• Je dois, en préambule, préciser que dans les rubriques précédentes  j’ai voulu, avec un peu de précipitation, révéler ce que les pouvoirs locaux ont déployé d’efforts et engagé de moyens pour simplement m’imposer silence sur le sujet manifestement interdit de la CONSTRUCTION ILLÉGALE À LA RÉUNION. 

    J’ai voulu apporter quelques preuves de ce que les « spécificités » locales autorisent dans ce très spécifique département français (… mais, oui, français depuis 64 ans !) en matière de transgressions des lois, assorties de l’étouffement dictatorial de vérités pas bonnes à dire… 

    Il est clair qu’un tel investissement de violents moyens de dissuasion marque l’impérieuse nécessité de sauvegarder d’inavouables intérêts ; et la volonté de toujours reporter à demain le scandale susceptible d’éclater à tout moment, pour peu qu’un média s’en empare, en fasse l’objet d’une investigation et assure son devoir d’information. 

    J’ai souhaité, aussi, que mon style direct et mon goût pour appeler un chat un chat, n’étonnent pas trop mes lecteurs de bonne foi ; j’ai dit de bonne foi… 

     

                                                        ***  

    J’en viens maintenant à mes « NAZIS » : 

    Les Klarsfeld – pour ne citer qu’eux – ont, des décennies durant, traqué à travers le Monde ces Nazis qui avaient, jusqu’au-delà de l’innommable, porté atteinte aux leurs et à leur communauté. Je suis sûre que ces gens-là avaient d’autres pôles d’intérêt, d’autres talents, d’autres courages que ceux manifestés dans cette implacable chasse à courre qui a absorbé leur vie. 

    Mes enfants et moi avons, nous aussi, des moyens et des talents  pour utiliser notre temps de vie à autre chose que combattre l’ignoble engeance qui infecte la société réunionnaise. Mais j’ai fait mon choix… 

    À les fréquenter de près, des années durant, j’en suis arrivée à une très bonne connaissance de ces « NAZIS »-là ; jusqu’à ce qu’ils deviennent « miens »… : 

    Mes « NAZIS » à moi – à des degrés divers et selon les pouvoirs dont ils disposent – partagent avec les vrais, immoralité, inhumanité, stupide arrogance, arrivisme, lâcheté, etc… ; et l’indispensable inconditionnalité à l’égard des plus forts qu’eux susceptibles de leur rapporter en retour quelque avantage ; ne serai-ce que celui de figurer sur la liste des invités à la Garden-Party de la Préfecture… 

    Moi, dissidente-résistante, j’ai été confrontée, ICI, à la Réunion, à tous les échantillons de la représentation « NAZIE » : « Führers », Second-couteaux, collabos et autres miliciens…  ; avec, en renfort, la longue cohorte de « Polonais-Peï », ceux qui ne voient rien, ne… sentent… rien !, et, forcément, ne disent rien, sachant d’instinct qu’« Il n’y aura pas de sentence contre ceux qui se sont tus » ; même pas l’ombre d’un blâme… de personne, ICI !  

    Mes « NAZIS » à moi – ceux qui m’ont harcelée, persécutée, lynchée des années durant, ceux qui ont voulu m’abattre, m’anéantir, ceux qui m’ont volé et saccagé ce qui me restait de vie et abîmé celle des miens – ils sont là, ICI, sur place, à la Réunion ; à l’exception de quelques- uns que je suis à la trace dans leur lieu de « retraite, ailleurs. 

    Mes « NAZIS » sont là, à portée de voix et d’écrit. Comme ils sont  «  l’humanité-peï qui compte », ils s’autorisent à transiter chez moi, via la T.V.-PEÏ ; je les trouve plastronnant en photo dans mon journal du matin : Politiques, Magistrats, Religieux, Fonctionnaires, Amis de L’Homme et … de la Femme...  

    Mes « NAZIS » sont donc faciles à « cueillir » : repérés, évalués, recensés au fil des ans, mis en fiches et suivis avec soin. Je m’inscris ainsi dans la même démarche que les KARLSFELD qui est de vouloir la JUSTICE – même au prix de sa vie – et un juste châtiment pour les coupables. Par leur inexorable volonté les KLARSFELD ont obtenu de la Justice que sortent de l’oubli les auteurs de l’abominable, qu’ils soient mis sur scène et soient condamnés. 

    Rien à attendre de tel de la Justice-peï, juste bonne à pactiser avec les voyous politiques qui pullulent, ICI. Il me faut alors trouver d’autres moyens de mettre au jour toute cette « racaille » qui ne dit pas son nom. Par exemple les prendre une à une, nommément et dévoiler leur vraie nature, publiquement ( Ce que je fais beaucoup plus facilement par mail qu’en distribuant des milliers de tracts dans les rues, comme je l’ai pratiqué pendant des années, ne sachant pas utiliser un ordinateur…). Je m’apprête donc à les jeter en pâture à l’opinion publique, à les « punir », juste avec des mots : « Ni armes, ni violence et sans haine. » Juste des mots !  

