ci-après le texte de mon droit de réponse, après l’article me concernant paru le 01juillet 2009 :

     

     

    DROIT de REPONSE : Juliette CARANTA / PAVARD

     

     

    A la suite de l’article du QUOTIDIEN du 01.07.09, intitulé « crise en plein conseil » (non signé), je crois savoir qu’il n’y avait plus de journaliste du QUOTIDIEN au moment de ladite « crise ».

    Etant dans l’ignorance de ce qui motivait cette dure interpellation publique préméditée, vous ne pouviez – même présents – que survoler l’affaire. Ce que vous faites de façon plutôt tendancieuse, tout en relativisant la gestion musclée de la « crise » par M. ANNETTE en personne. Cela parce que j’ose dénoncer ce que vous-même vous appliquez à cacher : le clientélisme municipal éhonté émanant de l’Urbanisme Réglementaire de la mairie de Saint-Denis (...et d’ailleurs ??), lequel se permet de consentir, OUVERTEMENT, les avantages de la construction sans permis et/ou en violation des règles d’urbanisme (exemption des taxes locales : T.L.E., foncier bâti, habitation) à des administrés nantis, unanimement appréciés par les politiques de tous bords…

     

    Atteinte dans ses droits, ses intérêts, sa santé, et dans sa vie, ma famille fait les frais – depuis 2004 !! – de ces dérives délictueuses (affaire GRONDIN/VICTORIA et BACHELIER/ANNETTE).

     

    Nous, citoyens discrètement sans reproches, n’avons rien demandé, rien cherché – hormis le droit, dans le respect de la loi et des règles. En ne sacrifiant pas à la « servitude volontaire péi », nous nous heurtons à un mur de complicités impliquant tous les pouvoirs locaux (dont les médias…). D’où des actes extrêmes que je suis amenée à poser, depuis, pour tenter de créer une brèche dans l’« omertà » volontairement entretenue…

     

    Voulez vous, enfin, avouer à vos lecteurs pourquoi, vous-même, trahissez votre devoir d’information et l’éthique de votre profession en refusant d’aborder ouvertement ce minable et scandaleux secret de polichinelle ?

     

     

    Juliette CARANTA / PAVARD

     

     

     

    Pour tous ceux qui auront pris connaissance de ces écrits, je suppose qu’il n’y a rien d’autre à ajouter… 

     

    ERREUR !, il y a quelque chose à ajouter au sujet d’un que sans mon Quotidien du matin, j’ai failli oublier : Bruno GEOFFROY, rédacteur en chef au Quotidien en 2007-2008, période la plus « sensible » de l’affaire du tueur GRONDIN, mon voisin fraudeur... C’était l’heure où pour étouffer ma voix, se mettait en place la plus incroyable opération de « Justice » répressive,  jamais encore engagée dans le minable  système mafieux de la Réunion.

     

    Ce Bruno GEOFFROY que j’avais « sollicité », le 28 Août 2007, qui m’avait annoncé la visite d’un de ses journalistes « pour évaluation, ne voulant pas s’engager dans n’importe quoi » et qui s’est courageusement défilé ; ce, malgré mes fax de rappel des 12 Septembre et 25 Octobre 2007.

     

    En Novembre, j’apprenais de Damien VALETTE, journaliste au Quotidien, que je me trouvais « dans une impasse » (Sic)…

     

    L’ « impasse », c’était Bruno GEOFFROY, qui trop heureux de contribuer à la bonne santé de la « Mafia » réunionnaise avait choisi de me sacrifier ; grossièrement, sans état d’âme…

     

    Bruno GEOFFROY, cette petite crotte méprisante et prétentieuse, qui s’insurge tout droit, quand on qualifie de « petit merdeux » ceux qui lui ressemblent !

     

    Ce Bruno GEOFFROY, rédacteur en chef au Courrier de l’Ouest,  que le Quotidien ressuscite pour moi – après 5 ans de sain oubli, en le citant dans ses colonnes comme « PAS CONTENT : « Je n’accepte pas qu’on puisse traiter un journaliste de petit merdeux » »(Le Quotidien du 05 Août 2013)

     

    Mais, Bruno GEOFFROY, ils sont légion les « petits merdeux » dans votre corporation ; et je puis vous assurer  – sans conteste possible – que c’est exactement sous cet aspect que je vous ai perçu lors de nos « contacts » professionnels en 2007 et en 2008.

     

    Une dernière remarque : la défroque d’« indigné » ne sied pas à votre type de beauté, pour peu qu’on vous connaisse… 

     ***

    La prochaine rubrique traitera du monde judiciaire ; où le mot « con » - familier à la corporation – trouvera sa juste place.  

     

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