• La Réunion est un village. Un village où le moindre évènement peut prendre des proportions gigantesques pour peu qu’il soit traité par la presse locale. Un village où tout se sait (ou se devine…) mais où « tout » ne se dit pas. Selon le leitmotiv, vieux de quelques années, de La Radio Freedom : « On peut parler de tout mais pas de n’importe quoi ». Le « n’importe quoi » portant sur les sujets strictement tabous, tel celui qui me mobilise : les gros désordres urbanistiques, administratifs, fiscaux et autres générés par la construction sans permis de construire – spécialité réunionnaise – instaurés par la collusion entre tous les pouvoirs locaux, sujet brûlant s’il en est

    Un village où le classique tam-tam a du mal à rivaliser avec la machine médiatique du pays, faiseuse de « rois » et escamoteuse de gabegies.

     

    Outre LA Radio Freedom, tous les médias réunionnais ont parfaitement intégré le principe de l’Omerta ; se gardant bien de libérer les vérités pas bonnes à dire, susceptibles de fâcher certains (un magistrat, par exemple) et d’en contrarier d’autres : les Élus-Peï, grands dispensateurs de « cadeaux à leurs parents, amis et obligés…

     

    Les Médias-Peï – dans leur ensemble – s’empressent de servir au public réunionnais ce qui lui plait, apte à soulever l’enthousiasme des foules – telle l’extravagante affaire de la couronne de la « MISS » Valérie BÈGUE… Mais aussi les innombrables « Faits Divers » alimentant généreusement l’émotionnel.

    En revanche, l’incurie, la gabegie et l’impéritie de nos élus sont traités de façon plus discrète : quelques-uns de leurs nombreux scandales mis à jour créent le « buzz » un instant puis s’éteignent ; jusqu’au prochain…

     

    Ce que le public réunionnais aurait intérêt à connaître – et serait en droit de savoir – est maintenu dans la plus sûre des oubliettes : l’Omerta !

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    Le PARC MÉDIATIQUE du Département comprend 3 chaînes de T.V. locales, plusieurs dizaines de radios- dont la reine incontestée est La Radio Freedom et sa vocation auto-décrétée de « Radio de la Liberté ». Bien assise sur sa base « multiservices »ce média est – sournoisement – essentiellement, manipulatrice  et réductrice de vraie Liberté.

    Quelques journaux en ligne, également, dont ZINFOS 974 qui est le seul Média à m’avoir donné la parole, ICI, à la Réunion…

    Enfin, la Presse écrite, celle qui représente pour moi un intérêt particulier parce qu’elle est celle « qui reste » et qui permet ainsi de ne pas perdre de vue ce qui a été publié ou volontairement « oublié ».

    Par exemple le sujet de la construction illégale à la Réunion

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    Amie de l’écrit, ignorant, à l’époque, la pratique d’un ordinateur, ce sont les deux principaux journaux – LE JIR et LE QUOTIDIEN – qui, depuis 2006 et des années durant, ont été « sollicités », harcelés puis systématiquement informés du déroulement de l’affaire GRONDIN/VICTORIA/CARBONNEL/ANNETTE/MACCIONI/DOUMAS,… 

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    *UN JOURNAL, UN QUOTIDIEN, c’est-à-dire ?

    **Un journal c’est d’abord une entreprise commerciale avec un patron et des intérêts à servir. (Les deux journaux en question ont, l’un et l’autre, été contraints, ces dernières années, à une importante baisse de leurs tirages ; l’idée d’une fusion des deux titres a même été envisagée ; ce qui révèle le côté fragile de ces entreprises ; et ce qu’elles peuvent choisir de faire – même de plus indigne – pour rester financièrement «  à flot »…)

    ** Un journal est sous la responsabilité d’un Directeur de la Publication, chargé entre autre de veiller à ce que son journal ne commette pas le délit de diffamation ; mais aussi de prendre de prudentes distances avec un éventuel « diffamateur » : moi, en cette occurrence…

    **Reste que cette entreprise est majoritairement composée de journalistes, dont un Rédacteur en chef, animateur de l’équipe et gendarme patenté du respect de la « ligne éditoriale » du journal.

    **Reste aussi que le métier de journaliste est « soumis » à des règles déontologiques faites de Droits et de Devoirs,(Voir Charte de Munich) débouchant sur une soi-disant « Liberté de la Presse ».Le tout ne concordant pas forcément avec le mode de « gestion » de l’entreprise.

     

    **Et c’est là que l’on découvre qu’éthique et profit ne font décidément pas bon ménage…

     

    À noter : À partir de cette rubrique, Je souhaite mettre en évidence le rôle des responsables de la publication ainsi que celui des Rédacteurs en chef dans le traitement de l’affaire de la construction illégale à la Réunion et – bien entendu – le « traitement » qui m’a été réservé pour en être la plus redoutable des « Lanceuses d’Alertes »... 

     

    ***

    N°1 – Le JIR et son « Hyper-Président », Jacques TILLIER

     

    Dès mon arrivée à la Réunion, j’ai lu le JIR ; fidèlement, jusqu’en 2008. J’ai donc lu du TILLIER dès sa prise de poste, en 90. Comme tant d’autres, je me suis régalée des éditos de Jacques TILLIER – qui faisaient, chaque samedi, monter d’un tiers la vente du journal ! Ces éditos où Jacques TILLIER vendait férocement quelques « ripoux » de notre société-peï ; mais pas n’importe qui, ça se saura…

    J’étais si fière de son « courage » que, lorsqu’il a été en difficulté de trésorerie à cause de ses condamnations pour diffamation, je lui ai réglé 2 ans d’abonnement d’avance…

     

    Puis, il m’a fallu – en direct – découvrir que Jacques TILLIER TRIAIT SOIGNEUSEMENT LES ORDURES QU’IL DÉNONÇAIT DE CELLES QU’IL COUVRAIT DE SON SILENCE ; dont les protagonistes de l’affaire de mon voisin, le tueur de femme Hilaire GRONDIN et ses deux enfants fraudeurs, producteurs et utilisateurs de faux ; le Député-Maire René-Paul VICTORIA (alias « la Reine-Maire » pour TILLIER !!!) et ses sbires, Dominique FOURNEL et Brigitte LAMY ; le Président du Tribunal administratif, Francis CARBONNEL ; le Préfet Pierre-Henri MACCIONI ; le Procureur de la République, François MUGUET ; le Procureur général, Raymond DOUMAS ; et autres « raclures » de notre Peï…

     

    De mon premier Fax adressé à son adjoint, Jacky FERRÈRE le 24 Avril 2006 jusqu’ au 12 Septembre 2007, 11 Fax d’alerte ont été Faxés nommément à Jacques TILLIER et 4 autres à Jacky FERRÈRE ; dans le plus absolu des mépris : Le SILENCE !

     

    Cette basse crapule de TILLIER a TOUT « supporté » :

    *Les Délits ouvertement commis par le clan GRONDIN (mon voisin le tueur…) et toutes les complicités de ses honorables soutiens, déjà cités.

    *Les ignobles persécutions directement ou indirectement exercées sur ma personne par les Maires de St DENIS VICTORIA et ANNETTE, leur milice, la Police d’État, la Magistrature… etc… ; au su de tous… afin de me faire taire !

     

    À partir de sa « liberté de ne pas dire »,Jacques TILLIER, cette POURRITURE D’HOMME, prostituée au profit et au plaisir de plaire, a TOUT supporté de ce qui m’était appliqué, TOUT couvert de son silence complice, sans aucun état d’âme ; jamais aucun de ses  journalistes dans les prétoires, les jours de mes indignes comparutions ! (Quinze, en tout !) Une « affaire » unique dans les annales judiciaires de tout le territoire français, avec des « journalistes » regardant ailleurs…

    Nous étions loin de la pléthore de « papiers » sortis lors de l’affaire Valérie BÈGUE qui, grâce à lui, TILLIER, a failli faire couler le sang à la Réunion !! N’oubliez-pas, des dizaines de titres dans le JIR pour défendre les « droits » à sa couronne de la fameuse « Miss », pour le moins douteuse ; avec l’Évêque AUBRY en pleine page couleur de « Une » du JIR du 23 Décembre 2007, appelant – via la volonté de jacques TILLIER – à voler au secours de la Miss !!! Prêts, les uns et les autres, à provoquer une révolution pour le maintien forcé de la fameuse couronne… du GRAND journalisme !

    Ce, juste avant que le GRAND TILLIER nous quitte, en avril 2008, laissant éplorées toutes les «Mmes AUDE » du département…

     

    Consolons-nous, le Grand TILLIER revient ; pour VENDRE son livre, « Une Plume Libre ». Oui ? Une plume libre de se prostituer quand « Gamelle » oblige. (Gamelle c’est du TILLIER ; pour les autres…)

     

    POUR CONCLURE, QUE DIRE DE CE VIEUX VOYOU QUI M’A VOLONTAIREMENT « NEUTRALISÉE «, POUR LA PLUS GRANDE RECONNAISSANCE DE SES MAÎTRE ?

    POUR L’HEURE RIEN DE PLUS QUE CE QUE JE VIENS DE DIRE ; POUR L’HEURE…

                                                                                                                                                                              Saint Denis le 27 février 2013

                                                                                                                                                                                 

     

    …et ça n’a pas traîné : TILLIER arrive le 03 Mars et il offre à ses « fans » une séance de dédicaces le Samedi 09 suivant, à la Librairie Gérard ! Ayant une occasion unique de me trouver face à cette fripouille, pour la première fois de ma vie, je ne vais pas la manquer !! J’ai donc décidé d’aller lui faire visite et – pourquoi pas ? – de lui donner, encore une fois, une dernière fois, quelques-uns de mes sous. À la loyale, j’ai eu la délicatesse de m’annoncer. (Commentaire N° 11 du 27.02.2013 – Blog de Pierrot DUPUY : «…une plume libre… »)

     

                                 Les MÉDIAS réunionnais :

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    J'ai eu la surprise de découvrir un Jacques TILLIER tel que je ne l’imaginais pas : un vieux pépère amène et gentillet pas le profil du dur qui avait voulu ma peau, pas le profil d’un qui avait survécu aux soins de MESRINE, ce MESRINE qui, contre toute attente, a tant fait pour l’image de TILLIER…

    À partir des informations qui me sont parvenues, j’ai cru que notre Jacques avait été révolvérisé par MESRINE ; ce qui, entre truands, est traitement d’Honneur.

    Pas du tout ! MESRINE a flanqué une très, très grosse rouste à TILLIER, avant d’user de son arme ; ce qui démontre clairement une volonté de sa part d’abaisser, d’humilier au-delà du possible, ce grand malpropre de TILLIER…

     

    Donc, comme annoncé, j’y vais ; et, tout comme MESRINE, je me paye le luxe de traiter comme elle le mérite cette ordure de TILLIER. J’en suis pleinement satisfaite ; lui, pas !! Au lui de s’écraser, il en rajoute ; selon lui tout a été parfait lors de sa séance de dédicaces : « À l’exception d’une gazée agitée de tremblement nerveux qui me reproche de ne pas avoir évoqué le cas de son mari, tout s’est bien passé » affirme-t-il dans son édito «  Le coup de pied à l’âne », paragraphe « samedi », du 18 Mars 2013. Ah ? Ah !!

    La « gazée » c’est moi et je n’ai pas de mari… Tillier, pour escamoter les raisons de cet énorme camouflet public  qu’il vient d’essuyer, n’hésite pas à dire n’importe quoi, à mentir. Bof, ça n’étonne personne, je pense…

     

    De là à le tenir quitte il y a un pas… que je franchis en vous proposant la suite sous la forme d’un texte de dernière heure, « C’est la fête à TILLIER… » :

     

     * * *

     

     *DERNIÈRE HEURE ! : C’est la fête à TILLIER… 

     

    (Librairie Gérard, mon « Point Rencontre » avec un 2ème de mes « NAZIS » après Francis CARBONNEL. Ce Samedi 09.03.2013 – Séance de dédicaces de TILLIER.)

    Comme je l’annonçais dans ZINFOS du 26 Février dernier, j’étais là ! – TILLIER aussi, à son poste de dédicace. Dès mon arrivée, il m’a vue et …reconnue ! Il ressemblait à une poule surprise par un renard…tétanisé !

    J’ai salué quelques connaissances ; j’ai acheté mon exemplaire de TILLIER (25€ !) et pris sagement ma place dans la queue. TILLIER me regardait à la dérobée, mais ma bonne tenue l’a sans doute rassuré. Tous ceux qui n’ont jamais pratiqué l’agression, en forme de scandale public, froidement préméditée, ne savent pas le grand désordre que les torrents d’adrénaline sont capables de générer à l’approche de l’ «exécution » : l’émotion m’a fait, tour à tour, perdre mon parapluie préféré et mon exemplaire à 25€ de TILLIER … un vrai gag !  J’allais et je venais dans la librairie, égarée moi aussi, distrayant les amateurs de dédicaces qui patientaient

    Lorsque mon tour est arrivé, TILLIER était calme, rassuré, prêt à m’accompagner dans la petite comédie de gens comme-il-faut ; il ne m’a cependant pas tendu la main. Il m’a demandé mon nom ( !), l’a noté avec sa dédicace sur la page de titre que je lui présentais d’autorité (Je ne voulais pas qu’il voie l’intérieur des pages saccagées au marqueur noir.)

     

    J’ai récupéré mon exemplaire TILLIER à 25€ et, posément, j’ai arraché et gardé la page de dédicace ; puis, j’ai refermé le livre et le lui ai jeté dessus en l’insultant haut et fort. Il était médusé avec l’air d’être une poule promise au renard…

    Ceci fait, je me suis installée sur le trottoir, juste à l’entrée, avec vue sur Jacques TILLIER et j’ai distribué, de la main à la main, le tract d’adresse de mon blog.

    Tout cela s’est déroulé gentiment, sans mouvement de foule. Les « nervis » préposés à la protection rapprochée de TILLIER n’ont pas tiqué. Sauf Jean-Claude VALLÉE qui n’a pas pu s’empêcher de me donner une leçon de conduite : « C’est pas sympa ! » m’a-t-il apostrophée, indigné ; ajoutant que ce genre de chose devait se faire en aparté…            

    J’ai été vengée par « Mme AUDE » : même si elle m’a volé la vedette en faisant la visite la plus remarquable du jour, je lui suis reconnaissante d’avoir répandu son enveloppante affection sur TILLIER et quelques autres, mais surtout sur notre Jean-Claude VALLÉE, tout rose de plaisir ! Mon stock de tracts épuisé, j’ai levé le siège à 18h00. Par la suite j’ai remarqué que pas un seul Média a rapporté cet original « Fait Divers »…

     

    …et je me suis trompée : ZINFOS a ouvert ses colonnes  à cette rigoureuse information  rapportée par Jacques TILLIER, soi-même, dans son édito « Le coup de pied de l’âne. » ZINFOS du 18 Mars 2013 (Paragraphe « Samedi »)

    *Voici le « Rapport TILLIER » sur l’évènement relaté ci-dessus :

     

    « À l’exception d’une gazée agitée de tremblements nerveux qui me reproche de ne pas avoir évoqué le cas de son mari, tout s’est bien passé. » (Sic – TILLIER) Du TILLIER Grand Cru…

     

    N.B. :« LA FÊTE À TILLIER » ci- dessus rapportée, était destinée à mon blog ; seulement à mon blog. Après le « Rapport TILLIER » je l’ai soumise à « ZINFOS 974 » en guise de rectificatif et de réplique ; malgré ma lourde insistance, Pierrot DUPUY a refusé de le publier ; « Fidèle en amitié » (sic), Pierrot veut protéger le mensonge de TILLIER et  TILLIER avec… Alors j’ai déjà envoyé ce texte à l’« UNION » de REIMS… et je me réserve la possibilité de le diffuser largement à qui bon me semble.