    TOUS les Médias-peï ont scrupuleusement respecté les consignes tacites de silence imposées par le système mafieux-peï ; à l’exception du journal en ligne « ZINFOS 974 » avec qui s’est établie une sorte de collaboration ; même si quelques freins subsistent, ils peuvent être dépassés par l’existence de ce blog.  

                                                                   *** 

     Dans le vivier de crapules que j’annonçais dans la rubrique N°16 «  Perspectives d’avenir », j’hésitais à choisir les premiers à être « servis » ; je butais sur la difficulté de dire tout ce qu’il y a à dire sur lesdites crapules ; je vais donc devoir me restreindre à une simple « mise en bouche », à partir de quelques faits les plus remarquables, de façon à pouvoir « traiter » le maximum de coupables en un minimum de temps. 

    Je commencerai par les médias qui décident de ce qui existe ou pas.

     

    SAINT DENIS de la RÉUNION – le 12 décembre 2012.

     

    A vous de réagir ci-dessous et de vous exprimer de façon libre mais correcte. Merci. Ce blog est "modéré" : vos contributions ne seront mises en ligne qu'après validation par l'auteure du Blog. Merci de votre compréhension !


    1 commentaire
  • Je demande à mes lecteurs de ne pas perdre de vue l’ « évènement » à l’origine de cette extravagante affaire :

     

    Soit le projet (longuement prémédité) de mon voisin le tueur GRONDIN, de construire, SANS PERMIS DE CONSTRUIRE, un immeuble d’habitation pour ses deux enfants Karine et David. Cela, afin que ces derniers puissent faire l’économie des taxes locales ; avec la permission des maires de St DENIS, VICTORIA et ANNETTE ; avec la bienveillante complicité des services de l’ÉTAT (Services fiscaux, Police, Préfecture…) et de la Justice administrative et judiciaire… 

    A vous de réagir ci-dessous et de vous exprimer de façon libre mais correcte. Merci. Ce blog est "modéré" : vos contributions ne seront mises en ligne qu'après validation par l'auteure du Blog. Merci de votre compréhension !


    votre commentaire
  • Avant de m’engager dans la mise en accusation des divers « Affiliés-Affidés » pour ce qu’ils ONT FAIT, imbriqué dans ce qu’ils M’ONT FAIT, je crois utile de remettre en mémoire de mes lecteurs l’analyse que j’ai faite de cette « MAFIA » ; cette « MAFIA » très spécifiquement réunionnaise…

    Lire la suite...


    2 commentaires
  • Lors d’un récent retour en arrière dans mes archives – riches de sept ans d’accumulation de mots, à sens unique, et sans écho... – j’ai retrouvé  (surprise !)  un brouillon oublié du 18 Janvier 2008 qui, sous le titre du très classique « J’Accuse… ! » énumérait déjà une longue liste d’accusés-corrompus-peÏ…

    Cette ébauche s’est traduite et condensée en deux tracts diffusés publiquement :

                *Celui du 27 Janvier 2008 signalant mes citations à comparaître – pour « diffamation »...  portant atteinte à l’  « honneur » du quatuor de la Mairie de St DENIS… :

    PERSPECTIVES D’AVENIR…

     

      N.B. : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

     

     

            *Celui du 18 Février2008 mettant en lumière les implications et complicités agglutinées autour du délit de favoritisme du Député-Maire VICTORIA, juste pour permettre à mon voisin, le tueur GRONDIN, de frauder le fisc, dans la satisfaction générale avec , au premier chef l’ « indifférence » des Services Fiscaux de la Réunion… Je décidais de m’engager dans une grève de la faim. :

    PERSPECTIVES D’AVENIR…

     

     

     

    N.B. : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

     

     

    Depuis, cette liste s’est notablement étoffée ; jusqu’aux plus étranges et plus effarantes complicités ! Je vous la livre, en vrac, par ordre alphabétique, telle qu’elle est à cette date du 31 Août 2012 ; sous réserve de possibles oublis…Elle représente le canevas qui me permettra de mettre en cause individuellement les divers contributeurs, acteurs et soutiens avérés de la corruption locale :

     

    *1 – Architectes…*2 – Associations…*3 – Association des Maires…*4 – Avocats…*5 – Chambre Régionale des comptes…*6 – Citoyens-Fraudeurs…*7 – Clergé Catholique…*8 – Conseil d’État…*9 – D.D.E. – D.E.A.L. …*10 – Défenseur des Droits… *11 – Direction Rég.le des Finances Publiques…*12 – Église catholique…*13 – Élus…*14 – État…*15 – Évêque (s)…                   *16 – Fonctionnaires d’État…*17 – Fonctionnaires territoriaux…*18 – Halde…*19 – Huissiers…*20 – I.N.S.E.E. …*21 – Journalistes…*22 – Justice (Ordre administratif)…*23 – Justice ( Ordre judiciaire)…*24 – Magistrature...*25 – Maires…*26 – Médias…*27 – Médiateur de la République…*28 – Parlementaires…*29 – Police municipale…*30 – Police nationale…*31 – Préfets…*32 – Présidents de collectivités…*33 – Voisins…*34 – Divers…

     

    J’ai décidé d’ouvrir ce blog au public après cet article. Les réactions des internautes, quelles qu’elles soient, m’aideront à comprendre encore mieux mon pays d’adoption. Quelles qu’elles soient, ces réactions ne pourront pas m’influencer  dans ce que je me fais un devoir de dire.

     

    A vous de réagir ci-dessous et de vous exprimer de façon libre mais correcte. Merci. Ce blog est "modéré" : vos contributions ne seront mises en ligne qu'après validation par l'auteure du Blog. Merci de votre compréhension ! 


    1 commentaire
  •           Un ami a récemment attiré mon attention sur le fait que, dans ce blog, je fais appel à la « pitié » de mon prochain ; la « pitié » qui est, - chacun le sait, ICI – la colonne vertébrale de la société réunionnaise ; voulue par son « élite » profiteuse et « volontairement sollicitée » par la Réunion « d’en bas »…

     

              J’ai été très choquée de cette perception de mes démarches qui voulaient essentiellement retenir l’attention des lecteurs sur la constance et le volume des moyens ( officiels !) engagés par les pouvoirs réunionnais afin de m’intimer silence… Ce que l’on peut interpréter comme la preuve que ce que je dis et que j’écris, depuis 7 ans, met gravement en danger l’équilibre de la société réunionnaise.

     

              Il est possible, néanmoins, qu’après 50 ans de vie réunionnaise – sans pour autant être « réunionnaise »,demandez à notre AUNG SAN SUU KYI- peï, la Députée-Maire -  Présidente de l’Union des Femmes Réunionnaises, Huguette BELLO – j’aie été un peu contaminée par la mentalité du pays. En professionnelle de la chose humaine, je sais à quel point il faut, ICI, « fé pitié » pour mobiliser l’attention et la solidarité sur une « misère » ; ce qui représente le fonds de commerce de « la radio Free-Dom », grand « pleuroir » de l’île qui peut, ainsi, entretenir – sournoisement – la pitoyable « servitude volontaire » de ses auditeurs…

     

    En attendant, ET si c’était vrai que j’aimerais bien qu’un peu de juste volonté de justice (… et de droit !) se manifeste à mon égard ? Juste pour «  Mettre le respect de la personne au centre de toutes les préoccupations. » (Sic ! – Gilbert AUBRY, Évêque de la Réunion, Président de la Commission « Justice et Paix » - Le Journal de l’Île du 20 septembre 2007.)

     

    En attendant, mon subconscient s’agite ; la preuve ? Il y a trois jours j’ai rêvé qu’un grand élan  de vraie et juste indignation pour tout ce qu’ils m’ONT FAIT, s’était enfin manifesté à mon égard… En rêve : une vue plongeante  sur le devant de l’entrée du Jardin de l’État ; une grande foule, avide de droits, de justice, de devoirs, de dignité, etc…etc… s’est spontanément rassemblée ; et miracle des miracles, il y a plein de journalistes avec armes et bagages, prêts à s’investir dans la « Liberté de la Presse » !!!

    Quand l’assemblée s’est ébranlée, sur la rue de Paris, direction la Préfecture, en un long cortège, moi – qui n’était pas physiquement là... - je n’osais pas en croire mes yeux : voir cette immense et silencieuse procession, toute en noir, avec à sa tête se donnant fraternellement la main, notre Évêque Gilbert  et Huguette, notre « Evita » peï… ; voir, qui suivaient, tous les fervents et passionnés représentants des Droits de l’Homme, des Droits de la Femme, des Droits de ci et des Droits de là, de la somnolente C.O.P.E.C ( !) du bon Préfet LALANDE, les Associations de ci et de ça… et tous ces éplorés « épris de justice »prêts – enfin ! – à en découdre !

     

     Il est probable que ce rêve m’a été inspiré par la mobilisation mondiale en faveur des « Pussy Riot »,  ces minettes révoltées, ces « hooligans » de charme, qui ont osé brocarder un Président russe et déplaire à un Patriarche, l’un et l’autre  totalement dépourvus d’humour… ce qui fait qu’elles doivent en payer le prix fort !

    Comme je l’écrivais au précédent Procureur général, Raymond DOUMAS :

                        «  FORCE  RESTERA  À LA FORCE…  »

    … mais Liberté à qui fera choix de la juste irrévérence aux hiérarchies  et pouvoirs non respectables.

     

    Déjà, je peux témoigner de ce que -  tout comme M. POUTINE et le Patriarche KIRILL – nos « puissants » locaux, du plus grand au plus pâle, ont horreur qu’on les ridiculise ; ça les mets en fureur, tout rouges, prêts à se venger de l’insolent… et, bien au-delà de leurs pouvoirs réguliers, ils le font ! à nous de continuer à dire « non ! ».

     

    En tout cas, ce dont je suis absolument sûre c’est qu’aucun de ceux ou celles qui se sont durement investis pour contribuer à me détruire, n’aurait la force, l’équilibre et le courage dont je fais montre depuis 7 ans. Aucun de ces individus « hauts placés », grassement payés avec l’argent de mes impôts, usant de méthodes de petits truands, alliant bêtise et lâcheté pour « sauver » un fraudeur-tueur de femme, mon voisin GRONDIN et ses soutiens politiques VICTORIA/ ANNETTE, ne « tiendrait » aussi longtemps que moi… OUF !

     

    A vous de réagir ci-dessous et de vous exprimer de façon libre mais correcte. Merci. Ce blog est "modéré" : vos contributions ne seront mises en ligne qu'après validation par l'auteure du Blog. Merci de votre compréhension ! 

     

     


    votre commentaire
  •  

    *François MUGUET, Procureur de la République de St DENIS, juste avant sa déportation à Toulouse, avait concocté pour moi, en  «  cadeau d’adieu », une MISE EN EXAMEN confiée au juge d’instruction ( !) Yann BOUCHARÉ … Tout simplement ! Bien entendu, nous y reviendrons plus tard.

     

    *Michel LALANDE -  Préfet de la Réunion jusqu’au 26.08.2012  -  que j’ai beaucoup malmené en paroles durant son bref séjour  -  a commandité, juste avant son départ, en association avec le Directeur régional des Finances Publiques, Jean-Luc CHEVALLIER, la « captation » de mes avantages vieillesse ; ce, par la force de la LOI, en toute sévérité, en toute discrétion… Afin, de dissuader d’autre « citoyens » de pratiquer la DÉSOBÉISSANCE  CIVILE ainsi que je l’ai officiellement décidé par ma Lettre Ouverte à Michel LALANDE du 02 Février 2011. 

    Cadeaux d’adieu…

     

     

      

    N.B. : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

    Voilà ma réplique du 13 aout 2012 à sa nouvelle « bonne idée »…

    Cadeaux d’adieu…

     

     

    N.B. : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

     

     

    Dans le cas où mes lecteurs ne l’auraient pas compris, je n’ai pas l’intention de revenir sur ce que j’ai décidé le 02 Février 2011. Du moins tant que les services de l’ ÉTAT et la JUSTICE ( pour ne citer qu’eux)  se maintiendront en soutiens affichés de la corruption, ICI, à la Réunion.

     

    A vous de réagir ci-dessous et de vous exprimer de façon libre mais correcte. Merci. Ce blog est "modéré" : vos contributions ne seront mises en ligne qu'après validation par l'auteure du Blog. Merci de votre compréhension ! 

     


    votre commentaire
  • ( …en fonction jusqu'au 26 Août 2012.)

     

    Difficile pour un « profane » d’imaginer la masse de documents rassemblés autour de la très vulgaire « affaire » du tueur de femme Hilaire GRONDIN… Je n’ai pas encore trouvé le temps d’évaluer cette énorme accumulation d’écrits, de les dénombrer, d’en planifier la diffusion et d’établir une priorité de divulgation.

    Parmi cette multitude, j’ai sélectionné trois courriers transmis au Préfet LALANDE ; une prose riche d’enseignements sur le «  travail » de notre Préfet, tel qu’il peut être spécifiquement conçu, ICI, à la Réunion…

     

    *N° - 1 – Je devais m’absenter du département.  Étant admis que TOUT est possible, ICI, à la Réunion j’ai dû – en prévention de possibles « incidents » - prendre quelques précautions ; d’où cette lettre confidentielle du 09 Avril 2010, adressée conjointement au Préfet LALANDE, au Procureur général DOUMAS  et au Directeur de la Police nationale, Philippe TRENEC.

    NOTRE « BON » PRÉFET LALANDE…

     

     

    N.B. : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

     

     

    N° - 2 – Dans cette « Lettre Ouverte » je présente – parmi tant d’autre – un exemple des dispositions prises par les services de l’ État pour aller toujours plus loin dans le choix des tourments susceptibles de « calmer » une administrée-citoyenne menaçant, depuis des années, l’ ORDRE PUBLIC réunionnais…

    Là, j’ai su qu’il était temps de poser de nouveaux actes, « originaux » ; tout simplement en refusant de mettre mes taxes locales ( Foncier et Habitation) à la libre disposition des élus corrompus des collectivités locales. Geste symbolique, certes, mais lourd de signification… ( Lettre Ouverte du 08 Février 2011, adressée conjointement au Préfet M. LALANDE, au T.P.G. M. HOAREAU, au Directeur des Services Fiscaux J.L. CHEVALLIER et au Procureur général,  D. ROBERT-CHARRERAU.

    NOTRE « BON » PRÉFET LALANDE…

     




    N.B. : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

     

    N° - 3 – Le harcèlement moral se perpétue ; encore à ce jour, 04 Août 2012 ( 2012 !!) je suis harcelée – quasiment toutes les semaines ; parfois plusieurs fois dans la même semaine, chez moi ! – par les services de l’État et autres « pouvoirs »…   « C’est pour lui faire peur. » a déclaré à un tiers un des préposés à cette mission…

                   Certes cela paraît totalement invraisemblable, relevant, de ma part, à de la paranoïa, à de la folie, même ! Un fort bon créneau d’ailleurs, lorsqu’on a su, par les médias, que le Préfet LALANDE innovait en matière d’ « apaisement » à ceux qui faisaient un peu trop de bruit, isolés et fragiles : le placement d’office en psychiatrie ; on n’en a plus entendu parler…

    Dieu merci, si je suis déjà un peu fragile – sept ans de front, ça use quand même un peu… -  je ne suis pas isolée. Là, encore, je prends les devants par cette Lettre Ouverte du 02 Mai 2011 adressée à Michel LALANDE ;  à lui seul….

    NOTRE « BON » PRÉFET LALANDE…

     

     

    N.B. : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre 

     

     

     

    Dans l’ « Île de la peur » ( sic – Prosper ÈVE ) mes interlocuteurs et mes lecteurs sont,  pour la plupart, horrifiés par mon discours : «  Ils vont dire que vous êtes folle !! »

    Il est inconcevable que quelqu’un, ICI, à la Réunion, ose s’adresser sur ce ton et en ces termes aux « Dieux » réunionnais. Il est sûr que ce genre de missive adressée à un Préfet    (un Préfet !!) et aux « grandes » autorités de l’île, est une « spécificité » non réunionnaise ; de celles dont nos décideurs ne veulent pas ; pour de limpides raisons.

     

    A vous de réagir ci-dessous et de vous exprimer de façon libre mais correcte. Merci. Ce blog est "modéré" : vos contributions ne seront mises en ligne qu'après validation par l'auteure du Blog. Merci de votre compréhension ! 

     


    votre commentaire
  • (…ceux de l’époque : Le Maire, René-Paul VICTORIA ; l’ élu, Dominique FOURNEL ; le Directeur général, Etienne CHARRITAT ; la Directrice, Brigitte LAMY)

     

    Mais, me direz-vous, vous semblez oublier ceux qui sont à l’origine de cette branlante affaire… Pas du tout ! Seulement, le volume des « minutes » qui leur sont consacrées appelle un très important traitement ; à venir !

    Mais, déjà, je livre ci-après quelques libres écrits à eux dédiés – à :

     

    *René-Paul VICTORIA – (à l’époque, Maire de St DENIS ; Député de la République ; secrétaire de l’U.M.P. Réunion ; chevalier de la Légion d’Honneur ; fervent catholique.)

    Voir Lettre Ouverte du 21.11.2011 à Michel LALANDE, Préfet de la Réunion – Publiée sur le journal en ligne « ZINFOS 974 » le 23.11.2011

    LES "URBANISTES" DIONYSIENS...

     

     

     

    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

      

     

    *Dominique FOURNEL – (à l’époque, élu en charge de l’Urbanisme de St DENIS)

    LES "URBANISTES" DIONYSIENS...

    Voir Lettre Ouverte du 27.12.2011  (Tract)  à D. FOURNEL – Conseiller Régional .

     

    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre 

     

     

     

    *Brigitte LAMY – (à l’époque, Directrice de l’Urbanisme Règlementaire de St DENIS.)

    Voir les Lettres Ouvertes –( Tracts ): du 28.06.2009 à B. LAMY ci-devant Directrice de l’U. R.

                                                          du 25.02.2011 à G. ANNETTE, Maire de St DENIS.

    LES "URBANISTES" DIONYSIENS...

     

     

    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre 

     

     

     

    *Etienne CHARRITAT – (à l’époque, Directeur Général de l’Urbanisme ET, Président de l’Ordre des Architectes de la Réunion…)

    Bien trop inexistant pour lui consacrer du temps… ; il sera question de lui, en ses doubles casquettes, lorsque je mettrai en cause l’Ordre des Architectes de la Réunion de l’époque…

     

    Comme nous l’avons tous compris cette « livraison » n’est qu’un amuse-gueule…

     

     

    A vous de réagir ci-dessous et de vous exprimer de façon libre mais correcte. Merci. Ce blog est "modéré" : vos contributions ne seront mises en ligne qu'après validation par l'auteure du Blog. Merci de votre compréhension ! 


    votre commentaire
  •  

    *  "Affaire Juliette CARANTA-PAVARD" - (Ainsi que l’avait désignée le Procureur général DOUMAS dans son courrier du 25 Novembre 2008.). À noter que le côté "penché" dudit courrier est d'origine : le Procureur général DOUMAS s'était fait une spécialité du "désordre", voire du "tordu"... ( Tract du 15.12.11 sur les Procureurs-peï. ) 

    AFFAIRE Juliette CARANTA-PAVARD

     

     

     

    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre 

     

     

    Avant que d’avoir apostrophé, sans ménagement, le Président du Tribunal administratif, Francis CARBONNEL  -  les dizaines de fax adressés aux quatre responsables de l’urbanisme de St DENIS étant restés sans écho  -  j’ai tenté un contact direct avec le maire VICTORIA :

       *Par une demande de rendez-vous (Fax du 19 juin 2007) Mme TARTAROLLI, secrétaire privée du maire, m’a fait savoir que j’arrivais juste après 5 000 sollicitations, non encore satisfaites…

       *Seule me restait la possibilité de trouver un moyen de forcer la porte ; cela s’est fait sous la forme d’une question écrite du conseiller Michel TAMAYA, interpelant publiquement le maire sur l’affaire Hilaire GRONDIN, lors du conseil municipal du 1er octobre 2007 ; au grand scandale de l’intéressé et de son âme damnée, l’adjoint à l’Urbanisme, Dominique FOURNEL, qui, chargé de répondre, a eu quelque difficulté à assumer…( Extrait du Procès-verbal de séance du Conseil municipal du 1er Octobre 2007)

    AFFAIRE Juliette CARANTA-PAVARD

     

     

    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre 

     

     

     

    Cet éclat s’est soldé par mon expulsion de la salle du Conseil par la Police Municipale.

    C’est donc au cours de ce Conseil du 1er Octobre 2007 que j’ai appris que « la Mairie » avait déposé plainte contre moi auprès du Procureur de la République, François MUGUET.

    Ainsi, lorsqu’il fut clair pour « la Mairie » que je n’entrais pas dans le moule de la « soumission consentie », ses représentants avaient décidé de frapper un grand coup ; je ne pouvais imaginer jusqu’à quel point !! J’ignorais, alors, qu’en la personne de l’avocat Robert CHICAUD, « conseil » de René-Paul VICTORIA, la Mairie avait là un guide de talent, apte à trouver le meilleur choix d’une formule de répression-dissuasion à m’appliquer…

    En outre, l’avocat CHICAUD ne pouvait qu’être fortement motivé devant la perspective d’une année pleine de « défense »… (Je ne sais pas si les honoraires de M. CHICAUD ont été réglés par la Mairie, avec l’argent de mes impôts ; c’est possible ! )

     

    Mais, il m’a fallu attendre le 27 Décembre 2007 – qui, comme par hasard, se trouvait être la date anniversaire de la délivrance par Dominique FOURNEL du plus que tardif « permis de construire » aux consorts GRONDIN, du 27 Décembre 2006… - pour découvrir que la fine équipe, en charge de l’Urbanisme de la Mairie, s’était surpassée pour me faire ma « fête » au cours de cette mémorable journée ; jugez plutôt :

    Journée du jeudi 27 Décembre 2007 :

    .le matin : je découvre ma voiture, garée au 4ème étage du parking Ste Anne, la lunette arrière explosée ! (par un groupe de « jeunes », identifiés et jamais inquiétés…)

    .à midi, arrivée chez moi, je trouve dans ma boîte aux lettres 2 citations à comparaître comme « prévenue », pour cause de « diffamation »… :

          *Le 06 Février 2008, sur plainte conjointe de Brigitte LAMY, Directrice de l’urbanisme réglementaire ( !) et d’Etienne CHARRITAT, Directeur général de l’Urbanisme…

          *Le 29 Février 2008, sur plainte conjointe de René-Paul VICTORIA, maire de St Denis et de son adjoint à l’Urbanisme, Dominique FOURNEL…

     

    J’ignorais, alors, que ces comparutions avaient été programmées «  à rallonge » afin de s’étaler sur TOUTE l’année 2008… Ceci, afin de me « punir » mais aussi de m’  « occuper » à temps plein afin que je ne puisse rien vivre d’autre que cette ignoble persécution,  concoctée et concertée entre les politiques, la magistrature et les petites mains de la Justice, les huissiers… ; un vrai lynchage, par une meute de « pros » !!

    « Prévenue » novice et citoyenne appliquée, je n’ai pas pensé un seul instant à me soustraire à cette VENDETTA digne de petits truands ; tout en décidant de me présenter, chaque fois, seule, SANS AVOCAT, bien déterminée à ne pas m’abaisser à me défendre.

     

         Je précise que le dossier qui  va être présenté ci-après a été rédigé en Février 2009 à l’intention des 54 conseillers municipaux  de la mandature ANNETTE. (Élections municipales du 16 Mars 2008.) Un exemplaire a été transmis – avec décharge – à chacun d’entre eux ; je souhaitais, ce faisant, attirer l’attention des nouveaux élus sur ce que le prédécesseur de Gilbert ANNETTE avait pu commettre… Las !, las !! J’ai été immédiatement dessillée : sur les 43 élus de la majorité destinataires de ce document, un seul, François JAVEL, en a spontanément accusé réception ; les 42 autres se sont courageusement esbignés – dont les 2 fraîchement élues députées BAREIGHT et ORPHÉ… - allant jusqu’à nier avoir reçu le document ! L’avenir était prometteur ; ça se confirmera…

     

          Je reviens à l’exposé détaillé du volet PÉNAL de la judiciarisation de la lamentable affaire GRONDIN/VICTORIA/CARBONNEL/ANNETTE, etc…, etc… qui se présente, ci-après, en 5 pages, soit :

     

          *Lettre ouverte d’introduction ;

          *Tableau en 3 pages : chronologie des comparutions ;

          *Récapitulatif des « investissements » judiciaires.

    Le tout daté du 16 Février 2009.

    AFFAIRE Juliette CARANTA-PAVARD

     

     

     

    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre 

     


          
    Je crois pouvoir faire confiance à mes lecteurs pour avoir apprécié à sa juste valeur cette opération de HARCÈLEMENT MORAL JUDICIAIRE COLLECTIF sur une femme de 72 ans… ; une femme n’ayant rien « commis » d’autre que de clamer, brutalement, la vérité.  Ce qui a valu à la corporation ce courrier du 06 septembre 2009 adressé au Procureur général Raymond DOUMAS et diffusé aux principaux acteurs-décideurs de cette pitoyable affaire : 

    AFFAIRE Juliette CARANTA-PAVARD


    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre 

     

         

     

    Cette première évaluation des dérives de la magistrature réunionnaise (c’est ICI, à la Réunion ; et nulle part ailleurs…) m’a conduite à vouloir partager les fruits de mon extraordinaire expérience ; sous forme de ce tract du 15 Décembre 2011, librement et publiquement diffusé :

    AFFAIRE Juliette CARANTA-PAVARD


    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre 

     

         

    Un de mes amis, psychologue, m’a conseillé un jour de distinguer « ce qu’ILS ont fait » de « ce qu’ILS m’ont fait » ; j’avoue ne pas y parvenir…

          De même, je ne parviens pas à accéder à la grande sagesse de la très célèbre « Mme AUDE »qui sur « la radio FREE-DOM », répète indéfiniment : «  je ne commente jamais les décisions de Justice. »… 

     

    A vous de réagir ci-dessous et de vous exprimer de façon libre mais correcte. Merci. Ce blog est "modéré" : vos contributions ne seront mises en ligne qu'après validation par l'auteure du Blog. Merci de votre compréhension ! 


    votre commentaire
  •  

    Après les trois « décisions » de Francis CARBONNEL et les « avis » de son « Jiminy Cricket » Sabine ENCONTRE, il m’a fallu encore cinq mois pour être totalement convaincue de ce dont j’avais été le jouet. Je résistais, naïve !! ; je ne voulais pas croire qu’un Président de Tribunal Administratif et son « associée » puissent être grossièrement corrompus, jusqu’à la moelle, dans notre belle « démocratie »…

    Affaire Francis CARBONNEL/René-Paul VICTORIA /Hilaire GRONDIN…

     Une fois ce diagnostic posé, c’est parti ! Sous la forme de ce courrier du 23 Octobre 2007 au Président Francis CARBONNEL :

     

    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

     

     

    La réponse de Francis CARBONNEL a été plus rapide que sa programmation du règlement de mon « contentieux » (sic) avec les GRONDIN/VICTORIA ; elle a jailli par retour de courrier du 25 Octobre 2007 ci-après dont je vous laisse apprécier la qualité : juste un petit avertissement de type mafieux afin de montrer qui est le boss…

    Affaire Francis CARBONNEL/René-Paul VICTORIA /Hilaire GRONDIN…

     

     

    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

     

     

    La « qualité » de ce texte m’a amenée à saisir la hiérarchie de Francis CARBONNEL, le Chef de la M.I.J.A. ( Mission d’Inspection des Juridictions Administratives) le Conseiller d’État Marc DURAND-VIEL ; lequel partage avec nos deux lascars-peï le contenu de la « Charte de déontologie des membres de la Juridiction Administrative », pleine de beaux principes dont l’  « indépendance » et l’ « impartialité » !!!  - Fax du 05 Novembre 2007 :

    Affaire Francis CARBONNEL/René-Paul VICTORIA /Hilaire GRONDIN…

     

     

    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

     

     

    Là, encore, la réponse n’a pas traîné venant d’un de ces astres morts qui se raniment à l’idée de pouvoir, en trois « gros mots », mater mon début de rébellion. Il est clair que le « conseiller » n’imaginait pas qu’une justiciable présente une « réclamation » et de surcroît joue les raisonneuses… -  Réponse de Marc DURAND-VIEL du 07 Novembre 2007 :

    Affaire Francis CARBONNEL/René-Paul VICTORIA /Hilaire GRONDIN… 

     

    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

     

     

    Ma réplique du 11 Novembre 2007 ci-après mettra un point final à notre correspondance :

    Affaire Francis CARBONNEL/René-Paul VICTORIA /Hilaire GRONDIN… 

     

    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

     

    Mais le « Grand Magistrat- petit moralisateur » CARBONNEL n’a pas mis ses menaces « d’ « actions judiciaires » à exécution. Il a préféré transférer sa vengeance (Oui, oui, dans ces milieux-là on se venge !) à son petit protégé VICTORIA (C’est fou les petits services qu'on se rend dans ces milieux-là…)

    Mes lecteurs connaîtront bientôt l’ampleur des représailles : ma lettre du 23 Octobre 2007 a dérangé un gros nid de « frelons » qui s’est mis, rageusement, à bourdonner, tous Ordres et Juridictions confondus. Au point que l’année 2008 a été pour moi, toute seulette, une année intensément judiciaire (les détails ne tarderont pas à s’exposer, ici, sur ce blog…) mais pas assez prenante pour que j’oublie de saluer le « Grand Magistrat » lors de son départ pour Toulouse. Mon Fax du 13 Août 2008 ci-après :

    Affaire Francis CARBONNEL/René-Paul VICTORIA /Hilaire GRONDIN… 

     

    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

     

     

    Le temps est passé, toujours lourdement occupé, pour moi, par les suites des « décisions » du « Grand Magistrat » CARBONNEL le « discret, modeste et très respecté » (sic- le Quotidien) « ancien président du Tribunal administratif de St Denis ( 1996 -2008) » (sic) le Quotidien du 27.07.2011, pour valoriser la personne du Grand Prêtre de « Kaloo Bang »… 

    Plus de quatre ans après notre ultime contact, un beau soir, en St Denis de la Réunion, de façon impromptue, j’ai retrouvé face à moi le triste individu qui, en l’an de grâce 2007,avait fait le choix de voler ma vie et celle des miens pour sauver la face du petit voyou VICTORIA et de sa misérable clique…

    Cette rencontre inopinée du 17 Novembre 2011 a donné lieu à une séance originale, en public, décrite dans ce « Courrier des lecteurs » du journal en ligne « ZINFOS 974 » - Article « Juliette CARANTA-PAVARD à Francis CARBONNEL ex-Président du Tribunal Administratif de la Réunion » du jeudi 01 Décembre 2011, ci-après :

    Affaire Francis CARBONNEL/René-Paul VICTORIA /Hilaire GRONDIN… 

     

    NB : pour lire le texte intégral cliquez sur l'image ci-contre

     

     

     

    Pour terminer ce chapitre j’ajouterai :

    *Que le « QUOTIDIEN de la Réunion » a été, au fil des ans, ponctuellement tenu au courant par mes soins, de tous les « événements » se rapportant à l’affaire H.GRONDIN/R.-P.VICTORIA/G.ANNETTE et du rôle majeur qu’y a joué Francis CARBONNEL, Président du Tribunal administratif d’alors. Sans réagir.

    *Que, néanmoins, ce même « QUOTIDIEN » a éprouvé le besoin de « valoriser » l’image du Président de l’Association « 21 DEGRÉS SUD », le grand ordonnateur de la manifestation « KALOO BANG » Francis CARBONNEL, en faisant référence à ses anciennes fonctions de Magistrat ; avec, je le présume, l’assentiment de ce dernier…

    *Que ces références rappelaient que le Président de « 21 DEGRÉS SUD » était l’ « ancien Président du Tribunal administratif de St DENIS [ 1996 - 2008 ] » (sic. Le QUOTIDIEN des 27 Juillet et 31 Août 2011)

    *Que l’utilisation qu’a voulu  faire le journal de cette référence me contraint à apporter un juste et salutaire correctif en dévoilant la véritable personnalité de Francis CARBONNEL.

     Je précise, enfin, que le chapitre « AFFAIRE CARBONNEL… »  n’est en rien clos. Ceci, au regard des multiples interférences de ce premier volet  dans le déroulement « à rallonges » de l’affaire H.GRONDIN/R.-P. VICTORIA/G. ANNETTE. Au fil de ce blog, il est inévitable que le nom du « Grand Magistrat » CARBONNEL revienne régulièrement en rappel dans cette extravagante histoire…

     

    A vous de réagir ci-dessous et de vous exprimer de façon libre mais correcte. Merci. Ce blog est "modéré" : vos contributions ne seront mises en ligne qu'après validation par l'auteure du Blog. Merci de votre compréhension ! 


    votre commentaire
  •  

    Francis Carbonnel, Ex-Président du Tribunal Administratif de la Réunion, « Grand magistrat, discret, modeste, très respecté… - d’une grande rigueur… ». (Le Quotidien de la Réunion du 19 Juillet 2008) – Ah ! , ah ?

     « C’est le loup ! », ainsi s’écrie mon petit-fils, 3ans, découvrant – sur mon ordinateur, plein écran-couleur -  le portrait toulousain du Président CARBONNEL. L’exclamation a fusé ! Il veut parler (Il me plait de le croire…) du loup des « Trois petits cochons », celui qui se déguise ridiculement, espérant tromper ceux d’en face…

    Quelle irrévérence, déjà !! Qui m’amène à parler des déguisements de notre ex-Président de Tribunal Administratif, désormais à la retraite. Parler du « look » de ce « grand magistrat » peut sembler léger ; mais un « look » n’est jamais tout à fait innocent, n’est-ce-pas ?

    *ICI, à la Réunion, