• Résistance-vérité-justice à La Réunion (Articles du plus récents au plus anciens)

     

  • Je suis épuisée… mais pas (encore) vaincue !


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  • (Ce courrier a été publié ce jour 26 Mai 2016 par le journal en ligne Zinfos 974 ; qui n’a pas souhaité y voir figurer les parties signalées en rouge.)

     

    *À ses heures, Dieu peut adopter un petit côté facétieux, oui, oui ! – mais néanmoins vengeur...

     

    (En rappel, il s’agit d’un rendez-vous « sollicité » avec insistance auprès de l’évêque Aubry, en charge du fonctionnement de la Commission « Justice et Paix » - ayant, entre autres missions, celle de lutter contre la corruption. Cet évêque - lui - a choisi d’être complice de la corruption locale et de me laisser violenter par la force brute des pouvoirs locaux, justement parce que - moi -  je la dénonce, cette corruption ; à sa place, depuis plus de 10 ans… (Voir détails sur mon blog : http://corruption974.eklablog.com )

     

    Ainsi, un dimanche soir - c’était le 12 octobre 2008 - dans la rue de Paris quasiment vide, je marchais vers l’évêché tout proche, plongée dans mes pensées. Levant la tête, j’ai cru halluciner : là à deux pas, planté sur le trottoir devant la boîte aux lettres de l’évêché, l’évêque Aubry, en charentaises ! Lui aussi me voit, s’active, fonce vers le portail de l’évêché ; je m’élance en le hélant : « Monsieur Aubry ! » et je l’intercepte dans l’entrée du parc. Il s’arrête, fait face, rétablit un peu de dignité et me tend la main ; que je refuse. Le ton est donné… Mais je laisse la suite à un courrier daté du 20 octobre 2008, faisant sobrement état de cet évènement, faxé à Gilbert Aubry, avec copie à Mgr Vingt-Trois – Conférence des évêques à Paris. :

     

    M. Aubry G. – Evêque de La Réunion

    Saint Denis Le 20.10.08 – Objet : Rencontre fortuite du dimanche 12 octobre 2008 (vers 18h30.Trottoir rue de Paris. Entrée du parc de l’évêché.)

     

    Je tiens à garder souvenir de cette « entrevue » obtenue par grâce spéciale, un an après avoir sollicité de l’évêque un rendez-vous, un secours…

    Dieu m’aime assez pour créer d’opportuns hasards : vous et moi allant l’un vers l’autre, sur le trottoir, devant l’évêché !

    Je ne puis pour l’heure, en ce bref courrier, détailler le contenu de cette demi-heure d’entretien forcé (pour vous…) debout, face à face : les sujets que je vous imposais étaient sensibles pour un homme de Dieu, complice de la corruption… Cet incroyable entretien-vérité où je vous ai surpris –  toute superbe abolie – à vous justifier, à vous défendre…Mal !!

    Vous avez été – fin 2007 – plus qu’impitoyable à mon égard ; jusqu’à la brutalité, jusqu’au mensonge…de Noël !- (Quel contraste avec vos élans de charité pour Valérie Bègue !!)

    Je retiens l’extrême dureté de votre regard contredisant vos plates paroles : lors de cet « échange » vous aviez peur M. Aubry ! De quoi aviez-vous peur ?? – J. Caranta-Pavard

    *Copie à Monseigneur Ving-Trois aux soins du Père Hérouard.

     

    Hors du statut d’idole qui lui est fait, ICI, à La Réunion, Gilbert Aubry a peur de tout ; y compris de l’inoffensive grand’mère de 72 ans que j’étais à l’époque, mais qui s’imposait par le dur discours de vérité et de mise en accusation de l’absolue médiocrité de son épiscopat. Pour accentuer cette mise en accusation, j’ai à un moment donné, durement planté mon index droit sur son auguste poitrine ; je ne l’y ai pas laissé longtemps, tant était haineux son regard - qui me faisait craindre qu’il m’assomme !

     

    Au cours de cette mise au clair, dans ses vaines tentatives pour reprendre la main, Gilbert Aubry, patelin, a voulu jouer au « sachant » : «  Je prierai pour vous »- Un ciglant « surtout pas ! » l’a bloqué net. Enfin - pour répondre à ceux qui préfèrent ne pas savoir ce qui me dresse contre Gilbert Aubry - c’est, bien sûr, sa contribution volontaire à ma démolition – ainsi que dit lors de cette séance mémorable : « Vous savez, Monsieur, que le péché se commet par action et par omission… »  – mais aussi à l’irréparable préjudice causé à La Réunion « d’en bas » en la maintenant, quarante ans durant, dans le plus épais des « fé noirs ».Stérilisées, les graines semées en 89 par Jean-Paul II lors de sa visite à La Réunion, ne germeront pas…

    Pour en finir, Dieu, qui n’a pas quitté la scène des yeux, y a pris un fin plaisir... Sûr !

                                                                                                        Saint Denis le 26 Mai 2016

     

     

     

     


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    *C’est ainsi que je désigne le pouvoir de l’ «équipe » de soignants dans le milieu fermé de l’hospitalisation, ici à La Réunion, face à nous, clients du commerce du soin.

     

    Un récent accident m’a amenée à redécouvrir le milieu hospitalier du pays. (Je dis « redécouvrir » parce que j’ai eu le privilège de n’avoir pas à être hospitalisée depuis plusieurs décennies : mes références dataient, c’est clair ! – je tiens à dire que mes dernières hospitalisations [années 80 ?] s’étaient déroulées sans aucun problème ; et au CHD, et à la clinique Sainte Clotilde.) Admise en urgence, le 13 octobre dernier au CHU, j’y ai passé trois jours ; puis j’ai été transférée à la clinique Saint Vincent (qui m’a été présentée comme un « Centre de convalescence »…) pour deux mois d’immobilité médicalement imposée, dans une ambiance étrangement…inhospitalière ! – et donc peu appropriée à remettre sur les rails une « patiente » tombée là juste un peu cassée, mais saine de corps et d’esprit.

     

    À savoir que dans ce département, dont la population a plus que doublé en cinquante ans, l’absence de prévisions des politiques en matière de logements se manifeste tout autant pour les lits hospitaliers – où l’on voit des cadres du CHU organiser des déménagements nocturnes de « patients » afin de les apparier par sexes…oui ! -  Et où demander à disposer d’une chambre individuelle  à la clinique Saint Vincent relève d’une prétention déplacée…Il m’a donc été donné d’y être l’objet d’originaux « appariements » avant d’obtenir – à l’arraché – une chambre particulière.

     

    Après m’être durement heurtée, des années durant, aux pouvoirs dévoyés des services de l’État, des médias, de la Justice et de l’Église, je croyais avoir fait le tour des grossiers abus de pouvoir tels qu’ils se pratiquent « spécifiquement » à La Réunion. Pas du tout ! Il aura fallu cet accident, me précipitant brutalement en situation de dépendance, pour découvrir que je n’étais pas quitte…

     

    S’il est naturel et souhaitable que ceux qui portent la responsabilité de la santé, parfois de la vie, disposent des pouvoirs des « sachants », les vulgaires abus de pouvoirs auxquels ils peuvent s’adonner, face à des « patients » considérés à priori comme des décérébrés, ne sont pas admissibles. Je ne les ai donc pas admis, jours après jours, en une résistance inhabituelle en ces lieux où EXIGER d’être soigné et respecté demande une belle persévérance.

     

    Ma démarche – là encore – est de dire ce que la plupart taisent, au grave préjudice de la qualité des soins. Si « Zinfos » publie ce courrier, j’annonce une suite sur des originalités de fonctionnement qui méritent d’être dénoncées et combattues…

     

    Lors de ma formation hospitalière en 58-59, le sujet de réflexion du moment -  dans le domaine de la Santé -  était l’« Humanisation des hôpitaux » ; soixante ans plus tard il va falloir se remettre à réfléchir…

       

    (Cet article a été publié sur « Zinfos 974 » ce jour 05 Avril 2016. J’y ai simplement mis en clair les établissements dont il est question : CHD, CHU, Clinique Sainte Clotilde et Clinique Saint Vincent ; le tout, à Saint Denis.)

     

     

     


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    *À la suite de l’article du 26 février 2016, Le Quotidien de La Réunion, signé Nicolas Bonin.

     

    Chose incroyable, cet article nous apprend qu’un hématologue du CHU Félix Guyon, à Saint Denis, a été visé par trois plaintes de familles de malades reprochant à ce praticien « un défaut d’empathie et d’information du patient et de son entourage. »

    Chose encore plus incroyable, la Chambre disciplinaire de l’Ordre des médecins a prononcé deux ans d’interdiction d’exercer à l’égard de ce praticien ; lequel a fait appel.

    Et, en octobre dernier, l’Agence régionale de santé (ARS) a même diligenté un audit dans ce service…

     

    Bizarrement, la « reconstruction » dont il est question n’est pas celle des malades reconnus victimes par l’instance disciplinaire, mais celle du service tout entier, douloureusement interpellé sur ces manques, je rappelle, « d’empathie et d’information »…Mais, mais : « Les personnels ont su se remettre en cause. » (sic) - Avec quelque retard, non ?

    Ma récente expérience d’hospitalisée m’a appris qu’un service de soins fonctionne (ou dysfonctionne…) à partir de l’«équipe », c’est-à-dire de TOUS les intervenants ; de CHAQUE intervenant ! Si la partie information médicale relève de qualifications particulières, l’empathie, elle, peut se dispenser en toute liberté, par chacun des intervenants, quelle que soit sa spécialité, pour le plus grand bénéfice du « patient ». Oui ?

     

    Quant aux « gens qui n’ont pas toujours osé demander des précisions » (sic) il est sûr que rien jamais n’a été fait pour les y encourager… Au pays de « L’île à peur » (Prosper Ève, historien-peï), de la soumission apeurée et…consentie, il y a encore - et plus que jamais -  de la place pour les abus de pouvoir ; y compris dans ce milieu clos de l’hospitalisation. Moi, « soignée », je peux en témoigner à partir du Journal que j’ai tenu semaines après semaines, jours après jours, heures après heures, en deux mois de rétention d’information et d’empathie à la carte…de la part de nombre de soignants du CHU et de la clinique Saint Vincent, à Saint Denis.

    (Cet article a été publié sur « Zinfos974 » le 08 Mars 2016. J’ai mis en clair le nom de la clinique en cause.) (Saint Denis le 14 Mars 2016.)  

     

                                                                              

     

     

     


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    (Il s’agit, ici, d’un tout premier exemple du rôle de la Police nationale dans l’étouffement de la vérité sur la construction illégale à la Réunion ; d’autres suivront.)

     

    *La goutte d’eau, celle qui fait se rompre les digues et conduit à mettre son va-tout à résister, face à la force brute policière, au risque de tout perdre, d’y laisser ce qui reste de vie…

    Ainsi, ce 21 septembre dernier, je reçois du commandant Robert Escolano – œuvrant sous l’autorité de la commissaire Laurène Capelle –  

    une invitation à me présenter devant lui, à 16h, au commissariat Malartic, afin (ce que je croyais…) de régler l’affaire du roquet jappeur. (Voir mes Courriers des lecteurs sur Zinfos : « Juliette Caranta-Pavard : Arme par destination », publié le 21.09.15 à 14h31- bien noter l’heure…) et « Juliette Caranta-Pavard : Une affaire d’Etat », publié le 26.09.15)

     

    Dès mon arrivée à Malartic, une furtive apparition du commandant Escolano m’a fait pressentir la possibilité d’une mise en scène, d’un traquenard. Lequel traquenard s’est révélé dans le bureau du commandant, sous la forme d’un « tribunal », où la gentille « Gigi »  –  désormais chef de patrouille – faisait office de procureur, son subalterne de témoin à charge,  monsieur Escolano. de président  et moi, d’éternelle prévenue…

    Depuis une décennie, j’ai déjà beaucoup fréquenté la partie milicienne de la  Police nationale, sous la direction des Michel Clément/Philippe Trenec/Pierrette Gunther-Saës ; il me restait à essayer du Jean-François Lebon…

     

    Confrontée à ce trio sans complexe, la traitrise –  disons la saloperie – du procédé, m’a jetée dans une colère colossale, à faire trembler les vitres de Malartic et à semer l’émoi dans la policière corporation. Au point qu’elle s’est empressée de faire appel à l’intervention du SDIS : une grosse ambulance rouge et trois pompiers… Il est vrai qu’avec le pic de tension constaté – alarmant, surtout chez une octogénaire…  –  la possibilité d’un « accident », dans les murs du commissariat, ça aurait fait désordre, oui ?

     

    La démarche tendait à une discrète exfiltration vers le CHU ; sauf que j’ai refusé tout net et signé une décharge pour les pompiers ; lesquels sont néanmoins restés présents le temps que je quitte le commissariat par mes propres moyens.

     

    La grossière séance d’intimidation ayant échoué, le « relations » avec cette fine équipe ont perduré, intensément, jusqu’au 30 septembre ; suivies d’inexplicables coupures sur ma ligne téléphonique et de désordres sur mon ordinateur…

     

    Les jours suivants, il m’aurait fallu digérer ce que notre évêque Gilbert qualifie de « choc »… lorsqu’il s’agit de la privation de couronne de sa « Miss » ! ; mais ça n’est pas « passé » : le 13 octobre au soir, pour le moins déstabilisée par les derniers traitements de « maintien de l’ordre public » de Malartic,  je m’effondrai et me blessai assez gravement pour justifier de deux mois d’hospitalisation ; avec, à la clef, la redécouverte d’une planète que j’avais eu la chance d’oublier : le milieu médical hospitalier, « Cinquième » dans ma classification des pouvoirs-peï…

     

    P.S. : Pour sortir du « secret- défense » ce courageux coup de force des sbires de Malartic, je peux produire l’attestation du SDIS sur leur intervention en ma faveur, le 21.09.2015.

     

    (Cet article a été publié sur « Zinfos974 » le 12 février 2016. J’ai, ici, mis en clair tous les noms. Samedi le 13 février 2016.)

     

     

     

     

     

     

     


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    *Merci à vous. Merci pour votre intérêt qui a continué à se manifester sur ce blog, pourtant resté muet depuis le 12  Octobre dernier.

     

    *À brève échéance, j’aurai à vous parler d’un « 5ème pouvoir » qu’il m’a été donné de découvrir et de fréquenter intimement en cette fin 2015. (Il n’est peut-être pas inutile que je précise que j’ai établi ma liste de pouvoirs spécialement pour La Réunion…)

                                               Saint Denis le 01 Janvier 2016

     

                             

     

     

     

                                  

     

     

     


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  • *Ainsi parlait …mon « Prof »…de son élève ! :

     

    « Cette femme est en grande souffrance et son seul remède est de baver sur l’humanité toute entière… il faut la laisser à ses délires, ça la soulage et ce qu’elle raconte lui fait du bien même si tout le monde se doute bien qu’elle s’ingénie à faire de grands arrangements avec la vérité, à son profit bien sûr !

     

    Quant aux « victimes » de ses délires il y a belle lurette qu’ils en rient à gorge déployée, surtout quand elle sarrange(sic) pour payer plus d’impôts locaux en payant systématiquement des pénalités de retard, alimentant à l’insu de son plein gré les caisses de gens qu’elle abhore (sic) !!!

     

    Eh oui, Zinfos974 peut se révéler une médecine douce pour certains psychopathes. Merci pour les économies pour la Sécu !!! »

     

    *Cette pieuse littérature s’étalait  en commentaire sur mon Courrier des Lecteurs de Zinfos 974 titré :

    « Juliette Caranta-Pavard : Une affaire d’État ! » du 26 septembre 2015.

    (Postée le 27.09.2015 à 18h22 sous le pseudonyme  « Carbonari »,  discret rappel de mes origines Piémontaises…)

                                                               Saint Denis le 12 Octobre 2015

     

     


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    *L’« Affaire » consiste en un feuilleton -  vieux de plus de 10 ans -  se rapportant à un « contrat » passé entre la famille d’Hilaire Grondin et la Mairie de St Denis ; lequel « contrat » donnait aux consorts Grondin la liberté de construire un gros immeuble – sur la RD 42, à la vue de tous !,  propriété future des enfants Karine et David –  sans Permis de Construire, avec pour objectif de faire l’économie des taxes locales. (Taxe locale d’équipement, Taxe du Foncier bâti, Taxe d’Habitation…)

     

    *Il s’agit ainsi de l’« Affaire » Hilaire, David et Karine Grondin / R.P. Victoria, Député-maire de St Denis / P.H. Maccioni, Préfet de la Réunion / R. Doumas, Procureur général / F. Carbonnel, Président du Tribunal administratif –  pour ne citer que les locomotives de  cet audacieux projet, ayant enrôlé par la suite une véritable armada d’acteurs de tous bords…

     

    *Nous avons, ICI, à La Réunion les héros que nous méritons et pour bien comprendre quels sont les « héros » du feuilleton en cause, il nous faut faire un grand retour en arrière :

     

    *Un peu d’histoire vraie : le 30 Septembre 1969, Hilaire Grondin, armé d’un pistolet, tend un guet-apens et abat son épouse au stade de Ste Suzanne ; il rate l’amant de cette dernière. Assassinat et tentative d’assassinat.

     

    *Après emprisonnement, Hilaire Grondin est mis en liberté provisoire le 28 Octobre 1970.

     

    *Comparaissant en Cour d’assises, Hilaire Grondin est acquitté,  le 15 Décembre 1970, sous les applaudissements de la foule. (Pour tous ces éléments, voir le compte-rendu d’audience du « Journal de l’Île » du 16 Décembre 1970, signé « MAD »)

     

    Quelques années après, une femme devient  la concubine du tueur et fait des enfants avec lui ; dont les deux, propriétaires de l’immeuble hors-la-loi collé à ma propriété, dignes de leur papa, capables de TOUT…

     

    *En 1971, mon mari et moi achetons un terrain à bâtir à Bellepierre ; ce qui fait de nous, désormais, les voisins immédiats du Clan Grondin… entraînant pour ma personne et ma famille, violents « dommages collatéraux » et profusion d’« effets secondaires », fruits des plus improbables ramifications  « mafieuses » à la sauce-peï, le tout partiellement  détaillé sur mon blog. 

     

    *Jusqu’à me retrouver, plus de 10 ans après, toujours avec le Clan Grondin, confrontée  à la collusion État-Police-Justice au service d’un tueur de femme et de sa famille, objets de tous les soins de ces pouvoirs putréfiés – dont cette grossière et ridicule histoire de chien jappeur dont j’ai livré le premier volet, publié le 21.09.15 sur « Zinfos974 » sous le titre " Arme par destination"

                                                  Saint Denis le 26 Septembre 2015

     

    (Cet article a été publié sur "Zinfos974" le 26 Septembre 2015. J'ai complété tous les noms en clair.)

     

      

           

                                                                                                                                

     

     

     

     

     

     

     


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    Je ne pouvais pas savoir, alors, avec quoi  ce personnage allait nous étonner :

    *Affaire  de la couronne de la « Miss France », Valérie Bègue, en Décembre 2007. (Découverte de photos honteuses, plus qu’inconvenantes pour l’Église, et remettant en cause ladite couronne.) L’Évêque s’est mis à la tête de la « résistance », prêt à faire descendre le peuple dans la rue, à y faire couler le sang, si la précieuse couronne n’était pas maintenue sur la tête de cette « Miss » si peu convenable… De l’épiscopat fou, fou, fou !

    *Affaire de l’Arast, en Novembre 2009 (Licenciement sec de 1200 agents !) – Durant des mois et des années Gilbert Aubry est resté coi, terré dans son luxueux évêché, dans une totale indifférence face ce drame, touchant des milliers de personnes –  je veux parler des familles des licenciés jetés comme des Kleenex…

    *Affaire des prêtres pédophiles –  trois d’un coup ! – scandale, qui, débuté en Décembre 2009, s’expose des années durant, avec, il y a peu, la brutale exclusion de l’Église, par le Vatican, du Père Jean-Marie Vincent ; ce triste sire, prédateur d’enfants, protégé de l’Évêque Aubry… toujours très content de lui !

     

     

    Je pourrais être intarissable sur l’indignité de l’Évêque Aubry mais j’ai besoin d’en rester là pour l’instant, tant cet individu me répugne. L’Évêque Aubry, capable d’assener à ses « brebis » cette phrase incroyable : «  Mettre le respect de la personne au centre de toutes les préoccupations. » (Journal de l’île du 20 Septembre 2007.) À voir sa pratique, le moins que l’on puisse dire, c’est que cette exigence ne s’imposait pas à lui…

                                               Saint Denis le 06 Septembre 2015


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  • Catholique de naissance, pas dévote et encore moins bigote, j’ai plongé dès 1962 à mon arrivée au pays, dans La Réunion du Préfet Perreau-Pradier et de Monseigneur Guibert. Une très fine équipe, avec laquelle je n’ai pas eu l’avantage d’être trop familière contrairement  à celles d’aujourd’hui : Maccioni/Aubry – Lalande/Aubry –  Marx/Aubry –  Saurin/Aubry…

     

    Par contre, mon travail sur le terrain m’a permis de découvrir les originalités du pays en matière de foi religieuse catholique – faite de bigoterie pour les uns,  de superstition et de peurs pour la multitude (s’y ajoutant la complication de doubles pratiques…), ainsi que leurs effets sur la vie civile. Dont l’étonnant « dos-à-dos » qui gardait serrés les « liens sacrés du mariage » tout en allant construire ailleurs deux nouveaux nids ; hors la diabolique « Régulation des naissances » naissante, avec plein d’enfants adultérins ; certains bénéficiant des Allocations familiales du « mari-marié » et les autres, ceux du « mari-pas-marié », de rien du tout… De quoi amener l’Assistant social (interpelé par cette « injustice ») à conseiller de mettre un peu d’ordre dans cette pagaille en divorçant… quitte à passer pour un suppôt du Diable aux yeux de ses clients scandalisés…

    De même pour les enfants nés hors règles, issus de ces unions, à qui les curés refusaient le baptême…Oui !

     

    Puis est arrivé Gilbert Aubry ! Moi, j’ai connu Gilbert Aubry alors qu’il n’était que le Dauphin, secret espoir du peuple réunionnais. Il nous est arrivé de nous trouver ensemble dans des groupes de travail à orientation sociale. À cette époque, rien ne signalait que le futur Évêque préparait – en douceur – son avènement…  

     

    Lors de la nomination de Gilbert Aubry, en mai 76, j’ai vu la frange évoluée de la population exulter de cet envoi « en-l’air » de La Réunion, apte à éradiquer le « communisme » de Monseigneur Guibert ; ce, grâce à son remplaçant, qui a fini par être désigné comme l’Évêque le « plus à gauche de France » – comprenne qui pourra…

     

    Donc, rien que du bonheur ! Ce grand évènement m’a laissée plutôt indifférente. Sauf qu’il m’a paru bizarre qu’en même temps que l’annonce de sa sainte mission nous apprenions que Gilbert Aubry était AUSSI un poète de talent, « militant de la créolie », jamais révélé auparavant…

     

    C’est la première fois que je me suis interrogé sur la personnalité du nouvel Évêque. Je ne voyais pas le rapport  dans ce mélange de genres ; opportuniste, Gilbert Aubry ??

     

    Mais, lorsque à l’apparition du Sida, l’Évêque Aubry a pris officiellement position en faveur du préservatif, en des termes de grande qualité, j’ai été séduite : nous avions là un Évêque courageux, moderne, humain et social…


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  • Je présente mes excuses aux personnes qui me font la grâce de lire le contenu de ce blog. J’aurais dû, depuis longtemps, expliquer les raisons de son apparent état d’abandon et ce qui le motivait.

     

    De fait, entre l’article « 32-Opération sabotage » du 27 Octobre 2014 et l’article « 33- Mon « Prof…» du 14 Juillet 2015, plus de 8 mois se sont écoulés, au risque de décourager mon hébergeur de maintenir le blog à flot.

     

    Déjà, la malveillante et incompréhensible « Opération sabotage » m’avait fortement contrariée, dégoûtée. Cette « contrariété » a été suivie, une semaine après, par la brutale défection de mon « Prof » : par mail du 04 novembre, il m’annonçait qu’il n’apporterait plus sa contribution à cette œuvre commune ; ce  qui entrainait la paralysie du blog car il s’était, dès le départ, réservé la mise en ligne des nouveaux articles… ce que moi, je ne savais pas faire !

     

    Cette période de nouvelle impuissance a été très pénible pour moi, avant que je trouve le moyen d’apprendre la procédure et parvienne à publier mes écrits. Une nouvelle conquête de liberté… avec mes remerciements à mes lecteurs, pour leur patience et leur fidélité.

                                                                           Saint-Denis le 17 Août 2015

     

     


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  • …ou de l’urgence à « faire sa (bonne) part » en faveur de la société réunionnaise en déroute.

     

    *Il s’agit d’une légende amérindienne racontée par Pierre Rabhi : « Un jour, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux, terrifiés, atterrés, observaient impuissants le désastre. Seul le petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes d’eau avec son bec pour les jeter sur le feu. Après un moment, le Tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit : « Colibri ! Tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu !! »  Et le colibri lui répond : « Je le sais, mais je fais ma part. »

     

    *Aucun doute, je me sens « colibri » dans cette société réunionnaise touchant, jours après jours, le fond de la médiocrité civique et morale : rien qu’en matière de Loi et  de Règlementation urbanistiques, j’ai fait, SEULE, bien plus que ma part avec mes « gouttes » durement projetées sur la corruption locale.

     

    *Aujourd’hui, il n’est pas question d’urbanisme mais de moralité ; et du rôle joué par  l’Église, à partir de la vraie personnalité de son « chef », l’Évêque Aubry. Gilbert Aubry, aux « commandes » de la très « spécifique » pratique de la religion catholique à La Réunion,  depuis bientôt 40 ans ! Et qui n’a eu de cesse d’agir pour maintenir sa communauté non pas à genoux, mais carrément à plat ventre - il est sûr que plus le troupeau est « en bas » plus le berger monte en puissance…

     

    *Jusqu’à l’heure où le doute  sur la moralité de l’Évêque a affleuré, à travers le scandale des prêtres pédophiles locaux ou importés : scandale des « affaires » Michel Tual et  Jacky Hoarau, en décembre 2009 et janvier 2010, que je me suis employée à stigmatiser ;  suivies du gros scandale de l’« affaire »  Jean-Marie Vincent  - délinquant sexuel, repris de justice -  où, dès le 11 février 2013,  j’ai tenu à apporter ma « part »( via « zinfos974 »)  à la possible éviction de ce répugnant individu ; sans oublier de marquer au passage l’entière responsabilité de Gilbert  Aubry dans sa volontaire mise en œuvre  de ces scandales.

     

     *Je ne sais pas si le Pape François lit « Zinfos 974 » ; mais le Dieu des catholiques, oui ! - ce qui a fait que des décisions irrévocables ont été enfin prises à Rome, jetant définitivement le « Père » Vincent hors de l’Église. Par ricochet, les actes de Gilbert Aubry ont été clairement désavoués et son pouvoir mis à mal… Encouragée par ce résultat,  inutile de préciser que je vais continuer à battre ce fer chaud, aussi longtemps que besoin est.

     

                         (Cet article a été publié sur « Zinfos 974 » le 05 Août 2015)


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    *CENSURE : Ce « Courrier des lecteurs » a été censuré par « Zinfos974 » le 17.07.2015

     

    *L’affaire de construction illégale Hilaire G. / René-Paul Victoria / Gilbert Annette, dénoncée par mes soins, n’en finit pas de continuer… depuis 10 ans ! 

     

    Et, depuis 10 ans, les pouvoirs locaux (Etat français, Justice française, Eglise catholique réunionnaise, Médias réunionnais et français, pour ne citer que les principaux.) ont coalisé leurs moyens pour tenter de tarir mon discours sur la corruption du peï. « Ils » ont tout essayé ; rien n’y a fait. Même pas de très spécifiques voies de fait, basses œuvres venant en appui d’autres, bien plus « nobles »… 

     

    Déjà, le 27 Décembre  2007, l’équipe municipale Victoria avait enclenché  les hostilités contre l’indomptable grand’mère qu’ils découvraient,  ébahis ! – Un commando avait été diligenté, au quatrième étage du parking Ste Anne de Saint Denis, où ma voiture était garée –  pour y exploser, manuellement, ma lunette arrière ; avec sang…

     

    Ce Week-end du 14 juillet ce type d’opération se confirme : c’est directement à mon domicile (moi, y étant présente) que les hommes de main de la pitoyable « mafia » réunionnaise sont venus s’en prendre à mon véhicule : ils ont cette fois éclaté mon pare-brise, côté conducteur, avec un galet resté sur place. La configuration des lieux exige que pour obtenir cette précision d’impact, il a fallu s’introduire dans ma propriété –  entièrement close, avec un portail électrique difficile à escalader. Voilà !

     

    (Une copie de ce courrier est adressée au Préfet Dominique Sorain, au Procureur général Claude Laplaud et au Directeur de la Police nationale, Jean-François Lebon.)

                                                              Saint Denis le 21 Juillet 2015

                                                                                                         

     

     

     

     

     

     


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    Mon « Prof », c’est celui grâce à qui j’ai pu apprendre ce que je sais sur l’informatique et l’internet. C’est celui qui, par ses grandes qualités pédagogiques, sa patience et sa disponibilité a permis à une grand’mère de mon âge – fragilisée psychologiquement par des années de violents assauts mafieux, déjà partiellement décrits – de trouver encore le courage de s’engager dans un apprentissage difficile et délicat ; ceci, afin de sortir du silence toxique et acquérir enfin  le pouvoir de dire, sans entrave. 

     

    Dès l’acquisition de l’ordinateur, j’avais compris que la chose ne serait pas aisée sans avoir trouvé le bon Maître ; comme ce retraité connaissait bien La Réunion et était au fait de mes actions et intentions à venir (créer et ouvrir un blog) j’ai osé lui demander s’il pensait pouvoir être ce « Maître ». La réponse a été spontanée et…positive ! À ne pas  y croire…et de renouveler ma demande et… d’obtenir confirmation ! - Pourquoi avoir douté ? Parce que mon « Prof » – catholique – est très proche de l’Eglise catholique réunionnaise – pas très bien disposée à mon égard – et  que cela aurait pu influencer sa réponse…

     

    Pourquoi cet engagement alors que la quasi-totalité des gens, ICI, à La Réunion, préfèrent se tenir à prudente distance de ma personne et de mes positions ? Je n’ai pas voulu approfondir et trouvé plus utile pour servir mes objectifs – et la vérité sur la profonde corruption du pays – de saisir cette chance inespérée. Et puis, pourquoi ne pas croire que ce « Prof » improvisé, bénévole, voulait apporter sa contribution pour contrer ce qui maintient l’asservissement chez une grande partie de la population réunionnaise, à commencer par l’Eglise catholique? Une sorte de « rachat », pour alléger sa conscience de chrétien, sans pour autant se compromettre, étant assuré de ma discrétion…

     

                                                                                                                   Saint Denis le 14 Juillet 2015


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  • M’étant absentée du département, sans mon ordinateur, la surprise m’attendait à mon retour…

    Alors que moi seule et mon « Prof » avons accès à mon ordi – et donc à la composition de mon blog – j’ai retrouvé ce dernier pollué et dégradé, durant cette absence.

    Questions : *Qui a si grand intérêt à s’en prendre à ce blog ?

                     *Qui – pour servir ces intérêts – dispose des moyens « particuliers » aptes à violer l’accès à mon ordinateur ?

     

    L’Affaire Hilaire, David et Karine GRONDIN/René-Paul VICTORIA/Gilbert ANNETTE, que je dénonce depuis 10 ans, serait-elle l’«Affaire » de TOUS les possibles ?? – En rappel : il s’agit – parmi des milliers d’autres à La Réunion – d’une affaire de CONSTRUCTION ILLÉGALE, assortie de FRAUDE FISCALE délibérée, tenue sous le boisseau par les pouvoirs locaux… depuis 10 ans.)                    

                                       Saint Denis le 27 Octobre 2014

     

     

     

     


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  • Pour garder toute sa valeur au document qui va être présenté et laisser au lecteur sa liberté d’appréciation, je réserverai mes commentaires.

     

    Voilà, donc, la relation chronologique – jours après jours, mois après mois – de ce qu’a été pour moi une année pleine de comparutions, à la barre de Justice, après les plaintes en « DIFFAMATION » déposées par René-Paul VICTORIA, Dominique FOURNEL et (sur ordre), Brigitte LAMY et Etienne CHARRITAT ; plaintes présentées en leur qualité en la Mairie de St DENIS, respectivement : *Député-Maire  *Élu en charge de l’urbanisme  *Directrice de l’Urbanisme réglementaire * Directeur général des services.

     

    NB: Pour accéder au tableau des comparutions cliquez sur lien ci-dessous:

     

    Télécharger « 2009-02-16 Affaire GRONDIN CHRONOLOGIE.pdf »

     

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  • Il s’agit là d’un « MUR DES CONS » à la sauce spécifiquement réunionnaise. Il s’agit là – par leur ordre d’entrée en scène – de  ceux qui se sont investis à fond et ont mis tous les moyens de la Justice-Peï (pourtant bien pauvre…) au service de la « mini-mafia » locale. Il s’agit là de ceux qui se sont investis – et  s’investissent encore et toujours… –,  après avoir pris le relai du voyou CARBONNEL, tentant de m’intimer silence, par le glaive cette fois.

     

    **Francis CARBONNEL *Président du Tribunal administratif  **Raymond DOUMAS *Procureur général **Michel DANDRADE *Juge de proximité  **François COURTAIGNE *Président du Tribunal de police  **Charles MORGAN *Président du Tribunal correctionnel  **François MUGUET *Procureur de la République **Hélène BIGOT *Substitut du Procureur  **Hervé PROTIN *Président de la Chambre correctionnelle d’appel  **Michel BAUD *Avocat général  **Anne-Marie NOËL *Substitut général  **Denis ROBERT-CHARRERAU *Procureur général  **Richard BOMETON *Procureur de la République  **Claude LAPLAUD *Procureur général  **Philippe MÜLLER *Procureur de la République. 

     

    N.B. : À l’exception de Michel DANDRADE, ex-policier à la retraite, les cités sont les grosses pièces de ce peu ragoûtant ragoût. Je vous laisse imaginer la sauce qui le lie…

     

                                                                                                                                                                                                                          Saint Denis le 24 Juin 2014

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  • L’Omerta maintenue par les Médias locaux sur les sujets qui fâchent, ICI, à La Réunion – dont les flagrantes et « spécifiques » fantaisies de l’Urbanisme dit « règlementaire » – a  été largement confortée par la « solidarité » des Médias nationaux ; les principaux d’entre eux, alertés par mes soins, tout au long de cette « Affaire », ont été plus que discrets, muets !

    Qui peut dire pourquoi ??

     

    Le seul Média qui a osé m’ouvrir ses colonnes, ICI et ailleurs, c’est « ZINFOS 974 ».

    À tel point que, dès que j’ai été un peu dégrossie en informatique, je suis devenue une ardente et appliquée « collaboratrice » de ce journal, tant par mes courriers que par mes commentaires.

     

    Ce qui n’a pas empêché que certains de mes écrits soient écartés par ZINFOS… Trop « frontaux », trop vrais, trop irrévérencieux, trop « dangereux » en un mot.

     

    Désormais – par souci de ne pas gaspiller mon énergie déclinante et la Vérité « telle que je la vois »  – mes écrits non publiés seront insérés dans mon blog, sous la rubrique : CENSURE

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  •  « Le philosophe arrive et vous dit posément

    Que la chose ne peut se passer autrement,

    Et que le premier point entraîne le deuxième ;

    Que le deuxième admis il s’ensuit le troisième ;

    Et que si le premier n’avait pas existé,

    Les deux autres, non plus, n’auraient jamais été. GOETHE, Faust

     

    Et, ICI, dans ce très spécifique « État de Droit » réunionnais, quel fut le premier « point » de la très minable affaire Grondin / Victoria / Maccioni / Carbonnel / Doumas / Annette, Etc…, Etc…, Etc… ?? Cette minable et extravagante « affaire »ayant retenu et mobilisé contre moi –  une femme seule et âgée, une inoffensive grand’mère… – une véritable armée de fonctionnaires de tous bords et de tous grades, juste pour servir la pitoyable « mafia » locale et pour tenter – en vain ! – de m’imposer silence sur son existence, ses méfaits et ses délits, jusqu’au crime !

    Cette extravagante affaire – avec sa myriade d’effets secondaires et ses irréversibles « dommages collatéraux » – n’a pas fait à ce jour l’objet de la moindre « révélation » médiatisée sur ce qui putréfie la Réunion – tout autant que les chiens-appâts, les requins, le chikungunya, la soumission consentie, la violence de sang quasi quotidienne et les cent et unes plaies du pays…

     

    *Pour revenir aux « points », le premier semble être le fait du clan Grondin – avec à sa tête le tueur de femme Hilaire – ainsi que celui de son artisan véreux, spécialement choisi pour construire (et comment !) son immeuble-verrue ; je cite : Serge Sinimalé ( Sinabat S.A.R.L.) qui, inquiet de l’intérêt que je manifestais pour ce chantier sauvage, m’a interpellée, plein d’incrédulité : « Vous n’allez pas me faire des ennuis ?? »

    *Le deuxième « point » a vu l’entrée en scène de Brigitte Lamy, titulaire du poste de Directrice de l’Urbanisme règlementaire, missionnée en avant-garde du Député-Maire René-Paul Victoria. (Il est impossible d’imaginer ce que cette « gagneuse » a été capable de faire pour étouffer dans l’œuf  ce scandale naissant…) – En plein émoi devant mon insistance, l’équipe s’est consolidée par l’arrivée de l’élu en charge de l’Urbanisme, le « golem » Dominique Fournel  et l’insignifiant Directeur des services, Etienne Charritat , lequel trio a fini par reconnaître (officiellement, par écrit !) qu’il y avait effectivement un « problème »…

     

    *Le troisième « point » était constitué par le Contrôle de la légalité de la Préfecture, sous l’ère Maccioni, lequel « contrôle » a rangé l’affaire dans la catégorie des « problèmes de voisinage » et a tout fait pour me convaincre de la chose ; stupide, mais vrai.

     

    *En vérité, si le clan Grondin a osé entériner ce projet hors-la-loi, en toute aisance, à la vue de tous par son emplacement sur le CD 42, c’est que le Député-Maire l’y avait autorisé ; si René-Paul Victoria, Maire de Saint Denis ET Député de la République, avait délivré ce blanc-seing de bafouage de Loi à son ami tueur de femme, Hilaire Grondin, c’est parce qu’il savait pouvoir compter sur l’indéfectible appui du Préfet Maccioni ; lequel Préfet Maccioni  pouvait, lui, TOUT oser parce qu’en la personne de Francis Carbonnel , la Justice administrative-Peï était aux ordres… Voilà la première partie de la boucle bouclée parce que toutes ces « belles gens » étaient convaincues que l’œuvre de Carbonnel m’aurait définitivement « calmée » ; ce qui n’a pas été le cas.

     

    *Je suis alors fondée à dire que le vrai premier « point » de l’affaire c’est Francis Carbonnel qui, au cours de mes trois requêtes contre la Mairie de Saint Denis, via l’indépendance de la Justice française, disposait seul et par la Loi, des moyens de  mettre fin à cette grossière gabegie. Il a choisi de se comporter comme un ripou de Justice et de compromettre son « honneur professionnel », ô combien ! – C’est donc à lui que je demande compte des violents « dommages » que sa lâcheté et son indignité ont déversé sur moi, indéfiniment, depuis ses choix de…« décisions ». Ceci, parachevé avec l’enthousiaste participation de ses camarades de l’Ordre judiciaire dont je publierai l’impressionnant palmarès – « en bande organisée » – dans ma prochaine rubrique.

     

    Après avoir été Président du Tribunal administratif, puis Grand Prêtre du « Kaloo Bang », Francis Carbonnel est maintenant avocat, inscrit au Barreau de Saint Denis. Il rejoint,  par ce fait, son « camarade de saloperies », l’avocat Robert Chicaud, celui qui durant deux années pleines, en défense du Député-Maire Victoria, a déversé sur moi des tombereaux d’ordures pour alimenter les scélérates décisions du Président Carbonnel – il fallait bien sauver la mise et  l’« honneur » du Député- voyou-Victoria... Tombereaux servis aussi à toutes les Juridictions pénales devant lesquelles j’ai comparu pour « diffamation » à l’égard des Victoria / Fournel / Lamy / Charritat, toute l’année 2008 ; sans avocat…

    Après ça imaginez l’élan de l’avocat Chicaud de se voir garantir deux ans de consistants honoraires par la Mairie de Saint Denis !

     

    N.B. : Le programme détaillé de ce volet pénal sera présenté dans la prochaine rubrique.

     

    Enfin, Pierrot Dupuy, à la tête du journal en ligne « Zinfos 974 » titrait le 26 Juin 2013 : « Un avocat bien introduit… » Il y laissait entendre que la nouvelle peau de Francis Carbonnel avait un côté obscur… Moi, je postais sur cet article les commentaires suivants, non censurés :

    * « Aux futurs clients de Francis  Carbonnel, ancien Président du Tribunal administratif de la réunion : Par précaution, avant de le constituer, allez donc voir ce que j’en dis sur mon blog, rubrique N°8-« Francis Carbonnel […] » et rubrique N°9-« Affaire Carbonnel/Victoria/G. »

    * « Je suis la dernière à m’étonner de ce « rapprochement » : « La confraternité de la turpitude mieux que celle du talent, avait depuis longtemps réunis ces deux individus » (D’après un texte de H. Castille)

    Carbonnel et Chicaud s’aimaient déjà d’amour tendre, en 2007, lorsqu’ils ont été préposés – de concert – à sauver le Soldat Victoria d’une sale-dégoûtante petite affaire de construction d’un immeuble SANS PERMIS de CONSTRUIRE, autorisée par le ci-devant Député-Maire et dénoncée par mes soins… »

                                                                                             Saint Denis le 20 Mai 2014

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  • J’ai eu récemment la surprise de voir figurer parmi  les 5 000 travaux de « spécialistes »  (mémoires, thèses, conférences, Etc…) sur le sujet de la corruption, ce courrier que j’adressais le 23 Octobre 2007 à Francis CARBONNEL, alors très respecté Président du  Tribunal administratif de la Réunion. Ledit courrier  se présentait au N° 611  de cette longue liste, sous le titre général de « MÉMOIRE SUR LA CORRUPTION »… 

    J’ai pensé que je ne pouvais pas faire à moins – maintenant – que de placer ce document bien en évidence dans mon blog,  pour que les preuves de la corruption de la Justice réunionnaise ne laissent aucun doute aux justiciables du pays. J’étais encore à l’époque sous le coup d’une surprise ébahie, stupéfaite, de découvrir qu’un Président de Tribunal administratif, Francis CARBONNEL et sa collègue Sabine ENCONTRE, Commissaire-du-Gouvernement-Rapporteur-Public, étaient d’authentiques ripous, véreux, corrompus à mort, en leurs fonctions, au service de la Corruption spécifique à la Réunion… Je n’imaginais pas à l’époque que, telle grossière compromission, telle turpitude, puisse exister en toute aisance, au cœur même de la Justice…ICI, à la Réunion !

    Voilà donc ce courrier, tel qu’il a été adressé à Francis CARBONNEL  et librement diffusé ; à commencer, par Fax, à sa hiérarchie et à tous les pouvoirs locaux :

     Francis CARBONNEL : enfin fiché !

     



       NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre                                                                                    

     

     

    *Restent encore dans mon oreille  les mots de la Greffière du T.A. : «  Malheureusement, la Commissaire du Gouvernement (Sabine ENCONTRE…) a donné un avis défavorable à votre requête… »Comme si cette traînée était autre chose que la vulgaire complice-soumise du Président CARBONNEL, et la protectrice du Député-Maire délinquant, René-Paul VICTORIA ; au profit des « clients » de ce dernier,  mes voisins : le tueur de femme Hilaire GRONDIN et ses deux enfants fraudeurs, Karine et David GRONDIN.

    Saint Denis le 05 Mai 2014

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  • (Je devrai, c’est sûr, m’y reprendre à plusieurs fois pour parler de l’Institution judiciaire, ICI, à la Réunion…)

    Pour que rien ne change jamais dans la gestion calamiteuse de ce spécifique bout de France, la très spécifique Réunion a besoin de « spécificités » d’appoint ; y compris en matière de justice, surtout en matière de Justice.

     Qu’elle soit Administrative ou Judiciaire, la Justice-Peï – bras armé de la corruption politique locale – arrive à la Réunion avec dans ses bagages cet ordre de mission impératif : « Collaborez ! »-Elle doit donc se mettre au diapason de la mission spécifique confiée aux Préfets-Peï qui est : « Pas de vagues ! » – et s’appliquer à étouffer ce qui doit l’être pour préserver l’«Ordre Public » et la « Paix Sociale » de façade, suffisants pour « tenir » le pays. Pour le moment…

    Mon intense fréquentation de la Justice-Peï – depuis l’irruption dans ma vie de Francis CARBONNEL – m’en donne une connaissance si approfondie que je fais mienne cette analyse comportementale de ce qui la compose, la Magistrature-Peï. Soit :

     « *10% de magistrats psychopathes, pervers, sadiques et criminels ;

       *15% de magistrats corrompus actifs ;

       *20% de magistrats corrompus passifs ;

       *50% de magistrats apeurés négationnistes. »

     N.B. : Je ne retiens pas les « 05% de magistrats rebelles intègres » parce  que moi, je n’en ai pas rencontré mais aussi parce que « Paris » se garderait bien de nous envoyer, ICI, ce type de juges, faiseurs de « vagues »…

                                                                                     Saint Denis le 28 avril 2014

     

     (« À tout seigneur, tout honneur », je commencerai par « raconter » Francis CARBONNEL dans ma prochaine rubrique…)

     

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  • Pour introduire le sujet de la Justice-Peï, il me faut passer par son socle, la Justice française.

    Il suffit d’aller sur Google, de taper sur « Justice française-critiques » pour trouver de quoi se sustenter. Mais, pour malmenée qu’elle soit, la Justice française garde bonne conscience et – selon elle – tout son crédit auprès de ses « clients » ; jugez-en : « L’autorité judiciaire tient sa légitimité de la Constitution. Cette légitimité est confortée par la confiance que lui accordent les citoyens »(Sic) -  C’est le Conseil supérieur de la magistrature qui nous le dit… 

    Allons voir cela de plus près : ainsi, qui en pays de France parmi ces millions de justiciables, qui a lu ou même simplement connu l’existence du petit livre jaune laborieusement pondu par le Conseil supérieur de la magistrature et publié en 2010 sous le titre : « Recueil des obligations déontologiques des magistrats » ? Qui ??

    La sortie de ce document s’est voulue discrète, peu médiatisée. Il est pourtant le fruit d’une injonction légale à l’adresse du C.M.S. – (Loi organique N°94-100 du 05 février 1994 sur laquelle se sont greffés l’article 20-2 de la loi organique N°2010-30 du 22 juillet 2010 après l’article 18 de la loi organique N°2007-287 du 05 mars 2007, le tout disant, enfin en clair, que le Conseil supérieur de la magistrature « élabore et rend public un recueil des obligations déontologiques des magistrats. » - j’espère que comme moi vous avez pu absorber sans mal ce salmigondis…)

     Ce livre est l’œuvre d’imposteurs patentés, s’adonnant à un  écœurant  angélisme ; diffusé gracieusement à tous les foyers français il aurait pu au moins susciter l’intérêt, car étant chacun de nous « justiciable » d’emblée, qui peut encore croire qu’il n’aura jamais à fréquenter cette douteuse corporation ?

    Je voudrais donc inciter  les « justiciables » internautes à aller à la rencontre du Petit Livre Jaune (On le trouve sur internet.) Rien que pour avoir une idée de ce que la quinzaine de membres du C.S.M. ont mis trois ans à nous concocter : il peut être utile de savoir ce qu’ils cherchent à nous faire croire…et pourquoi. (Je préviens, ils ont mis, se rapportant à leur gagne-pain, plein de gros mots : indépendance, intégrité, probité, impartialité, confiance, délicatesse (!),  honnêteté, honneur, et j’en passe. C’est si beau qu’ils doivent y croire, eux !! – Gardons-nous d’en faire autant ! 

    Tant qu’à investir un peu de temps à mieux connaître ceux qui nous jugent, allons visiter leur cuisine. Préparons-nous à affronter ce qu’ils ont voulu nous faire gober : La loi du 22 juillet 2010,  touchant à la « discipline » des magistrats, annonce une « innovation »de la réforme constitutionnelle du 23 juillet 2008,  laquelle nous autorise à nous plaindre si nous ne sommes pas contents des « services » d’un magistrat…(Ils commencent par qualifier la plainte de « réclamation » comme pour un yaourt avarié – c’est le terme employé par le conseiller d’état Durand-Viel, lorsque j’ai voulu me plaindre de la forfaiture de Francis Carbonnel, alors Président du Tribunal administratif, s’étant vendu en 2007 pour sauver le Député-maire Victoria dans l’ « Affaire » du tueur Hilaire Grondin…)

    Pour commencer, je vous recommande de faire une recherche sur les conditions requises pour présenter cette supplique à l’équipe du C.S.M., ça vaut vraiment le détour ! 

    Tout ça pour arriver à ce que nombre de « justiciables » « naïfs » ont cru à cette plaisanterie et sont allés « réclamer ». En 2011, 421 plaintes ont été adressées au Conseil supérieur de la magistrature ; la divine instance en a retenu – cramponnez-vous !! – UNE !!, oui !, UNE « réclamation » laquelle sera encore soumise au « jugement » de la bande des seize qui décideront si oui ou non une « réprimande » (Sic !) sera appliquée au mis en cause… Commente qui veut !  

    (Pour ceux qui comme moi ont des raisons de s’intéresser à la Justice française, je suggère la lecture édifiante de ces auteurs : Éric de Montgolfier, Éva Joly, Sophie Coignard, Gilbert Collard, Xavier Bébin, Samuel Corto,…ou de minables et néanmoins terribles réalités dépassent les pires fictions.

                                                                                             Saint Denis le 10 Avril 2014  

     La Justice française :

     

       

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • L’un d’entre vous connaissant le contenu actuel de mon blog, m’a dit qu’il le visitait régulièrement afin de voir s’il y avait des « nouveautés »… un vrai rappel à l’ordre, dont je lui suis reconnaissante.

    D’autant qu’il est à craindre que le fait d’être restée près de 8 mois sans nourrir mon blog risque d’être mal interprété ; par mes lecteurs mais aussi (et c’est plus grave…) par les tenants de la corruption locale : soit je manque d’arguments pour aller plus loin – soit, me voilà (enfin !) « calmée » - (sic. Commissaire principal Allabatre. Le 21.01.08. Hall Malartic)

    Ni l’un, ni l’autre !       

    Il n’est pas dans mes habitudes de me justifier mais je voudrais me faire comprendre : En ce qui touche mon combat, lutter SEULE depuis bientôt 10 ans contre la gluante « mafia » réunionnaise est une prouesse digne de figurer parmi les exploits humains. Mais, ici, à la Réunion, en ce pays de « résistances » tièdes, de conformisme réducteur et de violence contenue… jusqu’au sang ! – ce courage-là est très mal ressenti.

    Personne, hormis moi, ne connait le détail de ce vécu, la permanence de cette lutte, jour après jour, année après année. Malgré le complet déséquilibre et la différence de nature des forces en présence, il s’agit là d’une guerre, avec, face à moi, non pas des adversaires mais de vrais et dangereux ennemis, violents, lâches, ne connaissant que la force du nombre, disposant de consistants moyens, prêts à TOUT pour « gagner » et déterminés à « gagner », y compris au prix de ma vie…

    Ainsi depuis près de 10 ans que l’ « affaire » a sournoisement, insidieusement commencé, nous trouvons, ICI, aux manettes d’étouffement, la Triade « État-Justice-Église », agissant de concert en un parfait ensemble. En outre, le « quatrième pouvoir » zappe volontairement  l’information afin que pratiquement rien ne transpire de ce conflit armé et surtout de ce qui en est à l’origine et toujours d’actualité : la monstrueuse gabegie municipale qui a nom « Urbanisme réunionnais en folie »avec ses effets discriminants chez les administrés, ses plaies de l’urbanisme sauvage (Problèmes d’aménagements, de santé publique, de sécurité, « de voisinage »…, etc…) sans oublier le retentissement frauduleux sur la fiscalité…

    Tout cela pour vous dire que – hors empêchement grave – rien ne me dissuadera de continuer à dénoncer ce qui doit l’être, sur le même registre. Côté moyens, j’ai en surabondance la matière pour mettre en cause Préfets, Magistrats, Évêque  et autres ; je ne m’en priverai pas.

    Je termine en disant que c’est le chinois, Liu Xiaobo – Prix Nobel de la Paix, emprisonné pour 11 ans pour faits de résistance – qui m’a  appris qu’il ne faut pas craindre de reprendre et rappeler indéfiniment le sujet qui nous mobilise. (Réf. « La philosophie du porc »)

                                                                                                      Saint Denis le 01 avril 2014

     

    Post-scriptum :

    Je crains d’avoir oublié quelques détails importants dans l’écrit qui précède :

    *L’importance de marquer que pour une novice en informatique, lancer un blog d’opposante au « régime » réunionnais était et reste une gageure ; surtout lorsque l’on sait que l’« Affaire » a débuté en Octobre 2004, lorsque mon voisin Hilaire Grondin – tueur de femme, protégé par le Député-Maire Victoria, lui-même protégé par l’évêque Aubry et par le Président du Tribunal administratif Carbonnel – a prémédité, fort de ces premiers appuis, de construire pour deux de ses enfants un immeuble sans Permis de Construire ; avec promesse de suivi bienveillant, assortie d’une garantie d’achèvement du projet hors-la Loi – cette dernière mission étant assurée, à partir de 2008, par le successeur de Victoria, le nouveau Maire, Annette.

    *Importance aussi de souligner que le point de départ de cette belle « Affaire » se situe près de huit ans avant l’ouverture de mon blog. Huit ans très intenses, truffés d’une myriade d’évènements – hors normes, dramatiques ou cocasses –, de « Faits Divers », qui, faute de l’intérêt des médias, auraient mérité de figurer dans un blog (si j’avais su en créer un…) en des rubriques hilarantes ou de cinglantes mises en cause. Sous réserve d’être traitées au fil des jours, des mois, des années… Ces faits et évènements ont rassemblé, une masse de documentation, dont des centaines et des centaines de courriers, faisant preuve de la complicité de tous les pouvoirs locaux et nationaux avec la corruption réunionnaise. Ces documents sont là, classés, disponibles, mais si incroyablement abondants qu’il est malaisé de faire un choix de publication (tout est important !) et tout autant difficile d’en faire une synthèse… Ce qui aide à comprendre le « blocage » de ces huit derniers mois.

                                                                                                      Saint Denis le 05 Avril 2014

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  • Au-delà des « responsables-modérateurs-escamoteurs » d’information de nos deux principaux quotidiens, il me reste à parler des « autres » : la centaine d’encartés répartis entre les deux titres ; qui, pour ne pas être « responsables », n’en dépendent pas moins déontologiquement, des règles éthiques de leur profession. (« Charte d’éthique professionnelle des journalistes » - Syndicat National des journalistes = S.N.J. – et – « Charte de Munich » Déclaration des Devoirs et Droits des journalistes.)

     

    Pour introduire le sujet – et par souci d’économie d’énergie – je récupère l’un  de mes innombrables commentaires publiés sur « Zinfos 974 » :

     

    *[…] Côté « liberté de la presse » il aurait mieux valu oublier les « journaleux » de la Réunion… ; et avoir l’élémentaire délicatesse de ne pas les mêler à ceux qui perdent leur vie – de différentes façons – pour leur courage et/ou leur liberté de ton. Les « nôtres » ne risquent rien de si grave ; ils ne risquent que leur « gamelle » (Terme favori du grand reporter Tillier…) ; je pourrais comprendre qu’ils fassent profil bas, seulement pour ça ; mais pas admettre la médiocrité, la stupide suffisance, la flagornerie, la lâcheté et la malhonnêteté de trop nombreux d’entre eux. Dans l’affaire Hilaire Grondin/René-Paul Victoria/Gilbert Annette […] j’ai pu faire une étude de la corporation « en live »…depuis 7 ans !)

     

    *Vous l’aurez  compris, il est impossible de trouver un « vrai » journaliste à la Réunion ; ceux qui aspireraient à l’être (Une mini-minorité ; pour leur éviter des ennuis, je tairai leur nom…) sont rudement encadrés, maintenus sous tutelle. (Ayant moi-même vécu un licenciement disciplinaire, je peux comprendre qu’ils s’inclinent ; mais là, il ne s’agit pas de ça !)

     

    *Faisons fi des Yannick BERNARDEAU, Thomas LAURET, Ludovic PROUVOST, Sébastien GIGNOUX et autres  petits déchets du métier ; allons directement aux deux phénix qui au nom et sur ordre de leurs employeurs respectifs (JIR et Quotidien) ont, de concert, touché le fond du misérable, modèles de « servitude volontaire » de la presse locale… Ces deux petits « nazillons » décérébrés – mais très sûrs d’eux – ont su choisir leur « gamelle »…

    *Je les cite : Bruno GRAIGNIC du JIR et Pierre-Yves VERSINI du Quotidien.

     *Je relate, ci-après, les circonstances dans lesquelles ils sont entrés dans ma vie, en faisant preuve de leur talent et de leur sens de la déontologie : 

     

    En rappel : *il s’agit là – encore et toujours – des effets de la CONSTRUCTION  SANS PERMIS de CONSTRUIRE et de la FRAUDE FISCALE qui va avec ;

     

    *Mon rendez-vous, à ce propos, avec Gilbert ANNETTE, le 01 Avril 2009 et mon courrier du 15 Juin 2009 rapportant tous les points évoqués lors de cette rencontre et lui enjoignant d’agir. (Ce courrier a été publié le 28 Avril 2012 sur « Zinfos 974 » et se trouve dans les archives du journal.)

     

    *Comme je ne voyais rien venir, je décidai de renouveler mes interpellations – publiquement, cette fois – au Conseil municipal du 29 Juin 2009 ; occasion  d’autant plus propice que ce Conseil se flattait d’une grande première : la transmission des débats en direct, par internet…

     

    *Le JIR et le QUOTIDIEN persistant à maintenir l’Omerta sur les scandales Urbanistiques  municipaux, je décidai, non seulement de ne pas les « solliciter », mais de les tenir soigneusement dans l’ignorance de ce projet.

     

    *Ainsi, le soir du 29 Juin j’étais là, sagement assise dans mon coin favori. Rusé comme un vieux singe, Gilbert ANNETTE – encore « chaud » de nos récents contacts et alerté par ma présence – avait  cédé  la présidence à sa 1re adjointe, Monique ORPHÉ et s’était positionné dans mon dos ; avec sa milice à portée de main…

     

    *Dès que je me suis levée et ai ouvert la bouche, il a lancé sur moi quatre robustes policiers qui se sont mis en devoir de me neutraliser : deux hommes aux jambes et deux femmes aux bras (j’ai pu apprécier à quel point les femmes sont plus motivées que leurs collègues masculins, n’hésitant pas à employer les gestes « anti-forcenés » sur la grand’mère de 74 ans que j’étais alors…)

     

    *Comme de juste, je résistai : brutalement et douloureusement maîtrisée, j’ai dû user de ce qui me restait pour me défendre et faire cesser cette violence : j’ai mordu le bras de la plus efficace des deux policières (Tout en évitant – sciemment – d’enlever le morceau…) À quatre, ils ont réussi quand même à me traîner dehors et me jeter à terre, hurlante…jusqu’à être prise en charge par les pompiers et conduite aux urgences du C.H.D. où j’ai retrouvé ma « mordue ».

     

    *À noter que les trois guenons féministes composant le harem du mâle dominant ANNETTE (Monique ORPHÉ -1re adjointe, Ericka BAREIGTS-2e adjointe et Nalini  VÉLOPOULÉ)  sont restées de marbre

     

    *Un très grand moment de « communication » en forme d’original « Fait divers » ; sauf qu’il a failli être raté, Bruno GRAIGNIC du JIR et Pierre-Yves VERSINI du Quotidien, s’étant lassés du cirque, étaient partis prendre l’air… Fallait-il  pour autant priver leurs lecteurs de ce qu’ils avaient manqué ? Qu’à cela ne tienne ! Nos « encartés-peï » n’ont pas besoin de voir pour témoigner, dire et écrire…

     

    *Et voilà ce que ça a donné : (je retranscris à la virgule près leur prose de petits rats d’égouts.) : 

     

    • Pour le JIR du 30 Juin 2009 :
    • Titre « Les comptes ne font pas les bons amis »
    • Annexe de dernière heure : « Une expulsion en plein direct ». Signé B.G.

     

    « LES COMPTES NE FONT PAS LES BONS AMIS À SAINT-DENIS 

    Une expulsion en plein direct

    Alors que ça tourne (trois caméras, de la bande passante pour mille connexions en même temps…) et ça diffuse depuis environ deux heures sur le site de la Ville, Juliette Pavard, accompagnée de son fils, a voulu profiter de cette tribune pour crier son désespoir.

    Depuis des années, cette habitante des Hauts de Bellepierre est en contentieux avec la Ville. En cause, des faits qui remontent à 2005. Un de ses voisins démarre la construction d’une maison sans permis et, qui plus est, en rognant sur son terrain selon ses dires. Le permis aurait finalement été régularisé en 2006.

    Mais la bataille judiciaire, longue et pénible, n’est pas à son terme. René-Paul Victoria, maire de l’époque, son 2e adjoint, Dominique Fournel, et le service de l’urbanisme attaquent en diffamation et gagnent. Aujourd’hui, avec l’avènement du PS, elle espérait obtenir la démolition de la construction voisine après quatre ans de bataille. Mais, son intervention s’est soldée par une expulsion manu militari de la salle polyvalente. Le coup d’essai de la mairie, 5 000 euros annoncés, a donc essuyé les plâtres des aléas du direct. Mais la Ville veut généraliser les diffusions en live tout de même. »  B.G.

     

    • Pour le QUOTIDIEN du  01 Juillet 2009 :
    • Titre : « Débats sous haute surveillance »
    • Annexe de dernière heure : « Crise en plein conseil » - Non signé.

     

    « DÉBATS SOUS HAUTE SURVEILLANCE

    Crise en plein conseil

    Le conseil municipal était lundi soir pour la première fois diffusé sur internet (639 visites ont été comptées sur le site). L’occasion pour les élus sans doute plus encore que d’habitude de s’écouter parler et d’expliquer et réexpliquer le contenu de dossiers ou d’une politique qui n’échappe pas à leurs collègues mais peuvent peut être ne pas être connus de tous les internautes !

    C’est humain, c’est « la démocratie participative », comme s’en amuse Gilbert Annette, pas peu fier de présenter aux dionysiens en direct le travail réalisé.

    Mais cette web-TV a aussi été l’occasion pour une administrée bien connue des services, Juliette Caranta-Pavard, de s’emporter et d’apostropher d’abord les élus de l’opposition, René-Paul Victoria et Dominique Fournel en tête, puis ensuite l’ensemble des élus et l’administration municipale.

    Juliette Caranta-Pavard, 73 ans, est en conflit avec la mairie depuis 2006 pour une histoire de de construction d’un de ses voisins qu’elle estime sans permis. Elle a déjà fait une grève de la faim en 2008 et a porté l’affaire au tribunal, ayant elle-même été poursuivie pour diffamation.

    Elle est intervenue hier durant l’examen du compte administratif 2008 alors que le maire, comme le prévoit la loi, avait cédé la direction des débats à Monique Orphé.

    Juliette Caranta-Pavard, faute de dialogue possible, a été évacuée par la police municipale pour la sortir de la salle polyvalente, puis prise en charge par les pompiers à l’extérieur. » Article non signé. 

     

    *Pour savoir qui étaient les auteurs de ces deux torchons,  j’ai appelé  le JIR qui m’a  donné le nom de Bruno GRAIGNIC ; pour le Quotidien, j’ai dû attendre que Pierre-Yves VERSINI me confirme – grossièrement, haineusement – sa paternité.

     

    *J’ajoute encore, que ces deux-là n’ont pas vu intérêt à se rapprocher de moi pour parler de moi ; et en quels termes ! – de vraies petites pourritures…

     

    *Enfin, j’ai  adressé un « Droit de réponse » en courrier sécurisé, le 25 Septembre 2009, aux deux journaux ; lesquels se sont contentés de ne pas bouger… Ces deux « Droit de réponse » ont été joints à ma « Lettre Ouverte » du 04 Janvier 2010, interpellant les Directeurs de publication Jean-Baptiste MARIOTTI du JIR et Thierry BENBASSAT du QUOTIDIEN ; qui n’ont pas bougé…Cette « Lettre Ouverte », sous forme de tract recto-verso, a été largement et publiquement diffusée. Voilà ci-joint les 2 pages originales de ce tract :

     

     

     

     DROITS DE REPONSE AVORTES  

     Pour tous ceux qui auront pris connaissance de ces écrits, je suppose qu’il n’y a rien d’autre à ajouter…

     

    …ERREUR !, il y a quelque chose à ajouter au sujet d’un, que, sans mon Quotidien du matin, j’ai failli oublier :* Bruno GEOFFROY, Rédacteur en chef au Quotidien en 2007-2008, période la plus « sensible » de l’affaire du tueur GRONDIN, mon voisin fraudeur... C’était l’heure où pour étouffer ma voix, se mettait en place la plus incroyable opération de « Justice » répressive et volontairement persécutrice,  jamais encore engagée dans le minable  système mafieux de la Réunion.

     

    *Ce Bruno GEOFFROY que j’avais « sollicité », le 28 Août 2007, qui m’avait annoncé la visite d’un de ses journalistes « pour évaluation, ne voulant pas s’engager dans n’importe quoi » et qui s’est courageusement défilé ; ce, malgré mes fax de rappel des 12 Septembre et 25 Octobre 2007.

    En Novembre, j’apprenais par Damien VALETTE, journaliste au Quotidien, que je me  trouvais « dans une impasse » (Sic)…

    *L’ « impasse », c’était Bruno GEOFFROY, qui trop heureux de contribuer à la bonne santé de la « Mafia » réunionnaise avait choisi de me sacrifier ; grossièrement, sans état d’âme…

    *Bruno GEOFFROY, cette petite crotte méprisante et prétentieuse, qui s’insurge tout droit, quand on qualifie de « petit merdeux » ceux qui lui ressemblent !

    *Ce Bruno GEOFFROY, Rédacteur en chef au Courrier de l’Ouest,  que le Quotidien ressuscite pour moi – après 5 ans de sain oubli, en le citant dans ses colonnes comme « PAS CONTENT : « Je n’accepte pas qu’on puisse traiter un journaliste de petit merdeux » »(Le Quotidien du 05 Août 2013).

     

    **Mais, Bruno GEOFFROY, ils sont légion les « petits merdeux » dans votre corporation ; et je puis vous assurer  – sans conteste possible – que c’est exactement sous cet aspect que je vous ai perçu lors de nos « contacts » professionnels, en 2007 et en 2008…

    **Une dernière remarque : la défroque d’« indigné » ne sied pas à votre type de beauté, pour peu qu’on vous connaisse…

     ***

    La prochaine rubrique traitera du monde judiciaire ; où le mot « con » – familier à la corporation – trouvera sa juste place.

    St DENIS le 10 Août 2013

     

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  • Lors de sa création, en 1976, le Quotidien se voulait « un journal ouvert sur l’ensemble de la société réunionnaise et soucieux de participer à la vie et au développement de notre île » (sic).

    Cette profession de foi n’incluait pas le devoir d’information et la lutte contre la corruption, par l’écrit honnête…

     

    Comparé à « Var-Matin », le petit dernier de la presse écrite locale est un bijou ; l’image est plus que trompeuse : le Quotidien peut rivaliser avec « Var-Matin » -  et avec son concurrent, le JIR -  pour son entière loyauté aux ripoux du département et par son absolue discrétion sur les sujets sensibles-peï…

    Dans l’affaire qui m’occupe (La construction sans Permis de construire, la fraude fiscale qui va avec et l’incroyable discrimination administrative que cela représente.) le Quotidien a  adopté la même attitude que le JIR en matière d’Omerta ; mais avec, une plus grande hypocrisie, une malhonnêteté encore plus lourde, de la même nature que celle de « Freedom » ; allant jusqu’à s’« indigner » des « muselages » de presse  chez nos voisins  mauriciens et malgaches !!

     

    Je voudrais, à ce propos, vous donner un exemple, un seul :

    Dès le début de mon combat, nombre de « bonnes personnes » sont venues me dire que je n’avais pas la bonne façon d’interpeller mon monde. (Sous- entendu : « C’est pour ça que vous n’obtenez aucun résultat. ») Parmi elles, Bernard GROLLIER, correspondant local du « POINT ». Lequel GROLLIER me fait, un jour, une surprenante proposition : Il rédige à ma place – de façon bien comme il faut... – un Courrier des Lecteurs sur l’affaire GRONDIN/VICTORIA/ etc… et, il se fait fort de le voir publié…sous ma signature !! Ah !? Mais rien ne m’interdis d’avoir un « nègre », n’est-ce-pas ? Marché conclu ! Et, sous le titre : « Construction : La fraude et l’omerta » je propose ledit courrier (rédigé par Grollier) aux médias locaux et, ô miracle !, le voilà  publié par les deux journaux – JIR et QUOTIDIEN – le 29 Décembre 2008 ! – Après  3 ans de silence mafieux…

     

    Voilà ci-joint le texte – tel que rédigé par Bernard  GROLLIER – dont l’original a été transmis, par mes soins, le 27 Décembre 2008, à la presse locale :

        

    Construction : la fraude et l’omerta.

     

    Un silence assourdissant couvre un scandale permanent dans notre île : celui des « arrangements » qui caractérisent un grand nombre d’opérations de construction.

    Bien sûr, cette corruption rampante est plus difficile à dénoncer que les malversations à plusieurs centaines de millions d’euros qui font la une de nos journaux.  Les affaires dont je veux parler sont « municipales », elles  concernent essentiellement des particuliers, les sommes en jeu sont à leur échelle.

    Ce n’est pas une raison pour se taire !

    J’accepte d’autant moins cette omerta que j’en suis victime. Voici un bref rappel des faits :

    En décembre 2005, mon voisin le plus proche, dans le quartier de Bellepierre, démarre la construction d’un petit immeuble, sans permis de construire. Je n’ai pas de relations, ni bonnes ni mauvaises, avec cet individu, mais je viens alors de vivre une expérience  éprouvante avec le service de l’urbanisme de Saint-Denis, à l’occasion de la reconstruction à l’identique de ma propre maison. L’extrême rigueur dont a fait preuve ce service à mon égard me laisse penser qu’il ne saura tolérer une construction illégale. Las ! Malgré de multiples relances de ma part, la mairie n’intervient pas. En avril 2006, un article de presse relate l’affaire. Le service de l’urbanisme daigne alors venir constater les faits et quelques jours plus tard un arrêté municipal impose l’arrêt des travaux. Il apparaît que mon voisin avait déposé une demande de permis de construire en décembre 2005, et qu’il était tellement sûr de l’obtenir qu’il avait lancé les travaux sans attendre. En mai 2006,sa demande est rejetée , tant le projet est incohérent. Mais le 27 décembre 2006, un nouveau permis de construire est accordé, avalisant (de quel droit ?) les travaux déjà réalisés. Indignée, je saisis la Justice : mes requêtes sont rejetées. Révoltée, j’imprime des tracts, j’alerte diverses autorités, en vain. Et, d’accusatrice, je deviens accusée…  La mairie (René-Paul Victoria, son 2ème adjoint, le service de l’urbanisme) m’attaque en diffamation.

     

    Les détails de ce parcours judiciaire seraient trop long à raconter, mais sachez que pour avoir dénoncé un fait illégal, la « justice » a cru devoir me condamner à payer un total de  4 500 euros d’amendes. Sachez également que les magistrats de la place (ainsi que la plupart des détenteurs d’une parcelle de pouvoir dans cette île), se montrent particulièrement agacés par mon insistance à refuser l’inacceptable.

     

    Mon voisin a maintenant terminé sa construction. Et réclame le droit d’entrer chez moi pour crépir la façade hideuse qui se dresse désormais sur trois niveaux au ras de mon jardin ! Il va sans dire que je refuserai jusqu’au bout cette ultime humiliation et je continue à réclamer une expertise judiciaire  qui ne manquera pas de souligner les nombreuses irrégularités de cette opération immobilière.

     

    Je précise que je suis âgée de 72 ans. J’emploie toute mon énergie, depuis trois ans, à tenter de faire valoir le droit. J’ai pour l’instant échoué mais je refuse toute idée de résignation. Seule, j’ai le plus grand mal à me faire entendre. Sans doute nombre d’entre vous ont-ils été témoins ou victimes de faits similaires. Je vous invite à rompre le silence,  à témoigner, à alerter la presse.

     

    Peut-être, alors, la Justice fera-t-elle davantage son travail ?

     

    Juliette Pavard, Saint-Denis le 27 Décembre 2008

     

     DESTINATAIRES : Presse écrite : JIR, Quotidien, Visu, Témoignages, Agri-Mag, Le Mémento, l’Écho Austral, L’Économie de la Réunion, Réussir. Télévisions : RFO, Antenne Réunion. Radios : RFO, Freedom, Radio Festival, Radio Arc en Ciel, Exo-FM., Zinfos 974.                                               

     

    Sauf que la prose de Bernard GROLLIER – déjà bien mollassonne – a encore été édulcorée, en « missouk », par les deux titres afin de bien tromper les lecteurs, non informés de ces amputations… (je crois utile d’ajouter que ceux qui me connaissent n’ont pas été dupes de cette supercherie : « ce n’est pas toi qui a écrit ça ! »…)

     

    *POUR LE JIR : le 1er paragraphe a disparu, en toute discrétion… (J’ai oublié qui était le Rédacteur en chef de l’époque…)

     

    *POUR LE QUOTIDIEN : le mot « CONSTRUCTION » du titre a été oublié – tiens ! Pourquoi ??

    Mais, de prime abord, le texte semble entier ; de prime abord ! En réalité, le texte a été complètement mité par quinze traitreuses soustractions ; quinze !,  allant d’un mot à des phrases entières, soigneusement choisies ; sans l’obligatoire signe conventionnel – (…) – le  signalant aux lecteurs et… au rédacteur…

     

    Cela se passait sous l’ère de Pascal BAUDOIN, Rédacteur en chef… lequel sévit actuellement dans la Meuse ; les meusiens ne semblent pas très rassurés quant à son honnêteté…

     

    Après cela, je vous propose deux illustrations des mœurs de ces défenseurs de la « ligne éditoriale » spécifique au pays de Réunion :  

     

    *POUR Pascal BAUDOIN, Rédacteur en chef du Quotidien : j’exhume, ci-après, l’originale « réponse » que l’individu a osé faire à mes interpellations. (Courrier reçu de P. Baudoin, en date du 09 Octobre 2008)

     

                                                 lettre baudion

     

     NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

     

    *Et ma réplique du 28 Octobre 2008…

     

                                               replique

     

     NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

     

    *POUR Thierry DURIGNEUX, Rédacteur en chef du quotidien :

     Interpellé à son tour sur son devoir d’information, Monsieur DURIGNEUX manifeste la même grossière lâcheté que son prédécesseur. Mais le vent a tourné et l’intimidation semble avoir changé de camp : j’ai eu le délicat plaisir de bouleverser ce personnage – habitué, comme tous les autres, au confort de la servitude-peï – en le ridiculisant. (Courrier des lecteurs : « Juliette CARANTA-PAVARD à Thierry DURIGNEUX, Rédacteur en chef du Quotidien. »- ZINFOS 974 du 20 Mars 2012.)

                                                                                                                                                        

     

     

    *Je présente ci-joint l’objet du délit : soit, en premier l’original tel qu’il a été publié au Courrier des lecteurs de Zinfos, le 20 Mars 2012 à 14h39 ;  J’ai dû faire un petit bricolage,  signalé par les caractères en rouge : «  TOUJOURS LE PANTALON SUR LES SOULIERS, THIERRY…Ah ! » ; Le deuxième exemplaire est celui qui a été amputé de la fameuse phrase du « pantalon », toujours présent aux archives de ZINFOS 974. 

                         pantalon

     

    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre 

     

     

     

    *Suivent les commentaires que j’ai ajoutés à mon courrier du 20 Mars 2012 :                        

     Celui du 07 Avril 2012 à 11h10 : Thierry, vous venez de me raccrocher brutalement au nez… (Je me suis pourtant présentée poliment à vous : je voulais juste connaître le nom d’un journaliste qui, contrairement à moi, n’ose pas signer ses écrits en clair.)

    Je vois que, comme à l’accoutumée, vous n’appréciez pas mes écrits ; surtout les centaines qui ont été faxés au Quotidien, depuis le début de l’affaire Hilaire, David et Karine G. / Victoria / Annette, en 2007 ; au point de déléguer le journaleux-syndicaliste  Yannick BERNARDEAU à venir – chez moi ! – me conseiller de cesser ces envois, étant donné que vous les mettiez systématiquement à la poubelle…

    Comment se fait-il que vous soyez si sensible, alors que je ne fais que parler de votre pantalon, moi ??

     

    *Juste après ce « contact » avec DURIGNEUX, je découvre que le « Toujours le pantalon sur les souliers, Thierry… Ah ! »  a disparu de mon courrier du 20 Mars 2012…

     

    °Celui du 07 Avril 2012 à 13h55 : Thierry, je viens de découvrir que  Zinfos a supprimé la dernière phrase relative à votre pantalon ! Votre fureur de ce matin m’a signalé que j’avais visé juste ; et vous n’avez pas encore tout vu… Une Petite Chose comme vous est capable de les avoir menacés ; je me demande bien de quoi ! Quant à l’auteure – responsable de cette « liberté d’expression » si chère au Quotidien, moi en l’occurrence – elle vous a classé parmi les personnes dont il convient de s’ «occuper » ; en troisième priorité.

    EN ESPÉRANT UNE TRÈS PROCHAINE « LIBERTÉ DE LA PRESSE », ICI, À LA RÉUNION…

     

    En conclusion, Thierry n’a pas supporté du tout que l’on rit à ses dépens : tout humour  écarté, il aurait menacé Zinfos d’un procès ; IMAGINEZ L’AUDIENCE !!

     

    Ce qui n’empêche pas que cet olibrius publie, dans le Courrier des Lecteurs du Quotidien du 05 Mars dernier, sous le titre : « LA PARANO DES PSEUDOS » et sous sa signature, cette phrase osée : « Nos pages « Courrier des lecteurs » accueillent les débats, tous les débats, dès lors qu’ils ne contreviennent pas à la loi ou à la morale. »

     

    Vous l’aurez compris : dans la petite tête de Thierry, une investigation suivie d’un article de fond – ou même, simplement, un Courrier des Lecteurs différant de la bouillie pour les chats quotidiennement publiée – portant sur la CONSTRUCTION ILLÉGALE et LA FRAUDE FISCALE QUI EN RÉSULTE, ICI, À LA RÉUNION, contrevient à la LOI et à la MORALE…VOILÀ !

     

    La suite de cette rubrique sera consacrée à la base de la corporation : les « Journaleux-peï », dignement représentés par Messieurs Bruno GRAIGNIC du JIR et Pierre-Yves VERSINI du Quotidien. 

     St-Denis, le 14 juillet 2013.

     

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    Le JIR et son « Hyper-Président », Jacques TILLIER

    Dès mon arrivée à la Réunion, j’ai lu le JIR ; fidèlement, jusqu’en 2008. J’ai donc lu du TILLIER dès sa prise de poste, en 90. Comme tant d’autres, je me suis régalée des éditos de Jacques TILLIER – qui faisaient, chaque samedi, monter d’un tiers la vente du journal ! Ces éditos où Jacques TILLIER vendait férocement quelques « ripoux » de notre société-peï ; mais pas n’importe qui, ça se saura

    J’étais si fière de son « courage » que, lorsqu’il a été en difficulté de trésorerie à cause de ses condamnations pour diffamation, je lui ai réglé 2 ans d’abonnement d’avance…

     

    Puis, il m’a fallu – en direct – découvrir que Jacques TILLIER TRIAIT SOIGNEUSEMENT LES ORDURES QU’IL DÉNONÇAIT DE CELLES QU’IL COUVRAIT DE SON SILENCE ; dont les protagonistes de l’affaire de mon voisin, le tueur de femme Hilaire GRONDIN et ses deux enfants fraudeurs, producteurs et utilisateurs de faux ; le Député-Maire René-Paul VICTORIA (alias « la Reine-Maire » pour TILLIER !!!) et ses sbires, Dominique FOURNEL et Brigitte LAMY ; le Président du Tribunal administratif, Francis CARBONNEL ; le Préfet Pierre-Henri MACCIONI ; le Procureur de la République, François MUGUET ; le Procureur général, Raymond DOUMAS ; et autres « raclures » de notre Peï…

     

    De mon premier Fax adressé à son adjoint, Jacky FERRÈRE le 24 Avril 2006jusqu ‘au 12 Septembre 2007, 11 Fax d’alerte ont été Faxés nommément à Jacques TILLIER et 4 autres à Jacky FERRÈRE ; dans le plus absolu des mépris : Le SILENCE !

     

    Cette basse crapule de TILLIER a TOUT « supporté » :

    *Les Délits ouvertement commis par le clan GRONDIN (mon voisin le tueur…) et toutes les complicités de ses honorables soutiens, déjà cités.

    *Les ignobles persécutions directement ou indirectement exercées sur ma personne par les Maires de St DENIS VICTORIA et ANNETTE, leur milice, la Police d’État, la Magistrature… etc… ; au su de tous… afin de me faire taire !

     

    À partir de sa « liberté de ne pas dire »,Jacques TILLIER, cette POURRITURE D’HOMME, prostituée au profit et au plaisir de plaire, a TOUT supporté de ce qui m’était appliqué, TOUT couvert de son silence complice, sans aucun état d’âme ; jamais aucun de ses  journalistes dans les prétoires, les jours de mes indignes comparutions ! (Quinze, en tout !) Une « affaire » unique dans les annales judiciaires de tout le territoire français, avec des « journalistes » regardant ailleurs…

    Nous étions loin de la pléthore de « papiers » sortis lors de l’affaire Valérie BÈGUE qui, grâce à lui, TILLIER, a failli faire couler le sang à la Réunion !! N’oubliez-pas, des dizaines de titres dans le JIR pour défendre les « droits » à sa couronne de la fameuse « Miss », pour le moins douteuse ; avec l’Évêque AUBRY en pleine page couleur de « Une » du JIR du 23 Décembre 2007, appelant – via la volonté de jacques TILLIER – à voler au secours de la Miss !!! Prêts, les uns et les autres, à provoquer une révolution pour le maintien forcé de la fameuse couronne… du GRAND journalisme !

    Ce, juste avant que le GRAND TILLIER nous quitte, en avril 2008, laissant éplorées toutes les «Mmes AUDE » du département…

     

    Consolons-nous, le Grand TILLIER revient ; pour VENDRE son livre, « Une Plume Libre ». Oui ? Une plume libre de se prostituer quand « Gamelle » oblige. (Gamelle c’est du TILLIER ; pour les autres…)

     

    POUR CONCLURE, QUE DIRE DE CE VIEUX VOYOU QUI M’A VOLONTAIREMENT « NEUTRALISÉE «, POUR LA PLUS GRANDE RECONNAISSANCE DE SES MAÎTRES ?

    POUR L’HEURE RIEN DE PLUS QUE CE QUE JE VIENS DE DIRE ; POUR L’HEURE…

                                                                                                      St DENIS le 27.02.2013

    ***

     

    …ET ÇA N’A PAS TRAÎNÉ : TILLIER arrive le 03 Mars et il offre à ses « fans » une séance de dédicaces le Samedi 09 suivant, à la Librairie Gérard ! Ayant une occasion unique de me trouver face à cette fripouille, pour la première fois de ma vie, je ne vais pas la manquer !! J’ai donc décidé d’aller lui faire visite et – pourquoi pas ? – de lui donner, encore une fois, une dernière fois, quelques-uns de mes sous. À la loyale, j’ai eu la délicatesse de m’annoncer. (Commentaire N° 11 du 27.02.2013 – Blog de Pierrot DUPUY : «…une plume libre… ») 

     

                               
    Les MÉDIAS réunionnais :

     

     J’ai eu la surprise de découvrir un Jacques TILLIER tel que je ne l’imaginais pas : un vieux pépère amène et gentillet… pas le profil du dur qui avait voulu ma peau, pas le profil d’un qui avait survécu aux soins de MESRINE, ce MESRINE qui, contre toute attente, a tant fait pour l’image de Tillier

     

    À partir des informations qui me sont parvenues, j’ai cru que notre Jacques avait été révolvérisé par MESRINE ; ce qui, entre truands, est traitement d’Honneur.

     

    Pas du tout ! MESRINE a dénudé et flanqué une très, très grosse rouste à TILLIER, avant d’user de son arme ; ce qui démontre clairement une volonté de sa part d’abaisser, d’humilier au-delà du possible, ce grand malpropre de TILLIER… 

     

    Donc, comme annoncé, j’y vais ; et, tout comme MESRINE, je me paye le luxe de traiter comme elle le mérite cette ordure de TILLIER. J’en suis pleinement satisfaite ; lui, pas !! Au lui de s’écraser, il en rajoute ; selon lui tout a été parfait lors de sa séance de dédicaces : « À l’exception d’une gazée agitée de tremblement nerveux qui me reproche de ne pas avoir évoqué le cas de son mari, tout s’est bien passé » affirme-t-il dans son édito «  Le coup de pied à l’âne », paragraphe « samedi », du 18 Mars 2013. Ah ? Ah !!

     

    La « gazée » c’est moi et je n’ai pas de mari… Tillier, pour escamoter les raisons de cet énorme camouflet public  qu’il vient d’essuyer, n’hésite pas à dire n’importe quoi, à mentir. Bof, ça n’étonne personne, je pense… 

     

    De là à le tenir quitte il y a un pas… que je franchis en vous proposant la suite sous la forme d’un texte de dernière heure, « C’est la fête à TILLIER… » :

     

     

     

    *DERNIÈRE HEURE ! : C’est la fête à TILLIER…

     

    (Librairie Gérard, mon « Point Rencontre » avec un 2ème de mes « NAZIS » après Francis CARBONNEL. Ce Samedi 09.03.2013 – Séance de dédicaces de TILLIER.)

     

    Comme je l’annonçais dans ZINFOS du 26 Février dernier, j’étais là ! – TILLIER aussi, à son poste de dédicace. Dès mon arrivée, il m’a vue et …reconnue ! Il ressemblait à une poule surprise par un renard…tétanisé !

     

    J’ai salué quelques connaissances ; j’ai acheté mon exemplaire de TILLIER (25€ !) et pris sagement ma place dans la queue. TILLIER me regardait à la dérobée, mais ma bonne tenue l’a sans doute rassuré. Tous ceux qui n’ont jamais pratiqué l’agression, en forme de scandale public, froidement préméditée, ne savent pas le grand désordre que les torrents d’adrénaline sont capables de générer à l’approche de l’ «exécution » : l’émotion m’a fait, tour à tour, perdre mon parapluie préféré et mon exemplaire à 25€ de TILLIER … un vrai gag !  J’allais et je venais dans la librairie, égarée moi aussi, distrayant les amateurs de dédicaces qui patientaient

     

    Lorsque mon tour est arrivé, TILLIER était calme, rassuré, prêt à m’accompagner dans la petite comédie de gens comme-il-faut ; il ne m’a cependant pas tendu la main. Il m’a demandé mon nom ( !), l’a noté avec sa dédicace sur la page de titre que je lui présentais d’autorité (Je ne voulais pas qu’il voie l’intérieur des pages saccagées au marqueur noir.) 

     

    J’ai récupéré mon exemplaire TILLIER à 25€ et, posément, j’ai arraché et gardé la page de dédicace ; puis, j’ai refermé le livre et le lui ai jeté dessus en l’insultant haut et fort. Il était médusé avec l’air d’être une poule promise au renard…

     

    Ceci fait, je me suis installée sur le trottoir, juste à l’entrée, avec vue sur Jacques TILLIER et j’ai distribué, de la main à la main, le tract d’adresse de mon blog.

     

    Tout cela s’est déroulé gentiment, sans mouvement de foule. Les « nervis » préposés à la protection rapprochée de TILLIER n’ont pas tiqué. Sauf Jean-Claude VALLÉE qui n’a pas pu s’empêcher de me donner une leçon de conduite : « C’est pas sympa ! » m’a-t-il apostrophée, indigné ; ajoutant que ce genre de chose devait se faire en aparté…            

     

    J’ai été vengée par « Mme AUDE » : même si elle m’a volé la vedette en faisant la visite la plus remarquable du jour, je lui suis reconnaissante d’avoir répandu son enveloppante affection sur TILLIER et quelques autres, mais surtout sur notre Jean-Claude VALLÉE, tout rose de plaisir ! Mon stock de tracts épuisé, j’ai levé le siège à 18h00. Par la suite j’ai remarqué que pas un seul Média a rapporté cet original « Fait Divers »…

     

     

    …et je me suis trompée : ZINFOS a ouvert ses colonnes  à cette rigoureuse information  rapportée par Jacques TILLIER, soi-même, dans son édito « Le coup de pied de l’âne. » ZINFOS du 18 Mars 2013 (Paragraphe « Samedi »)

     

    *Voici le « Rapport TILLIER » sur l’évènement relaté ci-dessus : 

    « À l’exception d’une gazée agitée de tremblements nerveux qui me reproche de ne pas avoir évoqué le cas de son mari, tout s’est bien passé. » (Sic – TILLIER) Du TILLIER Grand Cru… 

     

    N.B. :« LA FÊTE À TILLIER » ci- dessus rapportée, était destinée à mon blog ; seulement à mon blog. Après le « Rapport TILLIER » je l’ai soumise à « ZINFOS 974 » en guise de rectificatif et de réplique ; malgré ma lourde insistance, Pierrot DUPUY a refusé de le publier ; « Fidèle en amitié » (sic), Pierrot veut protéger le mensonge de TILLIER et  TILLIER avec… Alors j’ai déjà envoyé ce texte à l’« UNION » de REIMS… et je me réserve la possibilité de le diffuser largement à qui bon me semble. 

     

    Pour conclure : mon « nazi » TILLIER a été « servi » ; je me tiens prête à aller plus loin s’il s’avise encore à me chercher noise. Pour matérialiser ma visite de dédicace du 09 mars dernier, je présente ci-jointe, la copie de celle qu’il m’a dédiée : « Bien amicalement »… !!!

    *DERNIÈRE HEURE ! : C’est la fête à TILLIER…

                                            

     

    NB : pour voir le détail cliquez sur l'image ci-contre

     

     

     

     *Le prochain chapitre traitera du rôle joué  par les deux Rédacteurs en Chef du Quotidien, Pascal BAUDOIN et Thierry DURIGNEUX, en faveur de la corruption-peï, sous le titre : « Le Quotidien et son crédo »

     Saint Denis le 23 Juin 2013.

     

     

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  • La Réunion est un village. Un village où le moindre évènement peut prendre des proportions gigantesques pour peu qu’il soit traité par la presse locale. Un village où presque tout se sait (ou se devine…) mais où « tout » ne se dit pas. Selon le leitmotiv vieux de quelques années de LA Radio FREE-DOM (Radio dite de « la Liberté »…) : « On peut parler de tout mais pas de n’importe quoi. » Le « n’importe quoi » portant sur les sujets strictement tabous, tel celui qui me mobilise : les gros désordres, urbanistiques et annexés, de la construction sans permis de construire, spécifiques à la Réunion, instaurés par la collusion de tous les pouvoirs, sujet brûlant s’il en est…

    Un village, où le classique tam-tam a du mal à rivaliser avec la machine médiatique du pays, faiseuse de rois et escamoteuse de gabegies.

     

    Outre LA Radio FREE-DOM, tous les médias réunionnais, ont parfaitement intégré le principe de l’Omerta ; se gardant bien de libérer les vérités pas bonnes à dire, susceptibles de fâcher certains (un magistrat, par exemple) ou d’en contrarier d’autres (par exemple les élus-peï, grands dispensateurs de « cadeaux » à leurs parents et alliés…)

    Les médias locaux – dans leur ensemble – s’empressent de servir au public réunionnais ce qui lui plait, apte à soulever l’enthousiasme des foules – telle l’extravagante affaire de la couronne de la « Miss » Valérie BÈGUE…Mais aussi les innombrables « Faits Divers » alimentant généreusement l’«émotionnel ». En revanche, l’incurie et la gabegie de nos élus sont traitées de façon plus discrète : quelques- uns des nombreux  scandales mis à jour, créent le « buzz » un moment puis s’éteignent ; jusqu’au prochain…

     

    Ce que le public réunionnais aurait intérêt à connaître, et serait en droit de savoir, est maintenu dans la plus sûre des oubliettes : l’Omerta…

     

    LE PARC MÉDIATIQUE DÉPARTEMENTAL de la Réunion comprend 3 chaînes de T.V. locales, plusieurs dizaines de RADIOS – dont la reine incontestée est LA Radio Free-Dom et sa vocation auto- décrétée de « Radio de la Liberté ». Bien assise sur sa base « multiservices » cette radio est – sournoisement – essentiellement manipulatrice et réductrice de vraie liberté. Quelques  journaux en ligne, aussi, dont « ZINFOS 974 » qui est le SEUL média à m’avoir donné la parole, ICI, à la Réunion.

     

    Enfin, LA PRESSE ÉCRITE, celle qui représente pour moi un intérêt particulier parce qu’elle est celle « qui reste » et qui permet ainsi de ne pas perdre de vue ce qui a été publié ou volontairement « oublié ».

    Par exemple le sujet de la construction illégale à la Réunion…                         

     

    Amie de l’écrit, ignorant, à l’époque, la pratique d’un ordinateur, ce sont les deux principaux journaux – le JIR et le QUOTIDIEN – qui, depuis 2006 et des années durant, ont été « sollicités », harcelés, puis systématiquement informés du déroulement de l’affaire Hilaire GRONDIN/René-Paul VICTORIA/Francis CARBONNEL/Gilbert ANNETTE/Pierre-Henri MACCIONI/François MUGUET/Raymond DOUMAS/ etc…, etc…

     

                                                 ***

     

    *UN JOURNAL, UN QUOTIDIEN, c'est-à-dire ?

    ** C’est, d’abord une entreprise commerciale, avec un patron et des intérêts à servir. (Les deux journaux en question ont, l’un et l’autre, été contraints,  ces dernières années, à une importante baisse de leur tirage ; l’idée d’une fusion des deux titres a même été envisagée ; ce qui révèle le côté fragile de ces entreprises ; et ce qu’elles peuvent choisir de faire pour rester financièrement « à flot ».)

    **Un journal est sous la responsabilité d’un Directeur de la Publication, chargé de veiller à ce que son journal ne commette pas le délit de diffamation ; mais aussi de prendre de prudentes distances avec un éventuel « diffamateur » ; moi, en cette occurrence…

    **Reste que cette entreprise est majoritairement composée de journalistes dont un Rédacteur en Chef, animateur de l’équipe et gendarme patenté du respect de la « ligne éditoriale » du journal.

    **Reste aussi que le métier de journaliste est « soumis » à des règles déontologiques, faites de droits et de devoirs, (V. Charte de MUNICH) débouchant sur une soi-disant « Liberté de la Presse » ; qui ne concordent pas forcément avec le mode de gestion d’une entreprise.

    **Et c’est là que l’on découvre qu’éthique et profit ne font décidément pas bon ménage !

                                       

    À NOTER : Dans un premier volet je souhaite mettre en évidence le rôle des responsables de la publication, ainsi que celui des Rédacteurs en Chef, dans le traitement de l’affaire de la construction illégale à la Réunion et – bien entendu – le « traitement » qui m’a été réservé pour en être la plus redoutable des « lanceuses d’alerte »…

                     Suivront le rôle et le comportement des journalistes de base s’étant « approchés » de moi dans ladite « affaire »

    St DENIS le 31.01.2013.

     

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  • (Librairie Gérard, mon « Point Rencontre » avec un 2ème de mes « NAZIS » après Francis CARBONNEL. Ce Samedi 09.03.2013 – Séance de dédicaces de TILLIER.)

    Comme je l’annonçais dans ZINFOS du 26 Février dernier, j’étais là ! – TILLIER aussi, à son poste de dédicace. Dès mon arrivée, il m’a vue et …reconnue ! Il ressemblait à une poule surprise par un renard…tétanisé !

    J’ai salué quelques connaissances ; j’ai acheté mon exemplaire de TILLIER (25€ !) et pris sagement ma place dans la queue. TILLIER me regardait à la dérobée, mais ma bonne tenue l’a sans doute rassuré. Tous ceux qui n’ont jamais pratiqué l’agression, en forme de scandale public, froidement préméditée, ne savent pas le grand désordre que les torrents d’adrénaline sont capables de générer à l’approche de l’ «exécution » : l’émotion m’a fait, tour à tour, perdre mon parapluie préféré et mon exemplaire à 25€ de TILLIER … un vrai gag !  J’allais et je venais dans la librairie, égarée moi aussi, distrayant les amateurs de dédicaces qui patientaient

    Lorsque mon tour est arrivé, TILLIER était calme, rassuré, prêt à m’accompagner dans la petite comédie de gens comme-il-faut ; il ne m’a cependant pas tendu la main. Il m’a demandé mon nom ( !), l’a noté avec sa dédicace sur la page de titre que je lui présentais d’autorité (Je ne voulais pas qu’il voie l’intérieur des pages saccagées au marqueur noir.)

     

    J’ai récupéré mon exemplaire TILLIER à 25€ et, posément, j’ai arraché et gardé la page de dédicace ; puis, j’ai refermé le livre et le lui ai jeté dessus en l’insultant haut et fort. Il était médusé avec l’air d’être une poule promise au renard…

    Ceci fait, je me suis installée sur le trottoir, juste à l’entrée, avec vue sur Jacques TILLIER et j’ai distribué, de la main à la main, le tract d’adresse de mon blog.

    Tout cela s’est déroulé gentiment, sans mouvement de foule. Les « nervis » préposés à la protection rapprochée de TILLIER n’ont pas tiqué. Sauf Jean-Claude VALLÉE qui n’a pas pu s’empêcher de me donner une leçon de conduite : « C’est pas sympa ! » m’a-t-il apostrophée, indigné ; ajoutant que ce genre de chose devait se faire en aparté…            

    J’ai été vengée par « Mme AUDE » : même si elle m’a volé la vedette en faisant la visite la plus remarquable du jour, je lui suis reconnaissante d’avoir répandu son enveloppante affection sur TILLIER et quelques autres, mais surtout sur notre Jean-Claude VALLÉE, tout rose de plaisir ! Mon stock de tracts épuisé, j’ai levé le siège à 18h00. Par la suite j’ai remarqué que pas un seul Média a rapporté cet original « Fait Divers »…

     

    …et je me suis trompée : ZINFOS a ouvert ses colonnes  à cette rigoureuse information  rapportée par Jacques TILLIER, soi-même, dans son édito « Le coup de pied de l’âne. » ZINFOS du 18 Mars 2013 (Paragraphe « Samedi »)

    *Voici le « Rapport TILLIER » sur l’évènement relaté ci-dessus :

     

    « À l’exception d’une gazée agitée de tremblements nerveux qui me reproche de ne pas avoir évoqué le cas de son mari, tout s’est bien passé. » (Sic – TILLIER) Du TILLIER Grand Cru…

     

    N.B. :« LA FÊTE À TILLIER » ci- dessus rapportée, était destinée à mon blog ; seulement à mon blog. Après le « Rapport TILLIER » je l’ai soumise à « ZINFOS 974 » en guise de rectificatif et de réplique ; malgré ma lourde insistance, Pierrot DUPUY a refusé de le publier ; « Fidèle en amitié » (sic), Pierrot veut protéger le mensonge de TILLIER et  TILLIER avec… Alors j’ai déjà envoyé ce texte à l’« UNION » de REIMS… et je me réserve la possibilité de le diffuser largement à qui bon me semble.

     

    Pour conclure : mon « nazi » TILLIER a été « servi » ; je me tiens prête à aller plus loin s’il s’avise encore à me chercher noise. Pour matérialiser ma visite de dédicace du 09 mars dernier, je présente ci-après la copie de celle qu’il m’a dédiée : « Bien amicalement »… !!! 

                                         *DERNIÈRE HEURE ! : C’est la fête à TILLIER…   

                                           

    *Le prochain chapitre traitera du rôle joué  par les deux Rédacteurs en Chef du Quotidien, Pascal BAUDOIN et Thierry DURIGNEUX, en faveur de la corruption-peï, sous le titre : « Le Quotidien et son crédo ». 

     

                                                                               Saint Denis le 23 Juin 2013 

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  • La Réunion est un village. Un village où le moindre évènement peut prendre des proportions gigantesques pour peu qu’il soit traité par la presse locale. Un village où tout se sait (ou se devine…) mais où « tout » ne se dit pas. Selon le leitmotiv, vieux de quelques années, de La Radio Freedom : « On peut parler de tout mais pas de n’importe quoi ». Le « n’importe quoi » portant sur les sujets strictement tabous, tel celui qui me mobilise : les gros désordres urbanistiques, administratifs, fiscaux et autres générés par la construction sans permis de construire – spécialité réunionnaise – instaurés par la collusion entre tous les pouvoirs locaux, sujet brûlant s’il en est

    Un village où le classique tam-tam a du mal à rivaliser avec la machine médiatique du pays, faiseuse de « rois » et escamoteuse de gabegies.

     

    Outre LA Radio Freedom, tous les médias réunionnais ont parfaitement intégré le principe de l’Omerta ; se gardant bien de libérer les vérités pas bonnes à dire, susceptibles de fâcher certains (un magistrat, par exemple) et d’en contrarier d’autres : les Élus-Peï, grands dispensateurs de « cadeaux à leurs parents, amis et obligés…

     

    Les Médias-Peï – dans leur ensemble – s’empressent de servir au public réunionnais ce qui lui plait, apte à soulever l’enthousiasme des foules – telle l’extravagante affaire de la couronne de la « MISS » Valérie BÈGUE… Mais aussi les innombrables « Faits Divers » alimentant généreusement l’émotionnel.

    En revanche, l’incurie, la gabegie et l’impéritie de nos élus sont traités de façon plus discrète : quelques-uns de leurs nombreux scandales mis à jour créent le « buzz » un instant puis s’éteignent ; jusqu’au prochain…

     

    Ce que le public réunionnais aurait intérêt à connaître – et serait en droit de savoir – est maintenu dans la plus sûre des oubliettes : l’Omerta !

    ***

    Le PARC MÉDIATIQUE du Département comprend 3 chaînes de T.V. locales, plusieurs dizaines de radios- dont la reine incontestée est La Radio Freedom et sa vocation auto-décrétée de « Radio de la Liberté ». Bien assise sur sa base « multiservices »ce média est – sournoisement – essentiellement, manipulatrice  et réductrice de vraie Liberté.

    Quelques journaux en ligne, également, dont ZINFOS 974 qui est le seul Média à m’avoir donné la parole, ICI, à la Réunion…

    Enfin, la Presse écrite, celle qui représente pour moi un intérêt particulier parce qu’elle est celle « qui reste » et qui permet ainsi de ne pas perdre de vue ce qui a été publié ou volontairement « oublié ».

    Par exemple le sujet de la construction illégale à la Réunion

    ***

    Amie de l’écrit, ignorant, à l’époque, la pratique d’un ordinateur, ce sont les deux principaux journaux – LE JIR et LE QUOTIDIEN – qui, depuis 2006 et des années durant, ont été « sollicités », harcelés puis systématiquement informés du déroulement de l’affaire GRONDIN/VICTORIA/CARBONNEL/ANNETTE/MACCIONI/DOUMAS,… 

    ***

    *UN JOURNAL, UN QUOTIDIEN, c’est-à-dire ?

    **Un journal c’est d’abord une entreprise commerciale avec un patron et des intérêts à servir. (Les deux journaux en question ont, l’un et l’autre, été contraints, ces dernières années, à une importante baisse de leurs tirages ; l’idée d’une fusion des deux titres a même été envisagée ; ce qui révèle le côté fragile de ces entreprises ; et ce qu’elles peuvent choisir de faire – même de plus indigne – pour rester financièrement «  à flot »…)

    ** Un journal est sous la responsabilité d’un Directeur de la Publication, chargé entre autre de veiller à ce que son journal ne commette pas le délit de diffamation ; mais aussi de prendre de prudentes distances avec un éventuel « diffamateur » : moi, en cette occurrence…

    **Reste que cette entreprise est majoritairement composée de journalistes, dont un Rédacteur en chef, animateur de l’équipe et gendarme patenté du respect de la « ligne éditoriale » du journal.

    **Reste aussi que le métier de journaliste est « soumis » à des règles déontologiques faites de Droits et de Devoirs,(Voir Charte de Munich) débouchant sur une soi-disant « Liberté de la Presse ».Le tout ne concordant pas forcément avec le mode de « gestion » de l’entreprise.

     

    **Et c’est là que l’on découvre qu’éthique et profit ne font décidément pas bon ménage…

     

    À noter : À partir de cette rubrique, Je souhaite mettre en évidence le rôle des responsables de la publication ainsi que celui des Rédacteurs en chef dans le traitement de l’affaire de la construction illégale à la Réunion et – bien entendu – le « traitement » qui m’a été réservé pour en être la plus redoutable des « Lanceuses d’Alertes »... 

     

    ***

    N°1 – Le JIR et son « Hyper-Président », Jacques TILLIER

     

    Dès mon arrivée à la Réunion, j’ai lu le JIR ; fidèlement, jusqu’en 2008. J’ai donc lu du TILLIER dès sa prise de poste, en 90. Comme tant d’autres, je me suis régalée des éditos de Jacques TILLIER – qui faisaient, chaque samedi, monter d’un tiers la vente du journal ! Ces éditos où Jacques TILLIER vendait férocement quelques « ripoux » de notre société-peï ; mais pas n’importe qui, ça se saura…

    J’étais si fière de son « courage » que, lorsqu’il a été en difficulté de trésorerie à cause de ses condamnations pour diffamation, je lui ai réglé 2 ans d’abonnement d’avance…

     

    Puis, il m’a fallu – en direct – découvrir que Jacques TILLIER TRIAIT SOIGNEUSEMENT LES ORDURES QU’IL DÉNONÇAIT DE CELLES QU’IL COUVRAIT DE SON SILENCE ; dont les protagonistes de l’affaire de mon voisin, le tueur de femme Hilaire GRONDIN et ses deux enfants fraudeurs, producteurs et utilisateurs de faux ; le Député-Maire René-Paul VICTORIA (alias « la Reine-Maire » pour TILLIER !!!) et ses sbires, Dominique FOURNEL et Brigitte LAMY ; le Président du Tribunal administratif, Francis CARBONNEL ; le Préfet Pierre-Henri MACCIONI ; le Procureur de la République, François MUGUET ; le Procureur général, Raymond DOUMAS ; et autres « raclures » de notre Peï…

     

    De mon premier Fax adressé à son adjoint, Jacky FERRÈRE le 24 Avril 2006 jusqu’ au 12 Septembre 2007, 11 Fax d’alerte ont été Faxés nommément à Jacques TILLIER et 4 autres à Jacky FERRÈRE ; dans le plus absolu des mépris : Le SILENCE !

     

    Cette basse crapule de TILLIER a TOUT « supporté » :

    *Les Délits ouvertement commis par le clan GRONDIN (mon voisin le tueur…) et toutes les complicités de ses honorables soutiens, déjà cités.

    *Les ignobles persécutions directement ou indirectement exercées sur ma personne par les Maires de St DENIS VICTORIA et ANNETTE, leur milice, la Police d’État, la Magistrature… etc… ; au su de tous… afin de me faire taire !

     

    À partir de sa « liberté de ne pas dire »,Jacques TILLIER, cette POURRITURE D’HOMME, prostituée au profit et au plaisir de plaire, a TOUT supporté de ce qui m’était appliqué, TOUT couvert de son silence complice, sans aucun état d’âme ; jamais aucun de ses  journalistes dans les prétoires, les jours de mes indignes comparutions ! (Quinze, en tout !) Une « affaire » unique dans les annales judiciaires de tout le territoire français, avec des « journalistes » regardant ailleurs…

    Nous étions loin de la pléthore de « papiers » sortis lors de l’affaire Valérie BÈGUE qui, grâce à lui, TILLIER, a failli faire couler le sang à la Réunion !! N’oubliez-pas, des dizaines de titres dans le JIR pour défendre les « droits » à sa couronne de la fameuse « Miss », pour le moins douteuse ; avec l’Évêque AUBRY en pleine page couleur de « Une » du JIR du 23 Décembre 2007, appelant – via la volonté de jacques TILLIER – à voler au secours de la Miss !!! Prêts, les uns et les autres, à provoquer une révolution pour le maintien forcé de la fameuse couronne… du GRAND journalisme !

    Ce, juste avant que le GRAND TILLIER nous quitte, en avril 2008, laissant éplorées toutes les «Mmes AUDE » du département…

     

    Consolons-nous, le Grand TILLIER revient ; pour VENDRE son livre, « Une Plume Libre ». Oui ? Une plume libre de se prostituer quand « Gamelle » oblige. (Gamelle c’est du TILLIER ; pour les autres…)

     

    POUR CONCLURE, QUE DIRE DE CE VIEUX VOYOU QUI M’A VOLONTAIREMENT « NEUTRALISÉE «, POUR LA PLUS GRANDE RECONNAISSANCE DE SES MAÎTRE ?

    POUR L’HEURE RIEN DE PLUS QUE CE QUE JE VIENS DE DIRE ; POUR L’HEURE…

                                                                                                                                                                              Saint Denis le 27 février 2013

                                                                                                                                                                                 

     

    …et ça n’a pas traîné : TILLIER arrive le 03 Mars et il offre à ses « fans » une séance de dédicaces le Samedi 09 suivant, à la Librairie Gérard ! Ayant une occasion unique de me trouver face à cette fripouille, pour la première fois de ma vie, je ne vais pas la manquer !! J’ai donc décidé d’aller lui faire visite et – pourquoi pas ? – de lui donner, encore une fois, une dernière fois, quelques-uns de mes sous. À la loyale, j’ai eu la délicatesse de m’annoncer. (Commentaire N° 11 du 27.02.2013 – Blog de Pierrot DUPUY : «…une plume libre… »)

     

                                 Les MÉDIAS réunionnais :

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    J'ai eu la surprise de découvrir un Jacques TILLIER tel que je ne l’imaginais pas : un vieux pépère amène et gentillet pas le profil du dur qui avait voulu ma peau, pas le profil d’un qui avait survécu aux soins de MESRINE, ce MESRINE qui, contre toute attente, a tant fait pour l’image de TILLIER…

    À partir des informations qui me sont parvenues, j’ai cru que notre Jacques avait été révolvérisé par MESRINE ; ce qui, entre truands, est traitement d’Honneur.

    Pas du tout ! MESRINE a flanqué une très, très grosse rouste à TILLIER, avant d’user de son arme ; ce qui démontre clairement une volonté de sa part d’abaisser, d’humilier au-delà du possible, ce grand malpropre de TILLIER…

     

    Donc, comme annoncé, j’y vais ; et, tout comme MESRINE, je me paye le luxe de traiter comme elle le mérite cette ordure de TILLIER. J’en suis pleinement satisfaite ; lui, pas !! Au lui de s’écraser, il en rajoute ; selon lui tout a été parfait lors de sa séance de dédicaces : « À l’exception d’une gazée agitée de tremblement nerveux qui me reproche de ne pas avoir évoqué le cas de son mari, tout s’est bien passé » affirme-t-il dans son édito «  Le coup de pied à l’âne », paragraphe « samedi », du 18 Mars 2013. Ah ? Ah !!

    La « gazée » c’est moi et je n’ai pas de mari… Tillier, pour escamoter les raisons de cet énorme camouflet public  qu’il vient d’essuyer, n’hésite pas à dire n’importe quoi, à mentir. Bof, ça n’étonne personne, je pense…

     

    De là à le tenir quitte il y a un pas… que je franchis en vous proposant la suite sous la forme d’un texte de dernière heure, « C’est la fête à TILLIER… » :

     

     * * *

     

     *DERNIÈRE HEURE ! : C’est la fête à TILLIER… 

     

    (Librairie Gérard, mon « Point Rencontre » avec un 2ème de mes « NAZIS » après Francis CARBONNEL. Ce Samedi 09.03.2013 – Séance de dédicaces de TILLIER.)

    Comme je l’annonçais dans ZINFOS du 26 Février dernier, j’étais là ! – TILLIER aussi, à son poste de dédicace. Dès mon arrivée, il m’a vue et …reconnue ! Il ressemblait à une poule surprise par un renard…tétanisé !

    J’ai salué quelques connaissances ; j’ai acheté mon exemplaire de TILLIER (25€ !) et pris sagement ma place dans la queue. TILLIER me regardait à la dérobée, mais ma bonne tenue l’a sans doute rassuré. Tous ceux qui n’ont jamais pratiqué l’agression, en forme de scandale public, froidement préméditée, ne savent pas le grand désordre que les torrents d’adrénaline sont capables de générer à l’approche de l’ «exécution » : l’émotion m’a fait, tour à tour, perdre mon parapluie préféré et mon exemplaire à 25€ de TILLIER … un vrai gag !  J’allais et je venais dans la librairie, égarée moi aussi, distrayant les amateurs de dédicaces qui patientaient

    Lorsque mon tour est arrivé, TILLIER était calme, rassuré, prêt à m’accompagner dans la petite comédie de gens comme-il-faut ; il ne m’a cependant pas tendu la main. Il m’a demandé mon nom ( !), l’a noté avec sa dédicace sur la page de titre que je lui présentais d’autorité (Je ne voulais pas qu’il voie l’intérieur des pages saccagées au marqueur noir.)

     

    J’ai récupéré mon exemplaire TILLIER à 25€ et, posément, j’ai arraché et gardé la page de dédicace ; puis, j’ai refermé le livre et le lui ai jeté dessus en l’insultant haut et fort. Il était médusé avec l’air d’être une poule promise au renard…

    Ceci fait, je me suis installée sur le trottoir, juste à l’entrée, avec vue sur Jacques TILLIER et j’ai distribué, de la main à la main, le tract d’adresse de mon blog.

    Tout cela s’est déroulé gentiment, sans mouvement de foule. Les « nervis » préposés à la protection rapprochée de TILLIER n’ont pas tiqué. Sauf Jean-Claude VALLÉE qui n’a pas pu s’empêcher de me donner une leçon de conduite : « C’est pas sympa ! » m’a-t-il apostrophée, indigné ; ajoutant que ce genre de chose devait se faire en aparté…            

    J’ai été vengée par « Mme AUDE » : même si elle m’a volé la vedette en faisant la visite la plus remarquable du jour, je lui suis reconnaissante d’avoir répandu son enveloppante affection sur TILLIER et quelques autres, mais surtout sur notre Jean-Claude VALLÉE, tout rose de plaisir ! Mon stock de tracts épuisé, j’ai levé le siège à 18h00. Par la suite j’ai remarqué que pas un seul Média a rapporté cet original « Fait Divers »…

     

    …et je me suis trompée : ZINFOS a ouvert ses colonnes  à cette rigoureuse information  rapportée par Jacques TILLIER, soi-même, dans son édito « Le coup de pied de l’âne. » ZINFOS du 18 Mars 2013 (Paragraphe « Samedi »)

    *Voici le « Rapport TILLIER » sur l’évènement relaté ci-dessus :

     

    « À l’exception d’une gazée agitée de tremblements nerveux qui me reproche de ne pas avoir évoqué le cas de son mari, tout s’est bien passé. » (Sic – TILLIER) Du TILLIER Grand Cru…

     

    N.B. :« LA FÊTE À TILLIER » ci- dessus rapportée, était destinée à mon blog ; seulement à mon blog. Après le « Rapport TILLIER » je l’ai soumise à « ZINFOS 974 » en guise de rectificatif et de réplique ; malgré ma lourde insistance, Pierrot DUPUY a refusé de le publier ; « Fidèle en amitié » (sic), Pierrot veut protéger le mensonge de TILLIER et  TILLIER avec… Alors j’ai déjà envoyé ce texte à l’« UNION » de REIMS… et je me réserve la possibilité de le diffuser largement à qui bon me semble.

     

    Pour conclure : mon « nazi » TILLIER a été « servi » ; je me tiens prête à aller plus loin s’il s’avise encore à me chercher noise. Pour matérialiser ma visite de dédicace du 09 mars dernier, je présente ci-après la copie de celle qu’il m’a dédiée : « Bien amicalement »… !!! 

     

                                         *DERNIÈRE HEURE ! : C’est la fête à TILLIER…   

                                            

    *Le prochain chapitre traitera du rôle joué  par les deux Rédacteurs en Chef du Quotidien, Pascal BAUDOIN et Thierry DURIGNEUX, en faveur de la corruption-peï, sous le titre : « Le Quotidien et son crédo ». 

    Saint Denis le 23 Juin 2013 

     

    ***

     

    N°2 – Le QUOTIDIEN et son credo :

     

    Lors de sa création, en 1976, le Quotidien se voulait « un journal ouvert sur l’ensemble de la société réunionnaise et soucieux de participer à la vie et au développement de notre île » (sic).

     

    Cette profession de foi n’incluait pas le DEVOIR d’INFORMATION et la lutte contre la corruption, par l’écrit HONNÊTE… 

     

    Comparé à « Var-Matin », le petit dernier de la presse écrite locale est un bijou ; l’image est plus que trompeuse : le Quotidien peut rivaliser avec « Var-Matin » -  et avec son concurrent, le JIR -  pour son entière loyauté aux ripoux du département et par son absolue discrétion sur les sujets sensibles-peï…

     

    Dans l’affaire qui m’occupe (La construction sans Permis de construire, la fraude fiscale qui va avec et l’incroyable discrimination administrative que cela représente.) le Quotidien a adopté la même attitude que le JIR en matière d’Omerta ; mais avec, une plus grande hypocrisie, une malhonnêteté encore plus lourde, de la même nature que celle de Freedom ; allant jusqu’à s’« indigner » des « muselages » de presse  chez nos voisins  mauriciens et malgaches !! 

     

    Je voudrais, à ce propos, vous donner un exemple, un seul : 

    Dès le début de mon combat, nombre de « bonnes personnes » sont venues me dire que je n’avais pas la bonne façon d’interpeller mon monde. (Sous- entendu : « C’est pour ça que vous n’obtenez aucun résultat. ») Parmi elles, Bernard GROLLIER, correspondant local du « POINT ». Lequel GROLLIER me fait, un jour, une surprenante proposition : Il rédige à ma place – de façon bien comme il faut... – un Courrier des Lecteurs sur l’affaire GRONDIN/VICTORIA/ etc… et, il se fait fort de le voir publié…sous ma signature !! Ah !? Mais rien ne m’interdis d’avoir un « nègre », n’est-ce-pas ? Marché conclu ! Et, sous le titre : « Construction : La fraude et l’omerta » je propose ledit courrier (rédigé par Grollier) aux médias locaux et, ô miracle !, le voilà  publié par les deux journaux – JIR et QUOTIDIEN – le 29 Décembre 2008 ! – Après  3 ans de silence mafieux… 

     

    Voilà ci-après le texte – tel que rédigé par Bernard  GROLLIER – dont l’original a été transmis, par mes soins, le 27 Décembre 2008, à la presse locale :

     

    Construction : la fraude et l’omerta.

     

    Un silence assourdissant couvre un scandale permanent dans notre île : celui des « arrangements » qui caractérisent un grand nombre d’opérations de construction.

    Bien sûr, cette corruption rampante est plus difficile à dénoncer que les malversations à plusieurs centaines de millions d’euros qui font la une de nos journaux.  Les affaires dont je veux parler sont « municipales », elles  concernent essentiellement des particuliers, les sommes en jeu sont à leur échelle.

    Ce n’est pas une raison pour se taire !

    J’accepte d’autant moins cette omerta que j’en suis victime. Voici un bref rappel des faits :

    En décembre 2005, mon voisin le plus proche, dans le quartier de Bellepierre, démarre la construction d’un petit immeuble, sans permis de construire. Je n’ai pas de relations, ni bonnes ni mauvaises, avec cet individu, mais je viens alors de vivre une expérience  éprouvante avec le service de l’urbanisme de Saint-Denis, à l’occasion de la reconstruction à l’identique de ma propre maison. L’extrême rigueur dont a fait preuve ce service à mon égard me laisse penser qu’il ne saura tolérer une construction illégale. Las ! Malgré de multiples relances de ma part, la mairie n’intervient pas. En avril 2006, un article de presse relate l’affaire. Le service de l’urbanisme daigne alors venir constater les faits et quelques jours plus tard un arrêté municipal impose l’arrêt des travaux. Il apparaît que mon voisin avait déposé une demande de permis de construire en décembre 2005, et qu’il était tellement sûr de l’obtenir qu’il avait lancé les travaux sans attendre. En mai 2006,sa demande est rejetée , tant le projet est incohérent. Mais le 27 décembre 2006, un nouveau permis de construire est accordé, avalisant (de quel droit ?) les travaux déjà réalisés. Indignée, je saisis la Justice : mes requêtes sont rejetées. Révoltée, j’imprime des tracts, j’alerte diverses autorités, en vain. Et, d’accusatrice, je deviens accusée…  La mairie (René-Paul Victoria, son 2ème adjoint, le service de l’urbanisme) m’attaque en diffamation.

    Les détails de ce parcours judiciaire seraient trop long à raconter, mais sachez que pour avoir dénoncé un fait illégal, la « justice » a cru devoir me condamner à payer un total de  4 500 euros d’amendes. Sachez également que les magistrats de la place (ainsi que la plupart des détenteurs d’une parcelle de pouvoir dans cette île), se montrent particulièrement agacés par mon insistance à refuser l’inacceptable. 

    Mon voisin a maintenant terminé sa construction. Et réclame le droit d’entrer chez moi pour crépir la façade hideuse qui se dresse désormais sur trois niveaux au ras de mon jardin ! Il va sans dire que je refuserai jusqu’au bout cette ultime humiliation et je continue à réclamer une expertise judiciaire  qui ne manquera pas de souligner les nombreuses irrégularités de cette opération immobilière. 

    Je précise que je suis âgée de 72 ans. J’emploie toute mon énergie, depuis trois ans, à tenter de faire valoir le droit. J’ai pour l’instant échoué mais je refuse toute idée de résignation. Seule, j’ai le plus grand mal à me faire entendre. Sans doute nombre d’entre vous ont-ils été témoins ou victimes de faits similaires. Je vous invite à rompre le silence,  à témoigner, à alerter la presse. 

    Peut-être, alors, la Justice fera-t-elle davantage son travail ?  

    Juliette Pavard, Saint-Denis le 27 Décembre 2008  

    DESTINATAIRES : Presse écrite : JIR, Quotidien, Visu, Témoignages, Agri-Mag, Le Mémento, l’Écho Austral, L’Économie de la Réunion, Réussir. Télévisions : RFO, Antenne Réunion. Radios : RFO, Freedom, Radio Festival, Radio Arc en Ciel, Exo-FM., Zinfos 974.

     

    Sauf que la prose de Bernard GROLLIER – déjà bien mollassonne – a encore été édulcorée, en « missouk », par les deux titres afin de bien tromper les lecteurs, non informés de ces amputations… ( Je crois utile d’ajouter que ceux qui me connaissent n’ont pas été dupes de cette supercherie : « ce n’est pas toi qui a écrit ça ! »…)

     

    *POUR LE JIR : le 1er paragraphe a disparu, en toute discrétion… (J’ai oublié qui était le Rédacteur en chef de l’époque…) 

     

    *POUR LE QUOTIDIEN : le mot « CONSTRUCTION » du titre a été oublié – tiens ! Pourquoi ?? 

    Mais, de prime abord, le texte semble entier ; de prime abord ! En réalité, le texte a été complètement mité par quinze traitresses soustractions ; quinze !,  allant d’un mot à des phrases entières, soigneusement choisies ; sans l’obligatoire signe conventionnel – (…) – le  signalant aux lecteurs et… au rédacteur… 

     

    Cela se passait sous l’ère de Pascal BAUDOIN, Rédacteur en chef… lequel sévit actuellement dans la Meuse ; les meusiens ne semblent pas très rassurés quant à son honnêteté… 

     

    Après cela, je vous propose deux illustrations des mœurs de ces défenseurs de la « ligne éditoriale » spécifique au pays de Réunion : 

     

    *POUR Pascal BAUDOIN, Rédacteur en chef du Quotidien : j’exhume, ci-après, l’originale « réponse » que l’individu a osé faire à mes interpellations. (Courrier reçu de P. Baudoin, en date du 09 Octobre 2008) :

     

    lettre baudion

    *Et ma réplique du 28 Octobre 2008… 

     replique

     

    *POUR Thierry DURIGNEUX, Rédacteur en chef du Quotidien :

    interpellé à son tour sur son devoir d’information, Monsieur DURIGNEUX manifeste la même grossière lâcheté que son prédécesseur. Mais le vent a tourné et l’intimidation semble avoir changé de camp : j’ai eu le délicat plaisir de bouleverser ce personnage – habitué, comme tous les autres au confort de la servitude-peï – en le ridiculisant. (Courrier des lecteurs : « Juliette CARANTA-PAVARD à Thierry DURIGNEUX, Rédacteur en chef du Quotidien » - Zinfos 974 du 20 Mars 2012.)

     

    *Je présente ci-après l’objet du délit : soit en premier l’original tel qu’il a été publié au courrier des lecteurs de Zinfos le 20 Mars 2012 à 14h39. J’ai dû faire un petit bricolage, signalé par les caractères en rouge : «  TOUJOURS LE PANTALON SUR LES SOULIERS, THIERRY…Ah ! ». Le deuxième exemplaire est celui qui a été amputé de la fameuse phrase du pantalon, toujours présent aux archives de Zinfos.

     

    pantalon

     

    *Suivent les commentaires que j’ai ajoutés à mon courrier : 

    °Celui du 07 Avril 2012 à 11h10 : Thierry, vous venez de me raccrocher brutalement au nez… (Je me suis pourtant présentée poliment à vous : je voulais juste connaître le nom d’un journaliste qui, contrairement à moi, n’ose pas signer ses écrits en clair.)

    Je vois que, comme à l’accoutumée, vous n’appréciez pas mes écrits ; surtout les centaines qui ont été faxés au Quotidien, depuis le début de l’affaire Hilaire, David et Karine G. / Victoria / Annette, en 2007 ; au point de déléguer le journaleux-syndicaliste  Yannick BERNARDEAU à venir – chez moi ! – me conseiller de cesser ces envois, étant donné que vous les mettiez systématiquement à la poubelle…

    Comment se fait-il que vous soyez si sensible, alors que je ne fais que parler de votre pantalon, moi ??

     

    *Juste après ce « contact » avec Durigneux, je découvre que le « Toujours le pantalon sur les souliers, Thierry… Ah ! » a disparu de mon courrier du 20 Mars 2012…

     

    °Celui du 07 Avril 2012 à 13h55 : Thierry, je viens de découvrir que Zinfos a supprimé la dernière phrase relative à votre pantalon ! Votre fureur de ce matin m’a signalé que j’avais visé juste ; et vous n’avez pas encore tout vu… Une Petite Chose comme vous est capable de les avoir menacés ; je me demande bien de quoi ! Quant à l’auteure – responsable de cette « liberté d’expression » si chère au Quotidien, moi en l’occurrence – elle vous a classé parmi les personnes dont il convient de s’ «occuper » ; en troisième priorité.

    EN ESPÉRANT UNE TRÈS PROCHAINE « LIBERTÉ DE LA PRESSE », ICI, À LA RÉUNION…

    En conclusion, Thierry n’a pas supporté du tout que l’on rit à ses dépens : tout humour écarté, il aurait menacé Zinfos d’un procès ; IMAGINEZ L’AUDIENCE !!

    Ce qui n’empêche pas que cet olibrius publie, dans le Courrier des Lecteurs du Quotidien du 05 Mars dernier, sous le titre : « La parano des pseudos » et sous sa signature, cette phrase osée : « Nos pages « Courrier des lecteurs » accueillent les débats, tous les débats, dès lors qu’ils ne contreviennent pas à la loi ou à la morale. »

     

    Vous l’aurez compris : dans la petite tête de Thierry, une investigation suivie d’un article de fond – ou même, simplement, un Courrier des Lecteurs différant de la bouillie pour les chats quotidiennement publiée – portant sur la CONSTRUCTION ILLÉGALE et LA FRAUDE FISCALE QUI EN RÉSULTE, ICI, À LA RÉUNION, contrevient à la LOI et à la morale...Voilà !

     *** 

    La suite de cette rubrique sera consacrée à la base de la corporation : les « Journaleux-peï », dignement représentés par Messieurs Bruno GRAIGNIC du JIR et Pierre-Yves VERSINI du Quotidien. 

      ***

     

    *Les journalistes de base-peï : 

     

    Au-delà des « responsables-modérateurs-escamoteurs » d’information, de nos deux principaux quotidiens, il me reste à parler des « autres » : la centaine d’encartés répartis entre les deux titres ; qui, pour ne pas être « responsables », n’en dépendent pas moins déontologiquement, des règles éthiques de leur profession. (« Charte d’éthique professionnelle des journalistes » - Syndicat National des journalistes = S.N.J. – et – « Charte de Munich » Déclaration des Devoirs et Droits des journalistes.) 

     

    Pour introduire le sujet – et par souci d’économie d’énergie – je récupère l’un  de mes innombrables commentaires publiés sur « Zinfos 974 » : 

     

    *[…] Côté « liberté de la presse » il aurait mieux valu oublier les « journaleux » de la Réunion… ; et avoir l’élémentaire délicatesse de ne pas les mêler à ceux qui perdent leur vie – de différentes façons – pour leur courage et/ou leur liberté de ton. Les « nôtres » ne risquent rien de si grave ; ils ne risquent que leur « gamelle » (Terme favori du grand reporter Tillier…) ; je pourrais comprendre qu’ils fassent profil bas, seulement pour ça ; mais pas admettre la médiocrité, la stupide suffisance, la flagornerie, la lâcheté et la malhonnêteté de trop nombreux d’entre eux. Dans l’affaire Hilaire Grondin/René-Paul Victoria/Gilbert Annette […] j’ai pu faire une étude de la corporation « en live »…depuis 7 ans !) 

     

    Vous l’aurez  compris, il est impossible de trouver un « vrai » journaliste à la Réunion ; ceux qui aspireraient à l’être (Une mini-minorité ; pour leur éviter des ennuis, je tairai leur nom…) sont rudement encadrés, maintenus sous tutelle. (Ayant moi-même vécu un licenciement disciplinaire, je peux comprendre qu’ils s’inclinent ; mais là, il ne s’agit pas de ça !) 

     

    Faisons fi des Yannick BERNARDEAU, Thomas LAURET, Ludovic PROUVOST, Sébastien GIGNOUX et autres  petits déchets du métier ; allons directement aux deux phénix qui au nom et sur ordre de leurs employeurs respectifs (JIR et Quotidien) ont, de concert, touché le fond du misérable, modèles de « servitude volontaire » de la presse locale… Ces deux petits « nazillons » décérébrés – mais très sûrs d’eux – ont su choisir leur « gamelle »…

     

    Je les cite : Bruno GRAIGNIC du JIR et Pierre-Yves VERSINI du Quotidien.

     

    Je relate, ci-après, les circonstances dans lesquelles ils sont entrés dans ma vie, en faisant preuve de leur talent et de leur sens de la déontologie : 

     

    *En rappel : il s’agit là – encore et toujours – des effets de la CONSTRUCTION  SANS PERMIS de CONSTRUIRE et de la FRAUDE FISCALE qui va avec ;

     

    *Mon rendez-vous, à ce propos, avec Gilbert ANNETTE, le 01 Avril 2009 et mon courrier du 15 Juin 2009 rapportant tous les points évoqués lors de cette rencontre et lui enjoignant d’agir. (Ce courrier a été publié le 28 Avril 2012 sur « Zinfos 974 » et se trouve dans les archives du journal.)

     

    *Comme je ne voyais rien venir, je décidai de renouveler mes interpellations – publiquement, cette fois – au Conseil municipal du 29 Juin 2009 ; occasion  d’autant plus propice que ce Conseil se flattait d’une grande première : la transmission des débats en direct, par internet…

     

    *Le JIR et le QUOTIDIEN persistant à maintenir l’Omerta sur les scandales Urbanistiques  municipaux, je décidai, non seulement de ne pas les « solliciter », mais de les tenir soigneusement dans l’ignorance de ce projet.

     

    *Ainsi, le soir du 29 Juin j’étais là, sagement assise dans mon coin favori. Rusé comme un vieux singe, Gilbert ANNETTE – encore « chaud » de nos récents contacts et alerté par ma présence – avait  cédé  la présidence à sa 1re adjointe, Monique ORPHÉ et s’était positionné dans mon dos ; avec sa milice à portée de main…

     

    *Dès que je me suis levée et ai ouvert la bouche, il a lancé sur moi quatre robustes policiers qui se sont mis en devoir de me neutraliser : deux hommes aux jambes et deux femmes aux bras (j’ai pu apprécier à quel point les femmes sont plus motivées que leurs collègues masculins, n’hésitant pas à employer les gestes « anti-forcenés » sur la grand’mère de 74 ans que j’étais alors…)

     

    *Comme de juste, je résistai : brutalement et douloureusement maîtrisée, j’ai dû user de ce qui me restait pour me défendre et faire cesser cette violence : j’ai mordu le bras de la plus efficace des deux policières (Tout en évitant  sciemment d’enlever le morceau…) À quatre, ils ont réussi quand même à me traîner dehors et me jeter à terre, hurlante…jusqu’à être prise en charge par les pompiers et conduite aux urgences du C.H.D. où j’ai retrouvé ma « mordue ».

     

    *À noter que les trois guenons féministes composant le harem du mâle dominant ANNETTE (Monique ORPHÉ -1re adjointe, Ericka BAREIGTS-2e adjointe et Nalini  VÉLOPOULÉ)  sont restées de marbre…

     

    *Un très grand moment de « communication » en forme d’original « Fait divers » ; sauf qu’il a failli être raté, Bruno GRAIGNIC du JIR et Pierre-Yves VERSINI du Quotidien, s’étant lassés du cirque, étaient partis prendre l’air… Fallait-il  pour autant priver leurs lecteurs de ce qu’ils avaient manqué ? Qu’à cela ne tienne ! Nos « encartés-peï n’ont pas besoin de voir pour témoigner, dire et écrire…

     

    *Et voilà ce que ça a donné : (je retranscris à la virgule près leur prose de petits rats d’égouts.) 

     

    ¤Pour le JIR du 30 Juin 2009 :

     

    ¤Titre : « Les comptes ne font pas les bons amis »

     

    ¤Annexe de dernière heure : « Une expulsion en plein direct ». Signé B.G.

     

    « LES COMPTES NE FONT PAS LES BONS AMIS À SAINT-DENIS 

    Une expulsion en plein direct

    Alors que ça tourne (trois caméras, de la bande passante pour mille connexions en même temps…) et ça diffuse depuis environ deux heures sur le site de la Ville, Juliette Pavard, accompagnée de son fils, a voulu profiter de cette tribune pour crier son désespoir.

    Depuis des années, cette habitante des Hauts de Bellepierre est en contentieux avec la Ville. En cause, des faits qui remontent à 2005. Un de ses voisins démarre la construction d’une maison sans permis et, qui plus est, en rognant sur son terrain selon ses dires. Le permis aurait finalement été régularisé en 2006.

    Mais la bataille judiciaire, longue et pénible, n’est pas à son terme. René-Paul Victoria, maire de l’époque, son 2e adjoint, Dominique Fournel, et le service de l’urbanisme attaquent en diffamation et gagnent. Aujourd’hui, avec l’avènement du PS, elle espérait obtenir la démolition de la construction voisine après quatre ans de bataille. Mais, son intervention s’est soldée par une expulsion manu militari de la salle polyvalente. Le coup d’essai de la mairie, 5 000 euros annoncés, a donc essuyé les plâtres des aléas du direct. Mais la Ville veut généraliser les diffusions en live tout de même. »  B.G.

      

    ¤Pour le QUOTIDIEN du  01 Juillet 2009 :

     

    ¤Titre : « Débats sous haute surveillance »

     

    ¤Annexe de dernière heure : « Crise en plein conseil » - Non signé.

     

    « DÉBATS SOUS HAUTE SURVEILLANCE

    Crise en plein conseil

    Le conseil municipal était lundi soir pour la première fois diffusé sur internet (639 visites ont été comptées sur le site). L’occasion pour les élus sans doute plus encore que d’habitude de s’écouter parler et d’expliquer et réexpliquer le contenu de dossiers ou d’une politique qui n’échappe pas à leurs collègues mais peuvent peut être ne pas être connus de tous les internautes !

    C’est humain, c’est « la démocratie participative », comme s’en amuse Gilbert Annette, pas peu fier de présenter aux dionysiens en direct le travail réalisé.

    Mais cette web-TV a aussi été l’occasion pour une administrée bien connue des services, Juliette Caranta-Pavard, de s’emporter et d’apostropher d’abord les élus de l’opposition, René-Paul Victoria et Dominique Fournel en tête, puis ensuite l’ensemble des élus et l’administration municipale.

    Juliette Caranta-Pavard, 73 ans, est en conflit avec la mairie depuis 2006 pour une histoire de de construction d’un de ses voisins qu’elle estime sans permis. Elle a déjà fait une grève de la faim en 2008 et a porté l’affaire au tribunal, ayant elle-même été poursuivie pour diffamation.

    Elle est intervenue hier durant l’examen du compte administratif 2008 alors que le maire, comme le prévoit la loi, avait cédé la direction des débats à Monique Orphé.

    Juliette Caranta-Pavard, faute de dialogue possible, a été évacuée par la police municipale pour la sortir de la salle polyvalente, puis prise en charge par les pompiers à l’extérieur. » Article non signé. 

     

    *Pour savoir qui étaient les auteurs de ces deux torchons,  j’ai appelé  le JIR qui m’a  donné le nom de Bruno GRAIGNIC ; pour le Quotidien, j’ai dû attendre que Pierre-Yves VERSINI me confirme – grossièrement, haineusement – sa paternité.

     

    J’ajoute encore, que ces deux-là n’ont pas vu intérêt à se rapprocher de moi pour parler de moi ; et en quels termes ! – de vraies petites pourritures… 

     

    *Enfin, j’ai  adressé un « Droit de réponse » en courrier sécurisé, le 25 Septembre 2009, aux deux journaux ; lesquels se sont contentés de ne pas bouger… Ces deux « Droit de réponse » ont été joints à ma « Lettre Ouverte » du 04 Janvier 2010, interpellant les Directeurs de publication Jean-Baptiste MARIOTTI du JIR et Thierry BENBASSAT du QUOTIDIEN ; qui n’ont pas bougé…Cette « Lettre Ouverte », sous forme de tract recto-verso, a été largement et publiquement diffusée. Voilà ci-joint les 2 pages originales de ce tract : 

     

    Juliette CARANTA-PAVARD

     

    - Affaire H-D-K GRONDIN / René-Paul VICTORIA

    - Affaire F. BACHELIER / Gilbert ANNETTE                                 

    M. Jean-Baptiste MARIOTTI (le JIR

    M. Thierry BENBASSAT (le Quotidien) 

     Directeurs de publication

                                                                                                                                           SAINT-DENIS de la REUNION

     

    LETTRE OUVERTE

     

     

    OBJET :   Après vous avoir transmis, le 25/09/09, mes « droits de réponse » – dont copie ci-jointe – à la suite de vos articles me concernant du 30/06/09 pour le JIR et du 01/07/09 pour le Quotidien.

     

    Mais où avais-je donc la tête, perdre de vue que la prescription en insertion forcée tombait en même temps que celle visant la publication « volontaire » du droit de réponse !!

     

    En ce qui concerne cette dernière formule, vous avez reçu – en temps légal – ces répliques, que vous avez, avec un bel ensemble, « ignorées ». D’autant qu’à quelques jours de là, la prescription (légale) vous tendait les bras. Alors, toujours avec un bel ensemble, vous avez sauté dedans… La « gamelle » (sic) dirait fort élégamment M. J. TILLIER (Ah ! La récente manne des larges placards publicitaires que ces braves gens vous confient, à foison et sans radinerie… avec les sous de mes impôts !).

     

    Il est vrai qu’à près de 70.000 exemplaires à vous deux, ces missives auraient constitué un super scoop pour le peuple réunionnais… Quel dommage ! Mais il vous faut, n’est-ce pas, contribuer au maintien de l’ « ordre public », cher à notre Préfet MACCIONI…

     

    La sauvegarde du système municipal de « bienveillances » (sic, Rapport d’activité 2005 - Chambre Régionale des Comptes) en matière d’urbanisme, la boite à bonbons des maires …, vous intime – et par prudence, et par opportunisme commercial – de camoufler l’implication, la complicité des pouvoirs locaux dans la pérennisation dudit système. Est-il, d’ailleurs, encore possible de renverser la vapeur ?? Toutes ces constructions (immeubles, piscines, etc…) non déclarées…

     

    Et, par contraste, les tribunaux spéciaux de la Cour d’Appel de la Réunion pour les « petits », frappés à mort, pour servir d’exemple (pour qui ??) et de paravent (pour qui ? pour quoi ??).

     

    Pour revenir au sujet, avec l’expérience qui m’a été prodiguée dans l’affaire GRONDIN/VICTORIA, je n’ai pas à regretter ma distraction : une action judiciaire en insertion forcée aurait été vouée à l’échec, comme d’habitude… Ceux qui honorent de leur « impartialité » la « justice péi » – largement compromis – vous auraient fait « gagner » (sic, le JIR) afin de refouler mes scandaleux propos, mais surtout pour se protéger, eux et leurs complices…

     

    Il reste à s’interroger sur le fait que, vous, disposant légalement de votre liberté d’expression professionnelle, vous vous asseyez sur votre devoir d’information et restez insensibles, depuis des années, à un phénomène local, étrange et hors du commun : tout un département français de pouvoirs, dont l’Etat, l’Eglise, la Justice et… les Médias – ligués en meute pour persécuter et tenter de neutraliser une femme, une vieille femme, seule, face à ce front, et qui va – depuis 5 ans – martelant d’insupportables vérités…

     

    Le Préfet est sur le départ (JIR du 30/06/09). Tout comme le Procureur de la République (JIR du 02/10/09). Le Procureur général ne fera pas de (trop) vieux os ; ce ne sont là que pernicieux et impudiques oiseaux de passage, peu soucieux de ce qu’ils laissent derrière eux. L’Evêque se veut cardinal à Rome…

     

    Mais VOUS !? Pensez vous, encore longtemps, masquer l’incidence de la fraude fiscale, générée par le clientélisme municipal, sur le budget des communes ? Allez vous, encore longtemps et jusqu’où, laisser la majorité de la population « compenser » ces manques à gagner (en subissant l’augmentation des taxes locales la plus forte de tout le territoire…) dans l’ignorance de ce qui la provoque (hormis la crise, les proches suppressions de la taxe professionnelle et de l’octroi de mer…) ?

     

                                                                                                                                                              Saint-Denis, le 04 janvier 2010

     

                                                                                                                                                              Juliette CARANTA / PAVARD

    P.J. : copie des droits de réponse

    Copie à :

    ü  M. P-H. MACCIONI, Préfet de la Réunion

    ü  M. G. AUBRY, Evêque de la Réunion

    ü  M. R. DOUMAS, Procureur général

    ü  M. J. BRANA, Président de la Chambre Régionale des Comptes

     

    DROITS DE REPONSE AVORTES

     

     

     

    M. Abdul CADJEE, Directeur de la publication, Le JOURNAL de l’île de la REUNION          Saint-Denis, le 25.09.2009

     

    Je vous prie de trouver ci-après le texte de mon droit de réponse, après l’article me concernant paru le 30 juin 2009 :

     

    DROIT de REPONSE : Juliette CARANTA / PAVARD

     

     

    Par l’article du JIR du 30.06.09, intitulé « une expulsion en plein direct», signé B.G., vous avez choisi de tromper vos lecteurs et de porter atteinte à ma dignité par vos écrits, plus que tendancieux, vos insinuations et vos mensonges. Le fait que vous ayez omis quelques « détails » n’est certes pas innocent. Par exemple, que le « manu militari » (sic) s’appliquait, sur ordre du maire de Saint-Denis, à quatre policiers sur une femme de 73 ans, parce qu’elle dénonce ce que vous même aimez taire… C'est-à-dire le clientélisme municipal éhonté émanant de l’Urbanisme Réglementaire de la mairie de Saint-Denis (...et d’ailleurs ??), lequel se permet de consentir, OUVERTEMENT, les avantages de la construction sans permis et/ou en violation des règles d’urbanisme (exemption des taxes locales : T.L.E., foncier bâti, habitation) à des administrés nantis, unanimement appréciés par les politiques de tous bords…

     

    Atteinte dans ses droits, ses intérêts, sa santé, et dans sa vie, ma famille fait les frais – depuis 2004 !! – de ces dérives délictueuses (affaire GRONDIN/VICTORIA et BACHELIER/ANNETTE).

     

    Nous, citoyens discrètement sans reproches, n’avons rien demandé, rien cherché – hormis le droit, dans le respect de la loi et des règles. En ne sacrifiant pas à la « servitude volontaire péi », nous nous heurtons à un mur de complicités impliquant tous les pouvoirs locaux (dont les médias…). D’où des actes extrêmes que je suis amenée à poser, depuis, pour tenter de créer une brèche dans l’« omertà » volontairement entretenue…

     

    Le JIR a reçu de moi, entre le 30.05.2007 et le 01.02.2009, 17 fax sur l’affaire GRONDIN/VICTORIA, restés lettre morte. Après votre article du 30.04.2006, la relatant, une chape de plomb est tombée sur l’affaire : vous ne vouliez plus du tout aborder le sujet explosif de la construction illégale à la Réunion. Dites à vos lecteurs pourquoi !

     

     

    Juliette CARANTA / PAVARD

     

     

     

    M. Thierry BENBASSAT, Directeur de la publication, Le QUOTIDIEN                                    Saint-Denis, le 25.09.2009

     

    Je vous prie de trouver ci-après le texte de mon droit de réponse, après l’article me concernant paru le 01juillet 2009 :

     

     

    DROIT de REPONSE : Juliette CARANTA / PAVARD

     

     

    A la suite de l’article du QUOTIDIEN du 01.07.09, intitulé « crise en plein conseil » (non signé), je crois savoir qu’il n’y avait plus de journaliste du QUOTIDIEN au moment de ladite « crise ».

    Etant dans l’ignorance de ce qui motivait cette dure interpellation publique préméditée, vous ne pouviez – même présents – que survoler l’affaire. Ce que vous faites de façon plutôt tendancieuse, tout en relativisant la gestion musclée de la « crise » par M. ANNETTE en personne. Cela parce que j’ose dénoncer ce que vous-même vous appliquez à cacher : le clientélisme municipal éhonté émanant de l’Urbanisme Réglementaire de la mairie de Saint-Denis (...et d’ailleurs ??), lequel se permet de consentir, OUVERTEMENT, les avantages de la construction sans permis et/ou en violation des règles d’urbanisme (exemption des taxes locales : T.L.E., foncier bâti, habitation) à des administrés nantis, unanimement appréciés par les politiques de tous bords…

     

    Atteinte dans ses droits, ses intérêts, sa santé, et dans sa vie, ma famille fait les frais – depuis 2004 !! – de ces dérives délictueuses (affaire GRONDIN/VICTORIA et BACHELIER/ANNETTE).

     

    Nous, citoyens discrètement sans reproches, n’avons rien demandé, rien cherché – hormis le droit, dans le respect de la loi et des règles. En ne sacrifiant pas à la « servitude volontaire péi », nous nous heurtons à un mur de complicités impliquant tous les pouvoirs locaux (dont les médias…). D’où des actes extrêmes que je suis amenée à poser, depuis, pour tenter de créer une brèche dans l’« omertà » volontairement entretenue…

     

    Voulez vous, enfin, avouer à vos lecteurs pourquoi, vous-même, trahissez votre devoir d’information et l’éthique de votre profession en refusant d’aborder ouvertement ce minable et scandaleux secret de polichinelle ?

     

     

    Juliette CARANTA / PAVARD

     

     

     

    Pour tous ceux qui auront pris connaissance de ces écrits, je suppose qu’il n’y a rien d’autre à ajouter… 

     

    ERREUR !, il y a quelque chose à ajouter au sujet d’un que sans mon Quotidien du matin, j’ai failli oublier : Bruno GEOFFROY, rédacteur en chef au Quotidien en 2007-2008, période la plus « sensible » de l’affaire du tueur GRONDIN, mon voisin fraudeur... C’était l’heure où pour étouffer ma voix, se mettait en place la plus incroyable opération de « Justice » répressive,  jamais encore engagée dans le minable  système mafieux de la Réunion.

     

    Ce Bruno GEOFFROY que j’avais « sollicité », le 28 Août 2007, qui m’avait annoncé la visite d’un de ses journalistes « pour évaluation, ne voulant pas s’engager dans n’importe quoi » et qui s’est courageusement défilé ; ce, malgré mes fax de rappel des 12 Septembre et 25 Octobre 2007.

     

    En Novembre, j’apprenais de Damien VALETTE, journaliste au Quotidien, que je me trouvais « dans une impasse » (Sic)…

     

    L’ « impasse », c’était Bruno GEOFFROY, qui trop heureux de contribuer à la bonne santé de la « Mafia » réunionnaise avait choisi de me sacrifier ; grossièrement, sans état d’âme…

     

    Bruno GEOFFROY, cette petite crotte méprisante et prétentieuse, qui s’insurge tout droit, quand on qualifie de « petit merdeux » ceux qui lui ressemblent !

     

    Ce Bruno GEOFFROY, rédacteur en chef au Courrier de l’Ouest,  que le Quotidien ressuscite pour moi – après 5 ans de sain oubli, en le citant dans ses colonnes comme « PAS CONTENT : « Je n’accepte pas qu’on puisse traiter un journaliste de petit merdeux » »(Le Quotidien du 05 Août 2013)

     

    Mais, Bruno GEOFFROY, ils sont légion les « petits merdeux » dans votre corporation ; et je puis vous assurer  – sans conteste possible – que c’est exactement sous cet aspect que je vous ai perçu lors de nos « contacts » professionnels en 2007 et en 2008.

     

    Une dernière remarque : la défroque d’« indigné » ne sied pas à votre type de beauté, pour peu qu’on vous connaisse… 

     ***

    La prochaine rubrique traitera du monde judiciaire ; où le mot « con » - familier à la corporation – trouvera sa juste place.  

     

                                                                            A vous de réagir ci-dessous et de vous exprimer de façon libre mais correcte. Merci. Ce blog est "modéré" : vos contributions ne seront mises en ligne qu'après validation par l'auteure du Blog. Merci de votre compréhension !

       

     

     

     

     


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  • Ce long intermède silencieux, c’est juste pour reprendre souffle avant d’engager la suite de ce blog d’information sur la vraie situation du pays, à travers ce que j’en connais.

    Le contenu actuel du blog n’est que la pointe extrême de l’iceberg au regard de ce me reste à dire sur l’État-Peï, la Justice-Peï, l’Église Catholique-Peï et les Médias-Peï…tous « Tricoteurs » de la « spécificité » réunionnaise. Avec pour socle, les Élus Politiques-Peï, en leurs œuvres…

     

    …sans oublier les Défenseurs-Peï de quelque chose, grands amateurs de photos dans la presse !

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