     

    Pour conclure : mon « nazi » TILLIER a été « servi » ; je me tiens prête à aller plus loin s’il s’avise encore à me chercher noise. Pour matérialiser ma visite de dédicace du 09 mars dernier, je présente ci-après la copie de celle qu’il m’a dédiée : « Bien amicalement »… !!! 

     

                                         *DERNIÈRE HEURE ! : C’est la fête à TILLIER…   

                                            

    *Le prochain chapitre traitera du rôle joué  par les deux Rédacteurs en Chef du Quotidien, Pascal BAUDOIN et Thierry DURIGNEUX, en faveur de la corruption-peï, sous le titre : « Le Quotidien et son crédo ». 

    Saint Denis le 23 Juin 2013 

     

    ***

     

    N°2 – Le QUOTIDIEN et son credo :

     

    Lors de sa création, en 1976, le Quotidien se voulait « un journal ouvert sur l’ensemble de la société réunionnaise et soucieux de participer à la vie et au développement de notre île » (sic).

     

    Cette profession de foi n’incluait pas le DEVOIR d’INFORMATION et la lutte contre la corruption, par l’écrit HONNÊTE… 

     

    Comparé à « Var-Matin », le petit dernier de la presse écrite locale est un bijou ; l’image est plus que trompeuse : le Quotidien peut rivaliser avec « Var-Matin » -  et avec son concurrent, le JIR -  pour son entière loyauté aux ripoux du département et par son absolue discrétion sur les sujets sensibles-peï…

     

    Dans l’affaire qui m’occupe (La construction sans Permis de construire, la fraude fiscale qui va avec et l’incroyable discrimination administrative que cela représente.) le Quotidien a adopté la même attitude que le JIR en matière d’Omerta ; mais avec, une plus grande hypocrisie, une malhonnêteté encore plus lourde, de la même nature que celle de Freedom ; allant jusqu’à s’« indigner » des « muselages » de presse  chez nos voisins  mauriciens et malgaches !! 

     

    Je voudrais, à ce propos, vous donner un exemple, un seul : 

    Dès le début de mon combat, nombre de « bonnes personnes » sont venues me dire que je n’avais pas la bonne façon d’interpeller mon monde. (Sous- entendu : « C’est pour ça que vous n’obtenez aucun résultat. ») Parmi elles, Bernard GROLLIER, correspondant local du « POINT ». Lequel GROLLIER me fait, un jour, une surprenante proposition : Il rédige à ma place – de façon bien comme il faut... – un Courrier des Lecteurs sur l’affaire GRONDIN/VICTORIA/ etc… et, il se fait fort de le voir publié…sous ma signature !! Ah !? Mais rien ne m’interdis d’avoir un « nègre », n’est-ce-pas ? Marché conclu ! Et, sous le titre : « Construction : La fraude et l’omerta » je propose ledit courrier (rédigé par Grollier) aux médias locaux et, ô miracle !, le voilà  publié par les deux journaux – JIR et QUOTIDIEN – le 29 Décembre 2008 ! – Après  3 ans de silence mafieux… 

     

    Voilà ci-après le texte – tel que rédigé par Bernard  GROLLIER – dont l’original a été transmis, par mes soins, le 27 Décembre 2008, à la presse locale :

     

    Construction : la fraude et l’omerta.

     

    Un silence assourdissant couvre un scandale permanent dans notre île : celui des « arrangements » qui caractérisent un grand nombre d’opérations de construction.

    Bien sûr, cette corruption rampante est plus difficile à dénoncer que les malversations à plusieurs centaines de millions d’euros qui font la une de nos journaux.  Les affaires dont je veux parler sont « municipales », elles  concernent essentiellement des particuliers, les sommes en jeu sont à leur échelle.

    Ce n’est pas une raison pour se taire !

    J’accepte d’autant moins cette omerta que j’en suis victime. Voici un bref rappel des faits :

    En décembre 2005, mon voisin le plus proche, dans le quartier de Bellepierre, démarre la construction d’un petit immeuble, sans permis de construire. Je n’ai pas de relations, ni bonnes ni mauvaises, avec cet individu, mais je viens alors de vivre une expérience  éprouvante avec le service de l’urbanisme de Saint-Denis, à l’occasion de la reconstruction à l’identique de ma propre maison. L’extrême rigueur dont a fait preuve ce service à mon égard me laisse penser qu’il ne saura tolérer une construction illégale. Las ! Malgré de multiples relances de ma part, la mairie n’intervient pas. En avril 2006, un article de presse relate l’affaire. Le service de l’urbanisme daigne alors venir constater les faits et quelques jours plus tard un arrêté municipal impose l’arrêt des travaux. Il apparaît que mon voisin avait déposé une demande de permis de construire en décembre 2005, et qu’il était tellement sûr de l’obtenir qu’il avait lancé les travaux sans attendre. En mai 2006,sa demande est rejetée , tant le projet est incohérent. Mais le 27 décembre 2006, un nouveau permis de construire est accordé, avalisant (de quel droit ?) les travaux déjà réalisés. Indignée, je saisis la Justice : mes requêtes sont rejetées. Révoltée, j’imprime des tracts, j’alerte diverses autorités, en vain. Et, d’accusatrice, je deviens accusée…  La mairie (René-Paul Victoria, son 2ème adjoint, le service de l’urbanisme) m’attaque en diffamation.

    Les détails de ce parcours judiciaire seraient trop long à raconter, mais sachez que pour avoir dénoncé un fait illégal, la « justice » a cru devoir me condamner à payer un total de  4 500 euros d’amendes. Sachez également que les magistrats de la place (ainsi que la plupart des détenteurs d’une parcelle de pouvoir dans cette île), se montrent particulièrement agacés par mon insistance à refuser l’inacceptable. 

    Mon voisin a maintenant terminé sa construction. Et réclame le droit d’entrer chez moi pour crépir la façade hideuse qui se dresse désormais sur trois niveaux au ras de mon jardin ! Il va sans dire que je refuserai jusqu’au bout cette ultime humiliation et je continue à réclamer une expertise judiciaire  qui ne manquera pas de souligner les nombreuses irrégularités de cette opération immobilière. 

    Je précise que je suis âgée de 72 ans. J’emploie toute mon énergie, depuis trois ans, à tenter de faire valoir le droit. J’ai pour l’instant échoué mais je refuse toute idée de résignation. Seule, j’ai le plus grand mal à me faire entendre. Sans doute nombre d’entre vous ont-ils été témoins ou victimes de faits similaires. Je vous invite à rompre le silence,  à témoigner, à alerter la presse. 

    Peut-être, alors, la Justice fera-t-elle davantage son travail ?  

    Juliette Pavard, Saint-Denis le 27 Décembre 2008  

    DESTINATAIRES : Presse écrite : JIR, Quotidien, Visu, Témoignages, Agri-Mag, Le Mémento, l’Écho Austral, L’Économie de la Réunion, Réussir. Télévisions : RFO, Antenne Réunion. Radios : RFO, Freedom, Radio Festival, Radio Arc en Ciel, Exo-FM., Zinfos 974.

     

    Sauf que la prose de Bernard GROLLIER – déjà bien mollassonne – a encore été édulcorée, en « missouk », par les deux titres afin de bien tromper les lecteurs, non informés de ces amputations… ( Je crois utile d’ajouter que ceux qui me connaissent n’ont pas été dupes de cette supercherie : « ce n’est pas toi qui a écrit ça ! »…)

     

    *POUR LE JIR : le 1er paragraphe a disparu, en toute discrétion… (J’ai oublié qui était le Rédacteur en chef de l’époque…) 

     

    *POUR LE QUOTIDIEN : le mot « CONSTRUCTION » du titre a été oublié – tiens ! Pourquoi ?? 

    Mais, de prime abord, le texte semble entier ; de prime abord ! En réalité, le texte a été complètement mité par quinze traitresses soustractions ; quinze !,  allant d’un mot à des phrases entières, soigneusement choisies ; sans l’obligatoire signe conventionnel – (…) – le  signalant aux lecteurs et… au rédacteur… 

     

    Cela se passait sous l’ère de Pascal BAUDOIN, Rédacteur en chef… lequel sévit actuellement dans la Meuse ; les meusiens ne semblent pas très rassurés quant à son honnêteté… 

     

    Après cela, je vous propose deux illustrations des mœurs de ces défenseurs de la « ligne éditoriale » spécifique au pays de Réunion : 

     

    *POUR Pascal BAUDOIN, Rédacteur en chef du Quotidien : j’exhume, ci-après, l’originale « réponse » que l’individu a osé faire à mes interpellations. (Courrier reçu de P. Baudoin, en date du 09 Octobre 2008) :

     

    lettre baudion

    *Et ma réplique du 28 Octobre 2008… 

     replique

     

    *POUR Thierry DURIGNEUX, Rédacteur en chef du Quotidien :

    interpellé à son tour sur son devoir d’information, Monsieur DURIGNEUX manifeste la même grossière lâcheté que son prédécesseur. Mais le vent a tourné et l’intimidation semble avoir changé de camp : j’ai eu le délicat plaisir de bouleverser ce personnage – habitué, comme tous les autres au confort de la servitude-peï – en le ridiculisant. (Courrier des lecteurs : « Juliette CARANTA-PAVARD à Thierry DURIGNEUX, Rédacteur en chef du Quotidien » - Zinfos 974 du 20 Mars 2012.)

     

    *Je présente ci-après l’objet du délit : soit en premier l’original tel qu’il a été publié au courrier des lecteurs de Zinfos le 20 Mars 2012 à 14h39. J’ai dû faire un petit bricolage, signalé par les caractères en rouge : «  TOUJOURS LE PANTALON SUR LES SOULIERS, THIERRY…Ah ! ». Le deuxième exemplaire est celui qui a été amputé de la fameuse phrase du pantalon, toujours présent aux archives de Zinfos.

     

    pantalon

     

    *Suivent les commentaires que j’ai ajoutés à mon courrier : 

    °Celui du 07 Avril 2012 à 11h10 : Thierry, vous venez de me raccrocher brutalement au nez… (Je me suis pourtant présentée poliment à vous : je voulais juste connaître le nom d’un journaliste qui, contrairement à moi, n’ose pas signer ses écrits en clair.)

    Je vois que, comme à l’accoutumée, vous n’appréciez pas mes écrits ; surtout les centaines qui ont été faxés au Quotidien, depuis le début de l’affaire Hilaire, David et Karine G. / Victoria / Annette, en 2007 ; au point de déléguer le journaleux-syndicaliste  Yannick BERNARDEAU à venir – chez moi ! – me conseiller de cesser ces envois, étant donné que vous les mettiez systématiquement à la poubelle…

    Comment se fait-il que vous soyez si sensible, alors que je ne fais que parler de votre pantalon, moi ??

     

    *Juste après ce « contact » avec Durigneux, je découvre que le « Toujours le pantalon sur les souliers, Thierry… Ah ! » a disparu de mon courrier du 20 Mars 2012…

     

    °Celui du 07 Avril 2012 à 13h55 : Thierry, je viens de découvrir que Zinfos a supprimé la dernière phrase relative à votre pantalon ! Votre fureur de ce matin m’a signalé que j’avais visé juste ; et vous n’avez pas encore tout vu… Une Petite Chose comme vous est capable de les avoir menacés ; je me demande bien de quoi ! Quant à l’auteure – responsable de cette « liberté d’expression » si chère au Quotidien, moi en l’occurrence – elle vous a classé parmi les personnes dont il convient de s’ «occuper » ; en troisième priorité.

    EN ESPÉRANT UNE TRÈS PROCHAINE « LIBERTÉ DE LA PRESSE », ICI, À LA RÉUNION…

    En conclusion, Thierry n’a pas supporté du tout que l’on rit à ses dépens : tout humour écarté, il aurait menacé Zinfos d’un procès ; IMAGINEZ L’AUDIENCE !!

    Ce qui n’empêche pas que cet olibrius publie, dans le Courrier des Lecteurs du Quotidien du 05 Mars dernier, sous le titre : « La parano des pseudos » et sous sa signature, cette phrase osée : « Nos pages « Courrier des lecteurs » accueillent les débats, tous les débats, dès lors qu’ils ne contreviennent pas à la loi ou à la morale. »

     

    Vous l’aurez compris : dans la petite tête de Thierry, une investigation suivie d’un article de fond – ou même, simplement, un Courrier des Lecteurs différant de la bouillie pour les chats quotidiennement publiée – portant sur la CONSTRUCTION ILLÉGALE et LA FRAUDE FISCALE QUI EN RÉSULTE, ICI, À LA RÉUNION, contrevient à la LOI et à la morale...Voilà !

     *** 

    La suite de cette rubrique sera consacrée à la base de la corporation : les « Journaleux-peï », dignement représentés par Messieurs Bruno GRAIGNIC du JIR et Pierre-Yves VERSINI du Quotidien. 

      ***

     

    *Les journalistes de base-peï : 

     

    Au-delà des « responsables-modérateurs-escamoteurs » d’information, de nos deux principaux quotidiens, il me reste à parler des « autres » : la centaine d’encartés répartis entre les deux titres ; qui, pour ne pas être « responsables », n’en dépendent pas moins déontologiquement, des règles éthiques de leur profession. (« Charte d’éthique professionnelle des journalistes » - Syndicat National des journalistes = S.N.J. – et – « Charte de Munich » Déclaration des Devoirs et Droits des journalistes.) 

     

    Pour introduire le sujet – et par souci d’économie d’énergie – je récupère l’un  de mes innombrables commentaires publiés sur « Zinfos 974 » : 

     

    *[…] Côté « liberté de la presse » il aurait mieux valu oublier les « journaleux » de la Réunion… ; et avoir l’élémentaire délicatesse de ne pas les mêler à ceux qui perdent leur vie – de différentes façons – pour leur courage et/ou leur liberté de ton. Les « nôtres » ne risquent rien de si grave ; ils ne risquent que leur « gamelle » (Terme favori du grand reporter Tillier…) ; je pourrais comprendre qu’ils fassent profil bas, seulement pour ça ; mais pas admettre la médiocrité, la stupide suffisance, la flagornerie, la lâcheté et la malhonnêteté de trop nombreux d’entre eux. Dans l’affaire Hilaire Grondin/René-Paul Victoria/Gilbert Annette […] j’ai pu faire une étude de la corporation « en live »…depuis 7 ans !) 

     

    Vous l’aurez  compris, il est impossible de trouver un « vrai » journaliste à la Réunion ; ceux qui aspireraient à l’être (Une mini-minorité ; pour leur éviter des ennuis, je tairai leur nom…) sont rudement encadrés, maintenus sous tutelle. (Ayant moi-même vécu un licenciement disciplinaire, je peux comprendre qu’ils s’inclinent ; mais là, il ne s’agit pas de ça !) 

     

    Faisons fi des Yannick BERNARDEAU, Thomas LAURET, Ludovic PROUVOST, Sébastien GIGNOUX et autres  petits déchets du métier ; allons directement aux deux phénix qui au nom et sur ordre de leurs employeurs respectifs (JIR et Quotidien) ont, de concert, touché le fond du misérable, modèles de « servitude volontaire » de la presse locale… Ces deux petits « nazillons » décérébrés – mais très sûrs d’eux – ont su choisir leur « gamelle »…

     

    Je les cite : Bruno GRAIGNIC du JIR et Pierre-Yves VERSINI du Quotidien.

     

    Je relate, ci-après, les circonstances dans lesquelles ils sont entrés dans ma vie, en faisant preuve de leur talent et de leur sens de la déontologie : 

     

    *En rappel : il s’agit là – encore et toujours – des effets de la CONSTRUCTION  SANS PERMIS de CONSTRUIRE et de la FRAUDE FISCALE qui va avec ;

     

    *Mon rendez-vous, à ce propos, avec Gilbert ANNETTE, le 01 Avril 2009 et mon courrier du 15 Juin 2009 rapportant tous les points évoqués lors de cette rencontre et lui enjoignant d’agir. (Ce courrier a été publié le 28 Avril 2012 sur « Zinfos 974 » et se trouve dans les archives du journal.)

     

    *Comme je ne voyais rien venir, je décidai de renouveler mes interpellations – publiquement, cette fois – au Conseil municipal du 29 Juin 2009 ; occasion  d’autant plus propice que ce Conseil se flattait d’une grande première : la transmission des débats en direct, par internet…

     

    *Le JIR et le QUOTIDIEN persistant à maintenir l’Omerta sur les scandales Urbanistiques  municipaux, je décidai, non seulement de ne pas les « solliciter », mais de les tenir soigneusement dans l’ignorance de ce projet.

     

    *Ainsi, le soir du 29 Juin j’étais là, sagement assise dans mon coin favori. Rusé comme un vieux singe, Gilbert ANNETTE – encore « chaud » de nos récents contacts et alerté par ma présence – avait  cédé  la présidence à sa 1re adjointe, Monique ORPHÉ et s’était positionné dans mon dos ; avec sa milice à portée de main…

     

    *Dès que je me suis levée et ai ouvert la bouche, il a lancé sur moi quatre robustes policiers qui se sont mis en devoir de me neutraliser : deux hommes aux jambes et deux femmes aux bras (j’ai pu apprécier à quel point les femmes sont plus motivées que leurs collègues masculins, n’hésitant pas à employer les gestes « anti-forcenés » sur la grand’mère de 74 ans que j’étais alors…)

     

    *Comme de juste, je résistai : brutalement et douloureusement maîtrisée, j’ai dû user de ce qui me restait pour me défendre et faire cesser cette violence : j’ai mordu le bras de la plus efficace des deux policières (Tout en évitant  sciemment d’enlever le morceau…) À quatre, ils ont réussi quand même à me traîner dehors et me jeter à terre, hurlante…jusqu’à être prise en charge par les pompiers et conduite aux urgences du C.H.D. où j’ai retrouvé ma « mordue ».

     

    *À noter que les trois guenons féministes composant le harem du mâle dominant ANNETTE (Monique ORPHÉ -1re adjointe, Ericka BAREIGTS-2e adjointe et Nalini  VÉLOPOULÉ)  sont restées de marbre…

     

    *Un très grand moment de « communication » en forme d’original « Fait divers » ; sauf qu’il a failli être raté, Bruno GRAIGNIC du JIR et Pierre-Yves VERSINI du Quotidien, s’étant lassés du cirque, étaient partis prendre l’air… Fallait-il  pour autant priver leurs lecteurs de ce qu’ils avaient manqué ? Qu’à cela ne tienne ! Nos « encartés-peï n’ont pas besoin de voir pour témoigner, dire et écrire…

     

    *Et voilà ce que ça a donné : (je retranscris à la virgule près leur prose de petits rats d’égouts.) 

     

    ¤Pour le JIR du 30 Juin 2009 :

     

    ¤Titre : « Les comptes ne font pas les bons amis »

     

    ¤Annexe de dernière heure : « Une expulsion en plein direct ». Signé B.G.

     

    « LES COMPTES NE FONT PAS LES BONS AMIS À SAINT-DENIS 

    Une expulsion en plein direct

    Alors que ça tourne (trois caméras, de la bande passante pour mille connexions en même temps…) et ça diffuse depuis environ deux heures sur le site de la Ville, Juliette Pavard, accompagnée de son fils, a voulu profiter de cette tribune pour crier son désespoir.

    Depuis des années, cette habitante des Hauts de Bellepierre est en contentieux avec la Ville. En cause, des faits qui remontent à 2005. Un de ses voisins démarre la construction d’une maison sans permis et, qui plus est, en rognant sur son terrain selon ses dires. Le permis aurait finalement été régularisé en 2006.

    Mais la bataille judiciaire, longue et pénible, n’est pas à son terme. René-Paul Victoria, maire de l’époque, son 2e adjoint, Dominique Fournel, et le service de l’urbanisme attaquent en diffamation et gagnent. Aujourd’hui, avec l’avènement du PS, elle espérait obtenir la démolition de la construction voisine après quatre ans de bataille. Mais, son intervention s’est soldée par une expulsion manu militari de la salle polyvalente. Le coup d’essai de la mairie, 5 000 euros annoncés, a donc essuyé les plâtres des aléas du direct. Mais la Ville veut généraliser les diffusions en live tout de même. »  B.G.

      

    ¤Pour le QUOTIDIEN du  01 Juillet 2009 :

     

    ¤Titre : « Débats sous haute surveillance »

     

    ¤Annexe de dernière heure : « Crise en plein conseil » - Non signé.

     

    « DÉBATS SOUS HAUTE SURVEILLANCE

    Crise en plein conseil

    Le conseil municipal était lundi soir pour la première fois diffusé sur internet (639 visites ont été comptées sur le site). L’occasion pour les élus sans doute plus encore que d’habitude de s’écouter parler et d’expliquer et réexpliquer le contenu de dossiers ou d’une politique qui n’échappe pas à leurs collègues mais peuvent peut être ne pas être connus de tous les internautes !

    C’est humain, c’est « la démocratie participative », comme s’en amuse Gilbert Annette, pas peu fier de présenter aux dionysiens en direct le travail réalisé.

    Mais cette web-TV a aussi été l’occasion pour une administrée bien connue des services, Juliette Caranta-Pavard, de s’emporter et d’apostropher d’abord les élus de l’opposition, René-Paul Victoria et Dominique Fournel en tête, puis ensuite l’ensemble des élus et l’administration municipale.

    Juliette Caranta-Pavard, 73 ans, est en conflit avec la mairie depuis 2006 pour une histoire de de construction d’un de ses voisins qu’elle estime sans permis. Elle a déjà fait une grève de la faim en 2008 et a porté l’affaire au tribunal, ayant elle-même été poursuivie pour diffamation.

    Elle est intervenue hier durant l’examen du compte administratif 2008 alors que le maire, comme le prévoit la loi, avait cédé la direction des débats à Monique Orphé.

    Juliette Caranta-Pavard, faute de dialogue possible, a été évacuée par la police municipale pour la sortir de la salle polyvalente, puis prise en charge par les pompiers à l’extérieur. » Article non signé. 

     

    *Pour savoir qui étaient les auteurs de ces deux torchons,  j’ai appelé  le JIR qui m’a  donné le nom de Bruno GRAIGNIC ; pour le Quotidien, j’ai dû attendre que Pierre-Yves VERSINI me confirme – grossièrement, haineusement – sa paternité.

     

    J’ajoute encore, que ces deux-là n’ont pas vu intérêt à se rapprocher de moi pour parler de moi ; et en quels termes ! – de vraies petites pourritures… 

     

    *Enfin, j’ai  adressé un « Droit de réponse » en courrier sécurisé, le 25 Septembre 2009, aux deux journaux ; lesquels se sont contentés de ne pas bouger… Ces deux « Droit de réponse » ont été joints à ma « Lettre Ouverte » du 04 Janvier 2010, interpellant les Directeurs de publication Jean-Baptiste MARIOTTI du JIR et Thierry BENBASSAT du QUOTIDIEN ; qui n’ont pas bougé…Cette « Lettre Ouverte », sous forme de tract recto-verso, a été largement et publiquement diffusée. Voilà ci-joint les 2 pages originales de ce tract : 

     

    Juliette CARANTA-PAVARD

     

    - Affaire H-D-K GRONDIN / René-Paul VICTORIA

    - Affaire F. BACHELIER / Gilbert ANNETTE                                 

    M. Jean-Baptiste MARIOTTI (le JIR

    M. Thierry BENBASSAT (le Quotidien) 

     Directeurs de publication

                                                                                                                                           SAINT-DENIS de la REUNION

     

    LETTRE OUVERTE

     

     

    OBJET :   Après vous avoir transmis, le 25/09/09, mes « droits de réponse » – dont copie ci-jointe – à la suite de vos articles me concernant du 30/06/09 pour le JIR et du 01/07/09 pour le Quotidien.

     

    Mais où avais-je donc la tête, perdre de vue que la prescription en insertion forcée tombait en même temps que celle visant la publication « volontaire » du droit de réponse !!

     

    En ce qui concerne cette dernière formule, vous avez reçu – en temps légal – ces répliques, que vous avez, avec un bel ensemble, « ignorées ». D’autant qu’à quelques jours de là, la prescription (légale) vous tendait les bras. Alors, toujours avec un bel ensemble, vous avez sauté dedans… La « gamelle » (sic) dirait fort élégamment M. J. TILLIER (Ah ! La récente manne des larges placards publicitaires que ces braves gens vous confient, à foison et sans radinerie… avec les sous de mes impôts !).

     

    Il est vrai qu’à près de 70.000 exemplaires à vous deux, ces missives auraient constitué un super scoop pour le peuple réunionnais… Quel dommage ! Mais il vous faut, n’est-ce pas, contribuer au maintien de l’ « ordre public », cher à notre Préfet MACCIONI…

     

    La sauvegarde du système municipal de « bienveillances » (sic, Rapport d’activité 2005 - Chambre Régionale des Comptes) en matière d’urbanisme, la boite à bonbons des maires …, vous intime – et par prudence, et par opportunisme commercial – de camoufler l’implication, la complicité des pouvoirs locaux dans la pérennisation dudit système. Est-il, d’ailleurs, encore possible de renverser la vapeur ?? Toutes ces constructions (immeubles, piscines, etc…) non déclarées…

     

    Et, par contraste, les tribunaux spéciaux de la Cour d’Appel de la Réunion pour les « petits », frappés à mort, pour servir d’exemple (pour qui ??) et de paravent (pour qui ? pour quoi ??).

     

    Pour revenir au sujet, avec l’expérience qui m’a été prodiguée dans l’affaire GRONDIN/VICTORIA, je n’ai pas à regretter ma distraction : une action judiciaire en insertion forcée aurait été vouée à l’échec, comme d’habitude… Ceux qui honorent de leur « impartialité » la « justice péi » – largement compromis – vous auraient fait « gagner » (sic, le JIR) afin de refouler mes scandaleux propos, mais surtout pour se protéger, eux et leurs complices…

     

    Il reste à s’interroger sur le fait que, vous, disposant légalement de votre liberté d’expression professionnelle, vous vous asseyez sur votre devoir d’information et restez insensibles, depuis des années, à un phénomène local, étrange et hors du commun : tout un département français de pouvoirs, dont l’Etat, l’Eglise, la Justice et… les Médias – ligués en meute pour persécuter et tenter de neutraliser une femme, une vieille femme, seule, face à ce front, et qui va – depuis 5 ans – martelant d’insupportables vérités…

     

    Le Préfet est sur le départ (JIR du 30/06/09). Tout comme le Procureur de la République (JIR du 02/10/09). Le Procureur général ne fera pas de (trop) vieux os ; ce ne sont là que pernicieux et impudiques oiseaux de passage, peu soucieux de ce qu’ils laissent derrière eux. L’Evêque se veut cardinal à Rome…

     

    Mais VOUS !? Pensez vous, encore longtemps, masquer l’incidence de la fraude fiscale, générée par le clientélisme municipal, sur le budget des communes ? Allez vous, encore longtemps et jusqu’où, laisser la majorité de la population « compenser » ces manques à gagner (en subissant l’augmentation des taxes locales la plus forte de tout le territoire…) dans l’ignorance de ce qui la provoque (hormis la crise, les proches suppressions de la taxe professionnelle et de l’octroi de mer…) ?

     

                                                                                                                                                              Saint-Denis, le 04 janvier 2010

     

                                                                                                                                                              Juliette CARANTA / PAVARD

    P.J. : copie des droits de réponse

    Copie à :

    ü  M. P-H. MACCIONI, Préfet de la Réunion

    ü  M. G. AUBRY, Evêque de la Réunion

    ü  M. R. DOUMAS, Procureur général

    ü  M. J. BRANA, Président de la Chambre Régionale des Comptes

     

    DROITS DE REPONSE AVORTES

     

     

     

    M. Abdul CADJEE, Directeur de la publication, Le JOURNAL de l’île de la REUNION          Saint-Denis, le 25.09.2009

     

    Je vous prie de trouver ci-après le texte de mon droit de réponse, après l’article me concernant paru le 30 juin 2009 :

     

    DROIT de REPONSE : Juliette CARANTA / PAVARD

     

     

    Par l’article du JIR du 30.06.09, intitulé « une expulsion en plein direct», signé B.G., vous avez choisi de tromper vos lecteurs et de porter atteinte à ma dignité par vos écrits, plus que tendancieux, vos insinuations et vos mensonges. Le fait que vous ayez omis quelques « détails » n’est certes pas innocent. Par exemple, que le « manu militari » (sic) s’appliquait, sur ordre du maire de Saint-Denis, à quatre policiers sur une femme de 73 ans, parce qu’elle dénonce ce que vous même aimez taire… C'est-à-dire le clientélisme municipal éhonté émanant de l’Urbanisme Réglementaire de la mairie de Saint-Denis (...et d’ailleurs ??), lequel se permet de consentir, OUVERTEMENT, les avantages de la construction sans permis et/ou en violation des règles d’urbanisme (exemption des taxes locales : T.L.E., foncier bâti, habitation) à des administrés nantis, unanimement appréciés par les politiques de tous bords…

     

    Atteinte dans ses droits, ses intérêts, sa santé, et dans sa vie, ma famille fait les frais – depuis 2004 !! – de ces dérives délictueuses (affaire GRONDIN/VICTORIA et BACHELIER/ANNETTE).

     

    Nous, citoyens discrètement sans reproches, n’avons rien demandé, rien cherché – hormis le droit, dans le respect de la loi et des règles. En ne sacrifiant pas à la « servitude volontaire péi », nous nous heurtons à un mur de complicités impliquant tous les pouvoirs locaux (dont les médias…). D’où des actes extrêmes que je suis amenée à poser, depuis, pour tenter de créer une brèche dans l’« omertà » volontairement entretenue…

     

    Le JIR a reçu de moi, entre le 30.05.2007 et le 01.02.2009, 17 fax sur l’affaire GRONDIN/VICTORIA, restés lettre morte. Après votre article du 30.04.2006, la relatant, une chape de plomb est tombée sur l’affaire : vous ne vouliez plus du tout aborder le sujet explosif de la construction illégale à la Réunion. Dites à vos lecteurs pourquoi !

     

     

    Juliette CARANTA / PAVARD

     

     

     

    M. Thierry BENBASSAT, Directeur de la publication, Le QUOTIDIEN                                    Saint-Denis, le 25.09.2009

     

    Je vous prie de trouver ci-après le texte de mon droit de réponse, après l’article me concernant paru le 01juillet 2009 :

     

     

    DROIT de REPONSE : Juliette CARANTA / PAVARD

     

     

    A la suite de l’article du QUOTIDIEN du 01.07.09, intitulé « crise en plein conseil » (non signé), je crois savoir qu’il n’y avait plus de journaliste du QUOTIDIEN au moment de ladite « crise ».

    Etant dans l’ignorance de ce qui motivait cette dure interpellation publique préméditée, vous ne pouviez – même présents – que survoler l’affaire. Ce que vous faites de façon plutôt tendancieuse, tout en relativisant la gestion musclée de la « crise » par M. ANNETTE en personne. Cela parce que j’ose dénoncer ce que vous-même vous appliquez à cacher : le clientélisme municipal éhonté émanant de l’Urbanisme Réglementaire de la mairie de Saint-Denis (...et d’ailleurs ??), lequel se permet de consentir, OUVERTEMENT, les avantages de la construction sans permis et/ou en violation des règles d’urbanisme (exemption des taxes locales : T.L.E., foncier bâti, habitation) à des administrés nantis, unanimement appréciés par les politiques de tous bords…

     

    Atteinte dans ses droits, ses intérêts, sa santé, et dans sa vie, ma famille fait les frais – depuis 2004 !! – de ces dérives délictueuses (affaire GRONDIN/VICTORIA et BACHELIER/ANNETTE).

     

    Nous, citoyens discrètement sans reproches, n’avons rien demandé, rien cherché – hormis le droit, dans le respect de la loi et des règles. En ne sacrifiant pas à la « servitude volontaire péi », nous nous heurtons à un mur de complicités impliquant tous les pouvoirs locaux (dont les médias…). D’où des actes extrêmes que je suis amenée à poser, depuis, pour tenter de créer une brèche dans l’« omertà » volontairement entretenue…

     

    Voulez vous, enfin, avouer à vos lecteurs pourquoi, vous-même, trahissez votre devoir d’information et l’éthique de votre profession en refusant d’aborder ouvertement ce minable et scandaleux secret de polichinelle ?

     

     

    Juliette CARANTA / PAVARD

     

     

     

    Pour tous ceux qui auront pris connaissance de ces écrits, je suppose qu’il n’y a rien d’autre à ajouter… 

     

    ERREUR !, il y a quelque chose à ajouter au sujet d’un que sans mon Quotidien du matin, j’ai failli oublier : Bruno GEOFFROY, rédacteur en chef au Quotidien en 2007-2008, période la plus « sensible » de l’affaire du tueur GRONDIN, mon voisin fraudeur... C’était l’heure où pour étouffer ma voix, se mettait en place la plus incroyable opération de « Justice » répressive,  jamais encore engagée dans le minable  système mafieux de la Réunion.

     

    Ce Bruno GEOFFROY que j’avais « sollicité », le 28 Août 2007, qui m’avait annoncé la visite d’un de ses journalistes « pour évaluation, ne voulant pas s’engager dans n’importe quoi » et qui s’est courageusement défilé ; ce, malgré mes fax de rappel des 12 Septembre et 25 Octobre 2007.

     

    En Novembre, j’apprenais de Damien VALETTE, journaliste au Quotidien, que je me trouvais « dans une impasse » (Sic)…

     

    L’ « impasse », c’était Bruno GEOFFROY, qui trop heureux de contribuer à la bonne santé de la « Mafia » réunionnaise avait choisi de me sacrifier ; grossièrement, sans état d’âme…

     

    Bruno GEOFFROY, cette petite crotte méprisante et prétentieuse, qui s’insurge tout droit, quand on qualifie de « petit merdeux » ceux qui lui ressemblent !

     

    Ce Bruno GEOFFROY, rédacteur en chef au Courrier de l’Ouest,  que le Quotidien ressuscite pour moi – après 5 ans de sain oubli, en le citant dans ses colonnes comme « PAS CONTENT : « Je n’accepte pas qu’on puisse traiter un journaliste de petit merdeux » »(Le Quotidien du 05 Août 2013)

     

    Mais, Bruno GEOFFROY, ils sont légion les « petits merdeux » dans votre corporation ; et je puis vous assurer  – sans conteste possible – que c’est exactement sous cet aspect que je vous ai perçu lors de nos « contacts » professionnels en 2007 et en 2008.

     

    Une dernière remarque : la défroque d’« indigné » ne sied pas à votre type de beauté, pour peu qu’on vous connaisse… 

     ***

    La prochaine rubrique traitera du monde judiciaire ; où le mot « con » - familier à la corporation – trouvera sa juste place.  

     

                                                                            A vous de réagir ci-dessous et de vous exprimer de façon libre mais correcte. Merci. Ce blog est "modéré" : vos contributions ne seront mises en ligne qu'après validation par l'auteure du Blog. Merci de votre compréhension !

       

     

     

     

     


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  • Ce long intermède silencieux, c’est juste pour reprendre souffle avant d’engager la suite de ce blog d’information sur la vraie situation du pays, à travers ce que j’en connais.

    Le contenu actuel du blog n’est que la pointe extrême de l’iceberg au regard de ce me reste à dire sur l’État-Peï, la Justice-Peï, l’Église Catholique-Peï et les Médias-Peï…tous « Tricoteurs » de la « spécificité » réunionnaise. Avec pour socle, les Élus Politiques-Peï, en leurs œuvres…

     

    …sans oublier les Défenseurs-Peï de quelque chose, grands amateurs de photos dans la presse !

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  • Je dois, en préambule, préciser que dans les rubriques précédentes  j’ai voulu, avec un peu de précipitation, révéler ce que les pouvoirs locaux ont déployé d’efforts et engagé de moyens pour simplement m’imposer silence sur le sujet manifestement interdit de la CONSTRUCTION ILLÉGALE À LA RÉUNION. 

    J’ai voulu apporter quelques preuves de ce que les « spécificités » locales autorisent dans ce très spécifique département français (… mais, oui, français depuis 64 ans !) en matière de transgressions des lois, assorties de l’étouffement dictatorial de vérités pas bonnes à dire… 

    Il est clair qu’un tel investissement de violents moyens de dissuasion marque l’impérieuse nécessité de sauvegarder d’inavouables intérêts ; et la volonté de toujours reporter à demain le scandale susceptible d’éclater à tout moment, pour peu qu’un média s’en empare, en fasse l’objet d’une investigation et assure son devoir d’information. 

    J’ai souhaité, aussi, que mon style direct et mon goût pour appeler un chat un chat, n’étonnent pas trop mes lecteurs de bonne foi ; j’ai dit de bonne foi… 

     

                                                        ***  

    J’en viens maintenant à mes « NAZIS » : 

    Les Klarsfeld – pour ne citer qu’eux – ont, des décennies durant, traqué à travers le Monde ces Nazis qui avaient, jusqu’au-delà de l’innommable, porté atteinte aux leurs et à leur communauté. Je suis sûre que ces gens-là avaient d’autres pôles d’intérêt, d’autres talents, d’autres courages que ceux manifestés dans cette implacable chasse à courre qui a absorbé leur vie. 

    Mes enfants et moi avons, nous aussi, des moyens et des talents  pour utiliser notre temps de vie à autre chose que combattre l’ignoble engeance qui infecte la société réunionnaise. Mais j’ai fait mon choix… 

    À les fréquenter de près, des années durant, j’en suis arrivée à une très bonne connaissance de ces « NAZIS »-là ; jusqu’à ce qu’ils deviennent « miens »… : 

    Mes « NAZIS » à moi – à des degrés divers et selon les pouvoirs dont ils disposent – partagent avec les vrais, immoralité, inhumanité, stupide arrogance, arrivisme, lâcheté, etc… ; et l’indispensable inconditionnalité à l’égard des plus forts qu’eux susceptibles de leur rapporter en retour quelque avantage ; ne serai-ce que celui de figurer sur la liste des invités à la Garden-Party de la Préfecture… 

    Moi, dissidente-résistante, j’ai été confrontée, ICI, à la Réunion, à tous les échantillons de la représentation « NAZIE » : « Führers », Second-couteaux, collabos et autres miliciens…  ; avec, en renfort, la longue cohorte de « Polonais-Peï », ceux qui ne voient rien, ne… sentent… rien !, et, forcément, ne disent rien, sachant d’instinct qu’« Il n’y aura pas de sentence contre ceux qui se sont tus » ; même pas l’ombre d’un blâme… de personne, ICI !  

    Mes « NAZIS » à moi – ceux qui m’ont harcelée, persécutée, lynchée des années durant, ceux qui ont voulu m’abattre, m’anéantir, ceux qui m’ont volé et saccagé ce qui me restait de vie et abîmé celle des miens – ils sont là, ICI, sur place, à la Réunion ; à l’exception de quelques- uns que je suis à la trace dans leur lieu de « retraite, ailleurs. 

    Mes « NAZIS » sont là, à portée de voix et d’écrit. Comme ils sont  «  l’humanité-peï qui compte », ils s’autorisent à transiter chez moi, via la T.V.-PEÏ ; je les trouve plastronnant en photo dans mon journal du matin : Politiques, Magistrats, Religieux, Fonctionnaires, Amis de L’Homme et … de la Femme...  

    Mes « NAZIS » sont donc faciles à « cueillir » : repérés, évalués, recensés au fil des ans, mis en fiches et suivis avec soin. Je m’inscris ainsi dans la même démarche que les KARLSFELD qui est de vouloir la JUSTICE – même au prix de sa vie – et un juste châtiment pour les coupables. Par leur inexorable volonté les KLARSFELD ont obtenu de la Justice que sortent de l’oubli les auteurs de l’abominable, qu’ils soient mis sur scène et soient condamnés. 

    Rien à attendre de tel de la Justice-peï, juste bonne à pactiser avec les voyous politiques qui pullulent, ICI. Il me faut alors trouver d’autres moyens de mettre au jour toute cette « racaille » qui ne dit pas son nom. Par exemple les prendre une à une, nommément et dévoiler leur vraie nature, publiquement ( Ce que je fais beaucoup plus facilement par mail qu’en distribuant des milliers de tracts dans les rues, comme je l’ai pratiqué pendant des années, ne sachant pas utiliser un ordinateur…). Je m’apprête donc à les jeter en pâture à l’opinion publique, à les « punir », juste avec des mots : « Ni armes, ni violence et sans haine. » Juste des mots !  

    TOUS les Médias-peï ont scrupuleusement respecté les consignes tacites de silence imposées par le système mafieux-peï ; à l’exception du journal en ligne « ZINFOS 974 » avec qui s’est établie une sorte de collaboration ; même si quelques freins subsistent, ils peuvent être dépassés par l’existence de ce blog.  

                                                                   *** 

     Dans le vivier de crapules que j’annonçais dans la rubrique N°16 «  Perspectives d’avenir », j’hésitais à choisir les premiers à être « servis » ; je butais sur la difficulté de dire tout ce qu’il y a à dire sur lesdites crapules ; je vais donc devoir me restreindre à une simple « mise en bouche », à partir de quelques faits les plus remarquables, de façon à pouvoir « traiter » le maximum de coupables en un minimum de temps. 

    Je commencerai par les médias qui décident de ce qui existe ou pas.

     

    SAINT DENIS de la RÉUNION – le 12 décembre 2012.

     

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  • Je demande à mes lecteurs de ne pas perdre de vue l’ « évènement » à l’origine de cette extravagante affaire :

     

    Soit le projet (longuement prémédité) de mon voisin le tueur GRONDIN, de construire, SANS PERMIS DE CONSTRUIRE, un immeuble d’habitation pour ses deux enfants Karine et David. Cela, afin que ces derniers puissent faire l’économie des taxes locales ; avec la permission des maires de St DENIS, VICTORIA et ANNETTE ; avec la bienveillante complicité des services de l’ÉTAT (Services fiscaux, Police, Préfecture…) et de la Justice administrative et judiciaire… 

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  • Avant de m’engager dans la mise en accusation des divers « Affiliés-Affidés » pour ce qu’ils ONT FAIT, imbriqué dans ce qu’ils M’ONT FAIT, je crois utile de remettre en mémoire de mes lecteurs l’analyse que j’ai faite de cette « MAFIA » ; cette « MAFIA » très spécifiquement réunionnaise…

    Lire la suite...


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  • Lors d’un récent retour en arrière dans mes archives – riches de sept ans d’accumulation de mots, à sens unique, et sans écho... – j’ai retrouvé  (surprise !)  un brouillon oublié du 18 Janvier 2008 qui, sous le titre du très classique « J’Accuse… ! » énumérait déjà une longue liste d’accusés-corrompus-peÏ…

    Cette ébauche s’est traduite et condensée en deux tracts diffusés publiquement :

                *Celui du 27 Janvier 2008 signalant mes citations à comparaître – pour « diffamation »...  portant atteinte à l’  « honneur » du quatuor de la Mairie de St DENIS… :

    PERSPECTIVES D’AVENIR…

     

      N.B. : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

     

     

            *Celui du 18 Février2008 mettant en lumière les implications et complicités agglutinées autour du délit de favoritisme du Député-Maire VICTORIA, juste pour permettre à mon voisin, le tueur GRONDIN, de frauder le fisc, dans la satisfaction générale avec , au premier chef l’ « indifférence » des Services Fiscaux de la Réunion… Je décidais de m’engager dans une grève de la faim. :

    PERSPECTIVES D’AVENIR…

     

     

     

    N.B. : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

     

     

    Depuis, cette liste s’est notablement étoffée ; jusqu’aux plus étranges et plus effarantes complicités ! Je vous la livre, en vrac, par ordre alphabétique, telle qu’elle est à cette date du 31 Août 2012 ; sous réserve de possibles oublis…Elle représente le canevas qui me permettra de mettre en cause individuellement les divers contributeurs, acteurs et soutiens avérés de la corruption locale :

     

    *1 – Architectes…*2 – Associations…*3 – Association des Maires…*4 – Avocats…*5 – Chambre Régionale des comptes…*6 – Citoyens-Fraudeurs…*7 – Clergé Catholique…*8 – Conseil d’État…*9 – D.D.E. – D.E.A.L. …*10 – Défenseur des Droits… *11 – Direction Rég.le des Finances Publiques…*12 – Église catholique…*13 – Élus…*14 – État…*15 – Évêque (s)…                   *16 – Fonctionnaires d’État…*17 – Fonctionnaires territoriaux…*18 – Halde…*19 – Huissiers…*20 – I.N.S.E.E. …*21 – Journalistes…*22 – Justice (Ordre administratif)…*23 – Justice ( Ordre judiciaire)…*24 – Magistrature...*25 – Maires…*26 – Médias…*27 – Médiateur de la République…*28 – Parlementaires…*29 – Police municipale…*30 – Police nationale…*31 – Préfets…*32 – Présidents de collectivités…*33 – Voisins…*34 – Divers…

     

    J’ai décidé d’ouvrir ce blog au public après cet article. Les réactions des internautes, quelles qu’elles soient, m’aideront à comprendre encore mieux mon pays d’adoption. Quelles qu’elles soient, ces réactions ne pourront pas m’influencer  dans ce que je me fais un devoir de dire.

     

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  •           Un ami a récemment attiré mon attention sur le fait que, dans ce blog, je fais appel à la « pitié » de mon prochain ; la « pitié » qui est, - chacun le sait, ICI – la colonne vertébrale de la société réunionnaise ; voulue par son « élite » profiteuse et « volontairement sollicitée » par la Réunion « d’en bas »…

     

              J’ai été très choquée de cette perception de mes démarches qui voulaient essentiellement retenir l’attention des lecteurs sur la constance et le volume des moyens ( officiels !) engagés par les pouvoirs réunionnais afin de m’intimer silence… Ce que l’on peut interpréter comme la preuve que ce que je dis et que j’écris, depuis 7 ans, met gravement en danger l’équilibre de la société réunionnaise.

     

              Il est possible, néanmoins, qu’après 50 ans de vie réunionnaise – sans pour autant être « réunionnaise »,demandez à notre AUNG SAN SUU KYI- peï, la Députée-Maire -  Présidente de l’Union des Femmes Réunionnaises, Huguette BELLO – j’aie été un peu contaminée par la mentalité du pays. En professionnelle de la chose humaine, je sais à quel point il faut, ICI, « fé pitié » pour mobiliser l’attention et la solidarité sur une « misère » ; ce qui représente le fonds de commerce de « la radio Free-Dom », grand « pleuroir » de l’île qui peut, ainsi, entretenir – sournoisement – la pitoyable « servitude volontaire » de ses auditeurs…

     

    En attendant, ET si c’était vrai que j’aimerais bien qu’un peu de juste volonté de justice (… et de droit !) se manifeste à mon égard ? Juste pour «  Mettre le respect de la personne au centre de toutes les préoccupations. » (Sic ! – Gilbert AUBRY, Évêque de la Réunion, Président de la Commission « Justice et Paix » - Le Journal de l’Île du 20 septembre 2007.)

     

    En attendant, mon subconscient s’agite ; la preuve ? Il y a trois jours j’ai rêvé qu’un grand élan  de vraie et juste indignation pour tout ce qu’ils m’ONT FAIT, s’était enfin manifesté à mon égard… En rêve : une vue plongeante  sur le devant de l’entrée du Jardin de l’État ; une grande foule, avide de droits, de justice, de devoirs, de dignité, etc…etc… s’est spontanément rassemblée ; et miracle des miracles, il y a plein de journalistes avec armes et bagages, prêts à s’investir dans la « Liberté de la Presse » !!!

    Quand l’assemblée s’est ébranlée, sur la rue de Paris, direction la Préfecture, en un long cortège, moi – qui n’était pas physiquement là... - je n’osais pas en croire mes yeux : voir cette immense et silencieuse procession, toute en noir, avec à sa tête se donnant fraternellement la main, notre Évêque Gilbert  et Huguette, notre « Evita » peï… ; voir, qui suivaient, tous les fervents et passionnés représentants des Droits de l’Homme, des Droits de la Femme, des Droits de ci et des Droits de là, de la somnolente C.O.P.E.C ( !) du bon Préfet LALANDE, les Associations de ci et de ça… et tous ces éplorés « épris de justice »prêts – enfin ! – à en découdre !

     

     Il est probable que ce rêve m’a été inspiré par la mobilisation mondiale en faveur des « Pussy Riot »,  ces minettes révoltées, ces « hooligans » de charme, qui ont osé brocarder un Président russe et déplaire à un Patriarche, l’un et l’autre  totalement dépourvus d’humour… ce qui fait qu’elles doivent en payer le prix fort !

    Comme je l’écrivais au précédent Procureur général, Raymond DOUMAS :

                        «  FORCE  RESTERA  À LA FORCE…  »

    … mais Liberté à qui fera choix de la juste irrévérence aux hiérarchies  et pouvoirs non respectables.

     

    Déjà, je peux témoigner de ce que -  tout comme M. POUTINE et le Patriarche KIRILL – nos « puissants » locaux, du plus grand au plus pâle, ont horreur qu’on les ridiculise ; ça les mets en fureur, tout rouges, prêts à se venger de l’insolent… et, bien au-delà de leurs pouvoirs réguliers, ils le font ! à nous de continuer à dire « non ! ».

     

    En tout cas, ce dont je suis absolument sûre c’est qu’aucun de ceux ou celles qui se sont durement investis pour contribuer à me détruire, n’aurait la force, l’équilibre et le courage dont je fais montre depuis 7 ans. Aucun de ces individus « hauts placés », grassement payés avec l’argent de mes impôts, usant de méthodes de petits truands, alliant bêtise et lâcheté pour « sauver » un fraudeur-tueur de femme, mon voisin GRONDIN et ses soutiens politiques VICTORIA/ ANNETTE, ne « tiendrait » aussi longtemps que moi… OUF !

     

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  •  

    *François MUGUET, Procureur de la République de St DENIS, juste avant sa déportation à Toulouse, avait concocté pour moi, en  «  cadeau d’adieu », une MISE EN EXAMEN confiée au juge d’instruction ( !) Yann BOUCHARÉ … Tout simplement ! Bien entendu, nous y reviendrons plus tard.

     

    *Michel LALANDE -  Préfet de la Réunion jusqu’au 26.08.2012  -  que j’ai beaucoup malmené en paroles durant son bref séjour  -  a commandité, juste avant son départ, en association avec le Directeur régional des Finances Publiques, Jean-Luc CHEVALLIER, la « captation » de mes avantages vieillesse ; ce, par la force de la LOI, en toute sévérité, en toute discrétion… Afin, de dissuader d’autre « citoyens » de pratiquer la DÉSOBÉISSANCE  CIVILE ainsi que je l’ai officiellement décidé par ma Lettre Ouverte à Michel LALANDE du 02 Février 2011. 

    Cadeaux d’adieu…

     

     

      

    N.B. : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

    Voilà ma réplique du 13 aout 2012 à sa nouvelle « bonne idée »…

    Cadeaux d’adieu…

     

     

    N.B. : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

     

     

    Dans le cas où mes lecteurs ne l’auraient pas compris, je n’ai pas l’intention de revenir sur ce que j’ai décidé le 02 Février 2011. Du moins tant que les services de l’ ÉTAT et la JUSTICE ( pour ne citer qu’eux)  se maintiendront en soutiens affichés de la corruption, ICI, à la Réunion.

     

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  • ( …en fonction jusqu'au 26 Août 2012.)

     

    Difficile pour un « profane » d’imaginer la masse de documents rassemblés autour de la très vulgaire « affaire » du tueur de femme Hilaire GRONDIN… Je n’ai pas encore trouvé le temps d’évaluer cette énorme accumulation d’écrits, de les dénombrer, d’en planifier la diffusion et d’établir une priorité de divulgation.

    Parmi cette multitude, j’ai sélectionné trois courriers transmis au Préfet LALANDE ; une prose riche d’enseignements sur le «  travail » de notre Préfet, tel qu’il peut être spécifiquement conçu, ICI, à la Réunion…

     

    *N° - 1 – Je devais m’absenter du département.  Étant admis que TOUT est possible, ICI, à la Réunion j’ai dû – en prévention de possibles « incidents » - prendre quelques précautions ; d’où cette lettre confidentielle du 09 Avril 2010, adressée conjointement au Préfet LALANDE, au Procureur général DOUMAS  et au Directeur de la Police nationale, Philippe TRENEC.

    NOTRE « BON » PRÉFET LALANDE…

     

     

    N.B. : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

     

     

    N° - 2 – Dans cette « Lettre Ouverte » je présente – parmi tant d’autre – un exemple des dispositions prises par les services de l’ État pour aller toujours plus loin dans le choix des tourments susceptibles de « calmer » une administrée-citoyenne menaçant, depuis des années, l’ ORDRE PUBLIC réunionnais…

    Là, j’ai su qu’il était temps de poser de nouveaux actes, « originaux » ; tout simplement en refusant de mettre mes taxes locales ( Foncier et Habitation) à la libre disposition des élus corrompus des collectivités locales. Geste symbolique, certes, mais lourd de signification… ( Lettre Ouverte du 08 Février 2011, adressée conjointement au Préfet M. LALANDE, au T.P.G. M. HOAREAU, au Directeur des Services Fiscaux J.L. CHEVALLIER et au Procureur général,  D. ROBERT-CHARRERAU.

    NOTRE « BON » PRÉFET LALANDE…

     




    N.B. : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

     

    N° - 3 – Le harcèlement moral se perpétue ; encore à ce jour, 04 Août 2012 ( 2012 !!) je suis harcelée – quasiment toutes les semaines ; parfois plusieurs fois dans la même semaine, chez moi ! – par les services de l’État et autres « pouvoirs »…   « C’est pour lui faire peur. » a déclaré à un tiers un des préposés à cette mission…

                   Certes cela paraît totalement invraisemblable, relevant, de ma part, à de la paranoïa, à de la folie, même ! Un fort bon créneau d’ailleurs, lorsqu’on a su, par les médias, que le Préfet LALANDE innovait en matière d’ « apaisement » à ceux qui faisaient un peu trop de bruit, isolés et fragiles : le placement d’office en psychiatrie ; on n’en a plus entendu parler…

    Dieu merci, si je suis déjà un peu fragile – sept ans de front, ça use quand même un peu… -  je ne suis pas isolée. Là, encore, je prends les devants par cette Lettre Ouverte du 02 Mai 2011 adressée à Michel LALANDE ;  à lui seul….

    NOTRE « BON » PRÉFET LALANDE…

     

     

    N.B. : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre 

     

     

     

    Dans l’ « Île de la peur » ( sic – Prosper ÈVE ) mes interlocuteurs et mes lecteurs sont,  pour la plupart, horrifiés par mon discours : «  Ils vont dire que vous êtes folle !! »

    Il est inconcevable que quelqu’un, ICI, à la Réunion, ose s’adresser sur ce ton et en ces termes aux « Dieux » réunionnais. Il est sûr que ce genre de missive adressée à un Préfet    (un Préfet !!) et aux « grandes » autorités de l’île, est une « spécificité » non réunionnaise ; de celles dont nos décideurs ne veulent pas ; pour de limpides raisons.

     

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  • (…ceux de l’époque : Le Maire, René-Paul VICTORIA ; l’ élu, Dominique FOURNEL ; le Directeur général, Etienne CHARRITAT ; la Directrice, Brigitte LAMY)

     

    Mais, me direz-vous, vous semblez oublier ceux qui sont à l’origine de cette branlante affaire… Pas du tout ! Seulement, le volume des « minutes » qui leur sont consacrées appelle un très important traitement ; à venir !

    Mais, déjà, je livre ci-après quelques libres écrits à eux dédiés – à :

     

    *René-Paul VICTORIA – (à l’époque, Maire de St DENIS ; Député de la République ; secrétaire de l’U.M.P. Réunion ; chevalier de la Légion d’Honneur ; fervent catholique.)

    Voir Lettre Ouverte du 21.11.2011 à Michel LALANDE, Préfet de la Réunion – Publiée sur le journal en ligne « ZINFOS 974 » le 23.11.2011

    LES "URBANISTES" DIONYSIENS...

     

     

     

    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

      

     

    *Dominique FOURNEL – (à l’époque, élu en charge de l’Urbanisme de St DENIS)

    LES "URBANISTES" DIONYSIENS...

    Voir Lettre Ouverte du 27.12.2011  (Tract)  à D. FOURNEL – Conseiller Régional .

     

    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre 

     

     

     

    *Brigitte LAMY – (à l’époque, Directrice de l’Urbanisme Règlementaire de St DENIS.)

    Voir les Lettres Ouvertes –( Tracts ): du 28.06.2009 à B. LAMY ci-devant Directrice de l’U. R.

                                                          du 25.02.2011 à G. ANNETTE, Maire de St DENIS.

    LES "URBANISTES" DIONYSIENS...

     

     

    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre 

     

     

     

    *Etienne CHARRITAT – (à l’époque, Directeur Général de l’Urbanisme ET, Président de l’Ordre des Architectes de la Réunion…)

    Bien trop inexistant pour lui consacrer du temps… ; il sera question de lui, en ses doubles casquettes, lorsque je mettrai en cause l’Ordre des Architectes de la Réunion de l’époque…

     

    Comme nous l’avons tous compris cette « livraison » n’est qu’un amuse-gueule…

     

     

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  •  

    *  "Affaire Juliette CARANTA-PAVARD" - (Ainsi que l’avait désignée le Procureur général DOUMAS dans son courrier du 25 Novembre 2008.). À noter que le côté "penché" dudit courrier est d'origine : le Procureur général DOUMAS s'était fait une spécialité du "désordre", voire du "tordu"... ( Tract du 15.12.11 sur les Procureurs-peï. ) 

    AFFAIRE Juliette CARANTA-PAVARD

     

     

     

    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre 

     

     

    Avant que d’avoir apostrophé, sans ménagement, le Président du Tribunal administratif, Francis CARBONNEL  -  les dizaines de fax adressés aux quatre responsables de l’urbanisme de St DENIS étant restés sans écho  -  j’ai tenté un contact direct avec le maire VICTORIA :

       *Par une demande de rendez-vous (Fax du 19 juin 2007) Mme TARTAROLLI, secrétaire privée du maire, m’a fait savoir que j’arrivais juste après 5 000 sollicitations, non encore satisfaites…

       *Seule me restait la possibilité de trouver un moyen de forcer la porte ; cela s’est fait sous la forme d’une question écrite du conseiller Michel TAMAYA, interpelant publiquement le maire sur l’affaire Hilaire GRONDIN, lors du conseil municipal du 1er octobre 2007 ; au grand scandale de l’intéressé et de son âme damnée, l’adjoint à l’Urbanisme, Dominique FOURNEL, qui, chargé de répondre, a eu quelque difficulté à assumer…( Extrait du Procès-verbal de séance du Conseil municipal du 1er Octobre 2007)

    AFFAIRE Juliette CARANTA-PAVARD

     

     

    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre 

     

     

     

    Cet éclat s’est soldé par mon expulsion de la salle du Conseil par la Police Municipale.

    C’est donc au cours de ce Conseil du 1er Octobre 2007 que j’ai appris que « la Mairie » avait déposé plainte contre moi auprès du Procureur de la République, François MUGUET.

    Ainsi, lorsqu’il fut clair pour « la Mairie » que je n’entrais pas dans le moule de la « soumission consentie », ses représentants avaient décidé de frapper un grand coup ; je ne pouvais imaginer jusqu’à quel point !! J’ignorais, alors, qu’en la personne de l’avocat Robert CHICAUD, « conseil » de René-Paul VICTORIA, la Mairie avait là un guide de talent, apte à trouver le meilleur choix d’une formule de répression-dissuasion à m’appliquer…

    En outre, l’avocat CHICAUD ne pouvait qu’être fortement motivé devant la perspective d’une année pleine de « défense »… (Je ne sais pas si les honoraires de M. CHICAUD ont été réglés par la Mairie, avec l’argent de mes impôts ; c’est possible ! )

     

    Mais, il m’a fallu attendre le 27 Décembre 2007 – qui, comme par hasard, se trouvait être la date anniversaire de la délivrance par Dominique FOURNEL du plus que tardif « permis de construire » aux consorts GRONDIN, du 27 Décembre 2006… - pour découvrir que la fine équipe, en charge de l’Urbanisme de la Mairie, s’était surpassée pour me faire ma « fête » au cours de cette mémorable journée ; jugez plutôt :

    Journée du jeudi 27 Décembre 2007 :

    .le matin : je découvre ma voiture, garée au 4ème étage du parking Ste Anne, la lunette arrière explosée ! (par un groupe de « jeunes », identifiés et jamais inquiétés…)

    .à midi, arrivée chez moi, je trouve dans ma boîte aux lettres 2 citations à comparaître comme « prévenue », pour cause de « diffamation »… :

          *Le 06 Février 2008, sur plainte conjointe de Brigitte LAMY, Directrice de l’urbanisme réglementaire ( !) et d’Etienne CHARRITAT, Directeur général de l’Urbanisme…

          *Le 29 Février 2008, sur plainte conjointe de René-Paul VICTORIA, maire de St Denis et de son adjoint à l’Urbanisme, Dominique FOURNEL…

     

    J’ignorais, alors, que ces comparutions avaient été programmées «  à rallonge » afin de s’étaler sur TOUTE l’année 2008… Ceci, afin de me « punir » mais aussi de m’  « occuper » à temps plein afin que je ne puisse rien vivre d’autre que cette ignoble persécution,  concoctée et concertée entre les politiques, la magistrature et les petites mains de la Justice, les huissiers… ; un vrai lynchage, par une meute de « pros » !!

    « Prévenue » novice et citoyenne appliquée, je n’ai pas pensé un seul instant à me soustraire à cette VENDETTA digne de petits truands ; tout en décidant de me présenter, chaque fois, seule, SANS AVOCAT, bien déterminée à ne pas m’abaisser à me défendre.

     

         Je précise que le dossier qui  va être présenté ci-après a été rédigé en Février 2009 à l’intention des 54 conseillers municipaux  de la mandature ANNETTE. (Élections municipales du 16 Mars 2008.) Un exemplaire a été transmis – avec décharge – à chacun d’entre eux ; je souhaitais, ce faisant, attirer l’attention des nouveaux élus sur ce que le prédécesseur de Gilbert ANNETTE avait pu commettre… Las !, las !! J’ai été immédiatement dessillée : sur les 43 élus de la majorité destinataires de ce document, un seul, François JAVEL, en a spontanément accusé réception ; les 42 autres se sont courageusement esbignés – dont les 2 fraîchement élues députées BAREIGHT et ORPHÉ… - allant jusqu’à nier avoir reçu le document ! L’avenir était prometteur ; ça se confirmera…

     

          Je reviens à l’exposé détaillé du volet PÉNAL de la judiciarisation de la lamentable affaire GRONDIN/VICTORIA/CARBONNEL/ANNETTE, etc…, etc… qui se présente, ci-après, en 5 pages, soit :

     

          *Lettre ouverte d’introduction ;

          *Tableau en 3 pages : chronologie des comparutions ;

          *Récapitulatif des « investissements » judiciaires.

    Le tout daté du 16 Février 2009.

    AFFAIRE Juliette CARANTA-PAVARD

     

     

     

    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre 

     


          
    Je crois pouvoir faire confiance à mes lecteurs pour avoir apprécié à sa juste valeur cette opération de HARCÈLEMENT MORAL JUDICIAIRE COLLECTIF sur une femme de 72 ans… ; une femme n’ayant rien « commis » d’autre que de clamer, brutalement, la vérité.  Ce qui a valu à la corporation ce courrier du 06 septembre 2009 adressé au Procureur général Raymond DOUMAS et diffusé aux principaux acteurs-décideurs de cette pitoyable affaire : 

    AFFAIRE Juliette CARANTA-PAVARD


    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre 

     

         

     

    Cette première évaluation des dérives de la magistrature réunionnaise (c’est ICI, à la Réunion ; et nulle part ailleurs…) m’a conduite à vouloir partager les fruits de mon extraordinaire expérience ; sous forme de ce tract du 15 Décembre 2011, librement et publiquement diffusé :

    AFFAIRE Juliette CARANTA-PAVARD


    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre 

     

         

    Un de mes amis, psychologue, m’a conseillé un jour de distinguer « ce qu’ILS ont fait » de « ce qu’ILS m’ont fait » ; j’avoue ne pas y parvenir…

          De même, je ne parviens pas à accéder à la grande sagesse de la très célèbre « Mme AUDE »qui sur « la radio FREE-DOM », répète indéfiniment : «  je ne commente jamais les décisions de Justice. »… 

     

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    Après les trois « décisions » de Francis CARBONNEL et les « avis » de son « Jiminy Cricket » Sabine ENCONTRE, il m’a fallu encore cinq mois pour être totalement convaincue de ce dont j’avais été le jouet. Je résistais, naïve !! ; je ne voulais pas croire qu’un Président de Tribunal Administratif et son « associée » puissent être grossièrement corrompus, jusqu’à la moelle, dans notre belle « démocratie »…

    Affaire Francis CARBONNEL/René-Paul VICTORIA /Hilaire GRONDIN…

     Une fois ce diagnostic posé, c’est parti ! Sous la forme de ce courrier du 23 Octobre 2007 au Président Francis CARBONNEL :

     

    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

     

     

    La réponse de Francis CARBONNEL a été plus rapide que sa programmation du règlement de mon « contentieux » (sic) avec les GRONDIN/VICTORIA ; elle a jailli par retour de courrier du 25 Octobre 2007 ci-après dont je vous laisse apprécier la qualité : juste un petit avertissement de type mafieux afin de montrer qui est le boss…

    Affaire Francis CARBONNEL/René-Paul VICTORIA /Hilaire GRONDIN…

     

     

    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

     

     

    La « qualité » de ce texte m’a amenée à saisir la hiérarchie de Francis CARBONNEL, le Chef de la M.I.J.A. ( Mission d’Inspection des Juridictions Administratives) le Conseiller d’État Marc DURAND-VIEL ; lequel partage avec nos deux lascars-peï le contenu de la « Charte de déontologie des membres de la Juridiction Administrative », pleine de beaux principes dont l’  « indépendance » et l’ « impartialité » !!!  - Fax du 05 Novembre 2007 :

    Affaire Francis CARBONNEL/René-Paul VICTORIA /Hilaire GRONDIN…

     

     

    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

     

     

    Là, encore, la réponse n’a pas traîné venant d’un de ces astres morts qui se raniment à l’idée de pouvoir, en trois « gros mots », mater mon début de rébellion. Il est clair que le « conseiller » n’imaginait pas qu’une justiciable présente une « réclamation » et de surcroît joue les raisonneuses… -  Réponse de Marc DURAND-VIEL du 07 Novembre 2007 :

    Affaire Francis CARBONNEL/René-Paul VICTORIA /Hilaire GRONDIN… 

     

    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

     

     

    Ma réplique du 11 Novembre 2007 ci-après mettra un point final à notre correspondance :

    Affaire Francis CARBONNEL/René-Paul VICTORIA /Hilaire GRONDIN… 

     

    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

     

    Mais le « Grand Magistrat- petit moralisateur » CARBONNEL n’a pas mis ses menaces « d’ « actions judiciaires » à exécution. Il a préféré transférer sa vengeance (Oui, oui, dans ces milieux-là on se venge !) à son petit protégé VICTORIA (C’est fou les petits services qu'on se rend dans ces milieux-là…)

    Mes lecteurs connaîtront bientôt l’ampleur des représailles : ma lettre du 23 Octobre 2007 a dérangé un gros nid de « frelons » qui s’est mis, rageusement, à bourdonner, tous Ordres et Juridictions confondus. Au point que l’année 2008 a été pour moi, toute seulette, une année intensément judiciaire (les détails ne tarderont pas à s’exposer, ici, sur ce blog…) mais pas assez prenante pour que j’oublie de saluer le « Grand Magistrat » lors de son départ pour Toulouse. Mon Fax du 13 Août 2008 ci-après :

    Affaire Francis CARBONNEL/René-Paul VICTORIA /Hilaire GRONDIN… 

     

    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

     

     

    Le temps est passé, toujours lourdement occupé, pour moi, par les suites des « décisions » du « Grand Magistrat » CARBONNEL le « discret, modeste et très respecté » (sic- le Quotidien) « ancien président du Tribunal administratif de St Denis ( 1996 -2008) » (sic) le Quotidien du 27.07.2011, pour valoriser la personne du Grand Prêtre de « Kaloo Bang »… 

    Plus de quatre ans après notre ultime contact, un beau soir, en St Denis de la Réunion, de façon impromptue, j’ai retrouvé face à moi le triste individu qui, en l’an de grâce 2007,avait fait le choix de voler ma vie et celle des miens pour sauver la face du petit voyou VICTORIA et de sa misérable clique…

    Cette rencontre inopinée du 17 Novembre 2011 a donné lieu à une séance originale, en public, décrite dans ce « Courrier des lecteurs » du journal en ligne « ZINFOS 974 » - Article « Juliette CARANTA-PAVARD à Francis CARBONNEL ex-Président du Tribunal Administratif de la Réunion » du jeudi 01 Décembre 2011, ci-après :

    Affaire Francis CARBONNEL/René-Paul VICTORIA /Hilaire GRONDIN… 

     

    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

     

     

    Pour terminer ce chapitre j’ajouterai :

    *Que le « QUOTIDIEN de la Réunion » a été, au fil des ans, ponctuellement tenu au courant par mes soins, de tous les « événements » se rapportant à l’affaire H.GRONDIN/R.-P.VICTORIA/G.ANNETTE et du rôle majeur qu’y a joué Francis CARBONNEL, Président du Tribunal administratif d’alors. Sans réagir.

    *Que, néanmoins, ce même « QUOTIDIEN » a éprouvé le besoin de « valoriser » l’image du Président de l’Association « 21 DEGRÉS SUD », le grand ordonnateur de la manifestation « KALOO BANG » Francis CARBONNEL, en faisant référence à ses anciennes fonctions de Magistrat ; avec, je le présume, l’assentiment de ce dernier…

    *Que ces références rappelaient que le Président de « 21 DEGRÉS SUD » était l’ « ancien Président du Tribunal administratif de St DENIS [ 1996 - 2008 ] » (sic. Le QUOTIDIEN des 27 Juillet et 31 Août 2011)

    *Que l’utilisation qu’a voulu  faire le journal de cette référence me contraint à apporter un juste et salutaire correctif en dévoilant la véritable personnalité de Francis CARBONNEL.

     Je précise, enfin, que le chapitre « AFFAIRE CARBONNEL… »  n’est en rien clos. Ceci, au regard des multiples interférences de ce premier volet  dans le déroulement « à rallonges » de l’affaire H.GRONDIN/R.-P. VICTORIA/G. ANNETTE. Au fil de ce blog, il est inévitable que le nom du « Grand Magistrat » CARBONNEL revienne régulièrement en rappel dans cette extravagante histoire…

     

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    Francis Carbonnel, Ex-Président du Tribunal Administratif de la Réunion, « Grand magistrat, discret, modeste, très respecté… - d’une grande rigueur… ». (Le Quotidien de la Réunion du 19 Juillet 2008) – Ah ! , ah ?

     « C’est le loup ! », ainsi s’écrie mon petit-fils, 3ans, découvrant – sur mon ordinateur, plein écran-couleur -  le portrait toulousain du Président CARBONNEL. L’exclamation a fusé ! Il veut parler (Il me plait de le croire…) du loup des « Trois petits cochons », celui qui se déguise ridiculement, espérant tromper ceux d’en face…

    Quelle irrévérence, déjà !! Qui m’amène à parler des déguisements de notre ex-Président de Tribunal Administratif, désormais à la retraite. Parler du « look » de ce « grand magistrat » peut sembler léger ; mais un « look » n’est jamais tout à fait innocent, n’est-ce-pas ?

    *ICI, à la Réunion, Francis CARBONNEL affiche, malgré la gravité de sa fonction, un look décontracté, « cool », ses longs cheveux artistement disposés, teints ( !) en blond vénitien sale ; un look très contrasté avec le masque dur et froid qu’il arbore lorsqu’il officie sur son estrade -  lui, le Président, en personne – dans la remarquable affaire Hilaire, Karine et David GRONDIN/René-Paul VICTORIA…

    *Déporté à Toulouse – après avoir sévi 12 ans à la Réunion… - « La Dépêche du Midi » annonçant sa prise de fonctions, nous le révèle sous un jour bien différent : veston, cravate club, coupe militaire aux cheveux sagement grisonnants, sur le visage, une expression amène ; transfiguré !! Et ce qu’il y a de plus amusant c’est que je suis sûrement à l’origine de cette transformation ; jugez plutôt : (Lire ici) 

    Ainsi, pour ce «  Grand Magistrat » tout se réduit à une apparence. Apparemment, Francis CARBONNEL est un Magistrat, un Président de tribunal qu’on ne pourrait imaginer autrement qu’impartial et intègre ; pourquoi pas ? Las !!

     

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    La première chose que nous avons apprise, en 1971, en nous fixant dans le quartier, c’est que nous nous dotions, en même temps, d’un voisinage pour le moins inquiétant : M. Hilaire GRONDIN, notre plus proche voisin, avait, deux ans auparavant, tué froidement son épouse et blessé l’amant ; avec préméditation. Un assassin ! – pas tout à fait le genre de proximité espérée par une famille avec deux très jeunes enfants … Et plus grave encore, ledit assassin – comparaissant libre ! – avait été acquitté de ce crime, sous les applaudissements de la foule !! (Journal de l’île du 16 décembre 1970)

    Imaginez l’effet que peut produire sur tel individu, l’approbation de la Justice et du public « légitimant » de tels actes !

    Ainsi, en 1970, ICI à la Réunion, l’infidélité méritait la mort pour LA coupable et l’assassin, auteur d’un « crime passionnel », s’attirait une unanime sympathie…

    Pendant plus de 30 ans, nous n’avons jamais perdu de vue ces faits, tous ces faits ; d’autant qu’Hilaire GRONDIN se posait en homme très sûr de lui et de ses «  droits » de voisin…Nous avons donc fait en sorte de tenir de fermes distances avec ledit voisin ; moyennant cela, aucun problème majeur n’est survenu durant cette période. Nous étions loin de nous imaginer, alors, que les « problèmes majeurs » surgiraient des décennies après…

    À mon insu, Hilaire GRONDIN et ses deux enfants adultes (David, né le 31.07.1975 et Karine, née le 24.07.1982) avaient prémédité, dès 2004, de construire pour ces deux derniers un immeuble accolé à ma propriété. Ce projet était délibérément concocté pour se réaliser hors lois et règles, tant au point de vue technique que légal, et – bien entendu – sans permis de construire ; tout cela avec l’aimable « permission » du Député-Maire d’alors, René-Paul VICTORIA ; « permission » qui a été par la suite prorogée, en 2008, par Gilbert ANNETTE, nouveau maire de St DENIS, garant du bon achèvement du chantier…

    (Dans le cadre de cette affaire, David et Karine GRONDIN, dignes enfants de leur papa, se sont rendus coupables de faux et d’usage de faux ; toujours avec la même aisance !)

    L’immeuble HORS LA LOI  - ô combien ! -  dont la construction a été engagée début  Décembre 2005,  a été achevé en force, en 2010, avec la complicité des deux maires de St DENIS,  du Préfet MACCIONI, via le service de la Légalité de la Préfecture, mais aussi du Préfet Michel LALANDE et enfin, de celle du Président du Tribunal Administratif de la Réunion d’alors, Francis CARBONNEL – magistrat  corrompu  -  en collaboration avec la «  Commissaire du Gouvernement- Rapporteur Public »… Sabine ENCONTRE…

    Ces deux derniers personnages-clé  dans l’affaire GRONDIN/VICTORIA/ANNETTE feront l’objet d’un prochain chapitre.

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  • 1°- Les acteurs et soutiens de la corruption disposent d’une grande liberté de mouvement et de décision, aidés par la triste « Servitude volontaire » dont la majorité silencieuse n’est pas près de se défaire. Paradoxalement – ou pas – la violence est reine ICI.

     2°- La Mafia réunionnaise n’a pas de chefs, pas d’organisation ; les contacts utiles s’établissent, plaisamment, au cours des nombreux raouts « mondains », à la Préfecture, dans les Palais de Justice et autres administrations.

     3°-Cette Mafia implique et compromet – ouvertement, délibérément – TOUS les pouvoirs locaux ; dont, les principaux : l’ÉTAT, LA JUSTICE, LES MÉDIAS ET … L’ÉGLISE CATHOLIQUE.

     4°- Aucun des médias locaux, pourtant bien au fait de cette gangrène, n’y fait allusion ; bien au contraire, ils s’autocensurent pour ne pas déplaire et conserver ainsi le juteux marché de la publicité dont les politiques réunionnais sont prodigues. Pas de « liberté de la presse » donc, ICI, à la Réunion, où par surcroit, la Justice est très, très sévère en cas de « diffamation » ; alors, autant être prudent…

    5°- La «  Mafia », version locale, ne produit aucun « repenti ». Jamais un ( ou une…) de ses affiliés n’a à faire acte de contrition ou doive faire repentance pour les préjudices portés à la société réunionnaise ; ils gardent, fièrement, leur défroque sale toute leur vie ; rarissimes sont ceux qui sont condamnés à la mesure de leurs délits, maintenant moins que jamais. La Magistrature-peï, odieusement corrompue, est très compréhensive… Les Préfets-peï – grands amateurs d’ « ordre public » et de « paix sociale »  - dans les limites de leur séjour – satisfaits…

    6°- Enfin, la Mafia réunionnaise est une Mafia «  douce » : elle ne tue pas ; pas directement… Sa spécialité mafieuse est la persécution, concertée entre TOUS les pouvoirs, organisée et programmée avec les moyens de la collectivité. Appliquée et insistante, elle peut s’exercer sur le long terme…

    7°- En clair, la « Mafia » réunionnaise n’est pas une « Honorable Société » qui s’assume mais un climat fait de connivences, de mépris des autres, de petits « arrangements » et d’abus en tous genres.


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    À cause de sa neutralité, il m’a paru intéressant de publier d’abord l’ « Histoire » racontée par un tiers non concerné mais néanmoins informé.(« Défendre son droit à la Réunion » - par Didier MÉRY) .

    Le document qui suit, plus précis, détaille l’histoire, de son point de départ le 03 Décembre 2005 (Ouverture du chantier GRONDIN) jusqu’au 10 Décembre 2010, où, ayant rassemblé mes esprits, j’ai pu enfin clairement diagnostiquer le FAIT de CORRUPTION AVÉRÉ, nourri par la complicité flagrante de TOUS les pouvoirs locaux. (J’avais rédigé ce document, en Décembre 2010, sur demande de Christian VITTORI, Éditions Azalées – pour servir d’introduction à une espèce de « WIKILEAKS 974 » dont j’avais à fournir la matière à M. VITTORI qui se chargeait,  lui, de la diffusion ; le projet n’a pas abouti M. VITTORI s’étant rétracté…).

     

    URBANISME REGLEMENTAIRE

    DE LA VILLE DE SAINT-DENIS

    DE LA REUNION

    ***************** 

     

    Affaire Hilaire, David et Karine GRONDIN / René–Paul VICTORIA / Gilbert ANNETTE :

     

    ü CONSTRUCTION ILLEGALE

    ü PERMIS DE CONSTRUIRE DE COMPLAISANCE

    ü CONSTRUCTION NON CONFORME

    ü FAUX ET USAGE DE FAUX

    ü CLIENTELISME - FAVORITISME

    ü FRAUDE FISCALE

    ü ETC…ETC…

     

    « Si vous saviez, Madame, ce qui se passe dans ce service ! » - Novembre 2005 – Un agent du service de l’Urbanisme Réglementaire de la Mairie de SAINT DENIS de la RÉUNION …

     

     *****************

     

      BREF RÉSUMÉ du POINT de DÉPART de l’ « AFFAIRE » …

     

    * Le 03 Décembre 2005 : 

    Mes voisins, les consorts GRONDIN, ouvrent un chantier en limite de ma propriété. Après d’importants terrassements, ils engagent la construction d’un immeuble ; sans qu’apparaisse l’affichage légal d’un permis de construire… 

    * Le 18 Avril 2006 : 

    Je prends mon premier contact officiel avec l’Urbanisme réglementaire de la mairie de Saint-Denis. J’y apprends que les GRONDIN ont déposé une demande de permis de construire, le 05/12/2005. Restée sans réponse, à ce jour. 

    Du 24 au 27 Avril 2006 : 

    J’adresse, de plus en plus alarmée, 16 fax de signalement à l’Urbanisme réglementaire de la mairie de Saint-Denis, lequel ne bouge pas ! 

    * Le 27 Avril 2006 : 

    Je saisis par lettre recommandée avec accusé de réception, le maire de Saint-Denis, René-Paul VICTORIA, et je dépose plainte auprès du procureur de la République, François MUGUET (ladite plainte, réitérée, sera classée sans suite le 23/08/2007…). 

    * Le 27 Avril 2006 : 

    Sur mon signalement, un journaliste du JIR intervient auprès de l’Urbanisme réglementaire et, par ce simple fait, contraint la mairie à réagir (la construction est largement engagée : fondations, première dalle, façades, dont l’une en limite extrême de ma propriété…). 

    * Le 27 Avril 2006 : 

    10 jours de « réflexion » y ont été nécessaires, mais les choses se précipitent :

    -          Brigitte LAMY, directrice de l’Urbanisme réglementaire, ainsi que la police municipale, viennent sur place « constater » l’illégalité du chantier et le non respect du PLU de Saint-Denis ;

    -          un arrêté interruptif de travaux est pris, le jour même, contre ce chantier. 

    * Le 30 Avril 2006 : 

    Sous le titre « permis tardif mais bafoué », le JIR révèle l’histoire… 

    * Le 04 Mai 2006 : 

    La demande de permis de construire, déposée le 05/12/2005 est rejetée sous la signature de l’adjoint délégué à l’urbanisme de la mairie, Dominique FOURNEL – entre autres motifs du refus, « pour incohérence » (sic). 

    * Le 06 Juin 2006 : 

    Un courrier de Dominique FOURNEL me confirme, par le détail, les dispositions prises contre cette réalisation ; hormis la démolition de l’existant hors la loi… Le chantier reste en sommeil pendant les 8 mois qui suivent. Il se confirme qu’aucune décision n’est prise pour faire procéder à la destruction de ce qui existe, illégal, irrégulier (ô combien !) et… « incohérent » (sic).

    * Le 26 Novembre 2006 :

     Je m’absente du département et ne rentrerai que le 03 Mars 2007 (ce détail a une importance capitale dans ce qui va suivre).  

    * Le 27 Décembre 2006 : 

    Un permis de construire, signé Dominique FOURNEL, est délivré aux GRONDIN. Manœuvre ayant pour but de permettre à ces derniers de continuer les travaux engagés hors lois et règles.

    Présenté, administrativement, comme un « projet » grâce à la complicité, es qualité, d’un architecte et par le biais d’un faux, établi de concert par les GRONDIN et leur artisan (entreprise SINABAT). Soit un « procès-verbal de commencement de travaux » qui, en date du 03/01/2007, atteste que le chantier « …débute le 03/01/2007 », 7 jours après l’attribution du permis de construire du 27/12/2006, un an après le vrai « commencement de travaux » le 03/12/2005 (c’est très grossier, mais ces nouveaux délits feront foi et donneront satisfaction – on le verra –  à Francis CARBONEL, président du tribunal administratif). 

    * Le 07 Mars 2007 : 

    Je saisis le tribunal administratif de ce qui précède, présentant 2 requêtes en référé suspension et 1 requête en annulation du permis de construire du 27/12/2006. L’affaire a été jugée par le Tribunal Administratif du 07 Mars 2007 au 15 Novembre 2007. Je suis déboutée partout, partout ! par le président Francis CARBONNEL, lequel complète son œuvre en me condamnant à verser 1000 Euros de « dédommagement » à la mairie de René-Paul VICTORIA. La décision se veut dissuasive… 

                                       

                                               **************** 

     

    Ainsi débute le Volet Pénal de ce qui va devenir l’ « affaire Juliette CARANTA-PAVARD » (sic) par la subtile et souveraine définition du procureur général Raymond DOUMAS (confirmée par son courrier du 25/11/2008). Il n’y a plus, il n’y a jamais eu, une « affaire GRONDIN/VICTORIA/ANNETTE ». Pourquoi Gilbert ANNETTE ? Parce que le successeur de René-Paul VICTORIA à la mairie de Saint-Denis a eu à cœur d’accompagner de sa bienveillance l’achèvement de l’immeuble GRONDIN, objet d’une procédure pour le délit de non-conformité auprès du procureur de la République, Richard BOMETON… 

     

                                               *****************

    Pour terminer, je crois utile d’ajouter que, ayant moi-même déposé le 04 Octobre 2004, à l’Urbanisme réglementaire de Saint-Denis, une demande de permis pour reconstruire, à l’identique, le rez-de-chaussée familial à Bellepierre, j’ai eu la surprise de découvrir un traitement de ce dossier plus que surprenant de rigueur. J’ai dû, alors, affronter les très lourdes tracasseries de la directrice de l’Urbanisme réglementaire, Brigitte LAMY, ce, avant, pendant et après la réalisation de ce projet (lequel avait été programmé et conduit de ma part, en parfaite transparence administrative et légale). Je ne comprenais pas pourquoi… Jusqu’à la révélation des actes délictueux de mes voisins GRONDIN et des délits avérés de leur « protecteurs » de la mairie de Saint-Denis (le député maire René-Paul VICTORIA et son successeur à la mairie Gilbert ANNETTE) qui m’ont prouvé que tous les dossiers de permis de construire n’étaient pas traités d’égale façon, bien loin s’en faut !! 

    Sans conteste, l’ « amitié » s’en mêlait… 

    Suffoquée par la découverte de cette incroyable discrimination, je me suis appliquée – confiante en la JUSTICE de mon pays – à prospecter TOUS les moyens susceptibles de rétablir DROIT et égalité de traitement dans cette première affaire. EN VAIN ! 

    INEXPLICABLEMENT – au nom du DROIT ! – j’ai été – je le répète – déboutée partout, partout ! Et, par surcroit, persécutée à l’infini par un ennemi innombrable, et lourdement condamnée, en « coupable ébahie…, sur plainte des voyous municipaux (René-Paul VICTORIA, député maire, Dominique FOURNEL, élu en charge de l’Urbanisme réglementaire, Etienne CHARRITAT, directeur général des services et, accessoirement, président de l’ordre des architectes…) et Brigitte LAMY, directrice de l’Urbanisme réglementaire !!). La JUSTICE-PEÏ parlait… 

    Engagée en résistance et en justes dénonciations, seule, face à tous les pouvoirs locaux, ayant uni leurs efforts et rassemblé leurs moyens pour me « calmer » (sic, Police nationale, janvier 2008), j’ai enfin compris qu’à partir de ce cas particulier – « Un problème de voisinage » (sic) m’assurait le préfet MACCIONNI dans son courrier du 07/09/2007 – nous allions vers un « général » explosif touchant les très graves dérives urbanistiques de TOUT le département ! 

    J’ai enfin compris qu’il était URGENT pour ces pouvoirs de continuer à les camoufler, à n’importe quel prix. Au risque, sinon, de nuire, par l’application de la Loi, à l’économie souterraine de l’île. 

    Au risque, aussi, et ce n’est pas anodin, de mettre au grand jour le rôle des pouvoirs locaux dans la pérennisation de ce système frauduleux. Rôle compromettant gravement l’ÉTAT et ses services (DDE, Services fiscaux, police, etc…), la JUSTICE (ordre administratif  et judiciaire, bras armés de la corruption…), l’ÉGLISE CATHOLIQUE (…) et les MÉDIAS (en particulier la presse écrite, JIR et QUOTIDIEN, férocement concurrents, mais unis dans ce cas par une complicité de silence sans faille… L’OMERTA). 

    Alors, comment comprendre, autrement, qu’une JUSTICE-PEÏ si douloureusement privée de moyens tels qu’encre, papier, codes, juges, greffiers, etc… (V. articles du JIR et du Quotidien novembre 2010) en ait engagés de si lourds et de si spectaculaires (en une absolue discrétion, il est vrai…) depuis mars 2007… 

     

                   …Juste pour me faire taire ???

                         Juliette CARANTA-PAVARD – St DENIS le 10 Décembre 2010

     

    N.B. : LE 26 Avril 2011, j’ai fait tenir par FAX, ce document assorti du commentaire suivant : « La copie de ce document, en 5 pages, a été transmise à Sabine ENCONTRE, «  Rapporteur Public » alias « Commissaire du Gouvernement », en 2007. Tous les deux vendus au « sistèma », elle a été la complice du Président (du T.A. …) Francis CARBONNEL dans les « jugements » proclamés en faveur du tueur de femme, Hilaire GRONDIN, protégé en ses délits par le Député-Maire, René-Paul VICTORIA. »  aux  destinataires suivants :  

    *Jean BRENIER – Président du Tribunal Administratif de la Réunion

    *Michel LALANDE – Préfet de la Réunion

    *Denis ROBERT-CHARRERAU – Procureur Général de la Réunion

    *Gilbert AUBRY – Président de la commission « Justice et Paix » de la Réunion

    *Le J.I.R. – Journal de l’Île de la Réunion

    *Le QUOTIDIEN

    *Et Libre Diffusion.

     

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    Extrait du site Internet www.didiermery.re

    Défendre son droit à la Réunion
    Par Didier Mery, samedi 25 octobre 2008 à 05:13 

    Quand on achète une maison avec un jardin à la Réunion, on n’est jamais à l’abri de la construction d’un immeuble devant chez soi (sauf si vous vivez au bord d’une ravine). Ceci est d’autant plus vrai même si vous aviez vérifié auparavant la non-faisabilité d’un tel projet par rapport au PLU de votre commune. Un règlement de zone n’est pas éternel et peut très bien être modifié.

    Je ne veux pas vous faire peur, mais il faut le savoir. 

     

     Affaire Pavard-Grondin

    Maintenant, que pouvez-vous faire si on projette de construire un immeuble en face de chez vous ? vers qui pouvez-vous tourner ? comment procéder ? vous devez faire face à des tas de questions qui s’additionnent comme les étages de l’immeuble d’en face (je sais, c’est pas drôle).

    Vous pouvez vous renseigner au CAUE, à l’association AUC mais aussi vous rendre à l’Urbanisme de votre commune, leur demander des explications.

    En attendant, permettez-moi de vous raconter l’histoire de Madame Juliette Caranta-Pavard

    Madame Juliette Caranta-Pavard a 72 ans et vit à Bellepierre, un quartier de Saint-Denis depuis + de 35 ans. Tout allait bien jusqu’en décembre 2005, le jour où son voisin a coupé les jolis manguiers et laissé place à un BOB4 pour s’occuper du terrassement. Madame Pavard n’avait aucune raison de s’inquiéter, vu qu’il n’y avait aucun panneau d’affiché, elle s’était dit que c’était sûrement dans le but de réaliser un mur de clôture. Les jours et les semaines passent, les travaux avancent et là, Madame Pavard se rend à l’évidence : il s’agit de la construction d’un IMMEUBLE et non d’un mur. Elle se rend de suite à l’Urbanisme et on lui répond que le permis de construire est à l’étude. A l’étude ? cela signifie que le voisin avait déjà commencé les travaux avant même de savoir s’il allait obtenir son permis de construire (j’ai toujours pensé qu’être sûr de soi était une qualité mais là quand même, le voisin, il a fait fort !).

    Madame Pavard, en bonne citoyenne prévient donc l’Urbanisme sur ce qui se passe près de chez elle, mais les parpaings continuent d’être montés car il n’y a aucune réaction. Déçue de la tournure des évènements, Madame Pavard décide de contacter la presse. Un journaliste du JIR mène son enquête et un article relatant les faits sortira le 30 avril 2006. Sentant le vent venir, l’Urbanisme, accompagnée de la Police Municipale viennent sur place pour arrêter le chantier le 27 avril 2006. Une semaine plus tard (le 4 mai), le permis de construire est refusé. Ni une, ni deux, il refait une demande de permis mais cette fois il s’aide des compétences d’un Architecte. Rien n’y fait, deuxième refus. A force de patience et d’obstination, le voisin réussit à obtenir ce fameux permis de construire le 27 décembre 2006. Je suis incapable de vous dire si c’est à cause du dicton « jamais deux sans trois » ou bien l’absence prolongée de Madame Pavard (partie en Métropole, voir ses petits enfants), toujours est-il que lorsque cette Dame rentre chez elle, c’est pour s’apercevoir que le recours aux Tiers de 2 mois est caduc.

    Beaucoup d’entre nous, aurait déjà jeté l’éponge mais il faut reconnaître une qualité à Madame Pavard, celle de ne jamais renoncer. Forte de son droit, elle présente 2 requêtes en reféré suspension qui seront rejetés (ainsi que la requête en annulation du Permis de Construire) par le Tribunal Administratif en 2007. Cependant, Madame Pavard est toujours en litige avec son voisin, car il réclame maintenant le « droit » d’accéder chez elle pour terminer l’étanchéité de sa façade en justifiant donc de son « droit » du « tour d’échelle ».

    Affaire Pavard-Grondin

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Aujourd’hui Madame Pavard a des problèmes avec la justice car en essayant de défendre ses droits de citoyenne, elle s’est mise à dos certaines personnes haut-placées qui la portent depuis un an, en diffamation devant les Tribunaux. Justice, Justice….Audiences le 30 octobre et le 06 novembre…

    L’histoire de Madame Pavard est bien sûr l’exemple d’un cas extrême, il ne faut pas oublier que cela peut arriver à n’importe qui…

     

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    • Après sept ans d’immersion dans les arcanes de la « Mafia » réunionnaise. Après sept ans de silence mafieux, je veux « casser » l’Omertà.
    • Pour émerger de la censure pratiquée, ICI, à la Réunion, je me vois dans l’obligation d’avoir recours à l’Internet…à l’instar des dissidents-résistants des régimes autoritaires… !

    • La « Liberté d’Expression », je veux lui donner tout son sens, toute sa dimension ; et toute sa valeur ! Et, ainsi aller plus loin que je ne l’ai déjà fait dans le devoir de dénonciation.

    • Depuis sept ans que dure cette « affaire », j’ai toujours assumé tous mes dires, tous mes actes et signé de mes noms tous mes écrits. De même, toutes les personnes ayant figuré dans cette affaire, à quelque titre que ce soit, l’ont été sous leur identité et, ensuite, en leur titre ou fonction.

    • Notre Préfet actuel, Michel LALANDE, affirme que nous sommes, ICI, à la Réunion, «  en pays de droit » (sic). J’ai la «  naïveté » de le croire…

       

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  • Tous les faits et leurs conséquences touchant la construction illégale à la Réunion.

    * Quelques faits : 

    * La construction sans permis de construire ; « sauvage » et hors normes elle est une pratique courante et délibérée, ICI, à la Réunion. 

    Les permis de construire de complaisance, attribués d’emblée, hors règles de l’urbanisme, ou délivrés a posteriori, une fois la construction sciemment engagée ou même carrément achevée, hors normes et sans permis de construire « préalable »…

    Les « Régularisations » automatiques et abusives sur des constructions  illégales et non conformes.( Ce qui fut désigné par le Conseil d’État comme une « possibilité » pour un cas particulier, en Octobre 1956 ( !) est devenu LA Règle, ICI, à la réunion…). 

    * Les « Permis modificatifs » réitérés pour tenter de faire « coller » la réalité à ce qui aurait dû être exigé via les procédures obligatoires… 

    L’absolue impunité couvrant et encourageant ces délits à commencer par le délit de clientélisme commis par les Maires au profit de leurs « amis » souvent nantis… Cette impunité est instituée par la magistrature locale, tant Administrative que Judiciaire. 

    Les conséquences : 

    * Gravissimes et infinies sur les voisins des délinquants ; particulièrement lourdes sur ceux qui ne sont pas d’accord et qui le manifestent haut et fort… 

    La Fraude fiscale qui découle de toute cette construction sans existence légale crée forcément un manque à gagner dans le budget des collectivités ; qui se rattrapent en…augmentant les taxes locales… au préjudice de la communauté… 

    * Par un effet « dominos », beaucoup de désordres sont créés de toutes pièces par cette  gestion  qui va bien au-delà de la malhonnêteté…

     

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  • Je me présente :  Je m’appelle Juliette CARANTA-PAVARD. Je suis née à Hyères, dans le Var, en 1936. Je suis petite-fille et fille d’immigrants piémontais des années 1914 et 1930.    ( Ma mère a été une émigrée clandestine, terrorisée, de 16 ans.  Ses parents sont morts, brutalement, tous les deux dans la même semaine, de la Grippe Espagnole, laissant seuls 6 enfants âgés de 14 ans à 11 mois ; tous ont survécu…). A l’époque, les français  « de souche » désignaient ces envahisseurs piémontais sous le nom de « Bâbi », crapaud, en Provençal.

    Il n’y a pas eu d’esclaves ni d’esclavagistes dans ma famille. A son arrivée en France en 1914, mon grand-père paternel a dû, cependant, vivre à l’égal d’un serf  sur les « domaines » viticoles des propriétaires terriens «  français de souche » varois ; l’exploitation de l’Homme se faisait à travers le dur travail de la terre. Malgré cela, parce que dans leurs villages montagnards mes ancêtres ont été des Hommes LIBRES, dans leurs gènes, ils ne l’ont jamais oublié ; la preuve…

    Ma famille a pris racine. Ces gens-là ont profondément respecté leur terre d’accueil, se signalant par leur courage à la tâche et leur honnêteté. Le jour où un courrier est arrivé  - avec le « décret-loi » annonçant que désormais le groupe familial jouissait de la nationalité française – il y a eu, toute la journée, un grand silence à la maison…

    Ma famille est (discrètement) très honorablement connue à Hyères, depuis bientôt cent ans.

    J’ai fréquenté l’école publique jusqu’à 14 ans. Mon premier métier a été la terre. A ma majorité (21 ans) j’ai sauté du champ de choux à l’école d’Infirmières et d’Assistantes sociales de la Croix Rouge de Toulon. A la fin de ma formation, j’ai été recrutée par la Caisse Générale de Sécurité Sociale de la Réunion comme Assistante sociale ; sur  un poste resté vacant depuis deux ans, faute de postulants.

    Je suis arrivée à la Réunion le 2 juillet 1962, juste après le cyclone « Jenny ». J’ai ouvert la toute première permanence sociale de la C.G.S.S. au dispensaire de P.M.I. de St Benoît, dans les mois qui ont suivi ma prise de fonctions. Pendant 35 ans d’activité, j’ai travaillé comme Assistante sociale de base, puis comme responsable du Service social spécialisé de l’organisme. En 1987, j’ai créé un Service d’Information pour la Santé et je m’y suis investie jusqu’à mon départ en retraite, en 1996.

    Durant ces 50 ans de vie au Pays, je me suis appliquée à rester digne des qualités de courage et d’honnêteté de mes aïeux et parents. J’ai choisi de terminer ce qui me reste de vie à la Réunion.

     

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  • Lors de mes premiers contacts avec la population de mon secteur, à mes clients venus à la permanence demander un « secours du gouvernement », je répondais : «  Je vois que vous avez là des fiches de paie ; nous allons d’abord voir si vous avez des droits ; si oui, je suis payée pour vous aider à les faire valoir. »

    Je n’ai pas changé d’un iota : ayant pour goût et pour habitude de me soumettre aux lois de mon pays, je préfère – toujours et partout – revendiquer des DROITS plutôt que quêter des « bienveillances ». Ces «bienveillances » tellement prisées ICI, à la Réunion, où les lois et règles sont allègrement, impunément, triomphalement bafouées…

    La Réunion où la seule loi, scrupuleusement appliquée, est la loi du silence…

    Il est donc possible de vivre des décennies, ICI, à la Réunion sans savoir. Puis, un jour votre vie ( la mienne…) bascule ; vous vous retrouvez, stupéfait, dans la tourmente, aux prises avec la « Mafia » réunionnaise !

    « La MAFIA réunionnaise ?? Mais que dites-vous là, Madame !!??

    De fait, l’île de la Réunion est , aux yeux du Monde, ce que la minorité agissante et profiteuse de l’île a intérêt de faire croire, ICI et ailleurs : une île « intense » de beauté et de plaisir de vivre ; pour TOUS !

    A l’évidence, nous ne sommes pas ICI, à Naples ou à Palerme ; la « Mafia » réunionnaise est, je dirais, une mafia de soupe populaire, style « Une louche à toi – une louche à moi ».  Cependant, le « sistema » réunionnais  fonctionne selon les mêmes pratiques que les vraies Mafias, à base d’intimidations, de menaces, de représailles et d’omertà…

    Parmi les très nombreux scandales qui éclaboussent ce département français, il y a celui de l’urbanisme « sauvage », avec ses constructions sans permis de construire ; ses bétonnages de bric et de broc – néanmoins « REGULARISES » à tour de bras par les services de l’Urbanisme Règlementaire des mairies ; ses permis de complaisance, délivrés par les mairies, au mépris des lois et règles…

    Le sujet est explosif. Mais c’est ce scandale-là qui me mobilise parce que des cas précis et flagrants de constructions illégales ont généré des faits extrêmement graves sur ma vie et sur celle de ma famille. Comme dans tout système mafieux…

    Il faut savoir que le jour où votre vie bascule, vous restez là, pétrifié de surprise en découvrant la « gestion » de ce bout d’  « Etat de droit ». Indigné, vous décidez de dire NON !, de résister et de réagir. Alors, vous vous retrouvez seul ( seule ! ) face au front uni des affiliés et des aspirants-affiliés. Et – ô surprise ! – même les victimes de « ça » vous en veulent de faire trop de bruit ! Il est clair que vous dérangez l’ordre des choses : ICI, à la réunion, TOUT se sait mais RIEN ne doit se dire…

    Alors, nos Préfets, très attachés à l’ « ordre public » lancent la machine à étouffer les scandales, tous moyens rassemblés ; au premier rang, ceux de l’Etat et ceux de la Justice préposés à vous «  calmer ». ET – spécificité locale -  aucun FALCONE, aucun SAVIANO, aucun LAS CASAS ; jamais !! Pas un seul doigt levé en faveur du Droit et de la Justice ; pas une voix, JAMAIS !!

    Mais il sera temps, pour les internautes le souhaitant, de découvrir la suite : sept ans, déjà, de dure résistance et d’intense guérilla au pays de la douceur de vivre ; ce pays que Prosper EVE, historien local, désigne comme «  l’île de la peur » et moi, comme l’île du mensonge-roi…

     

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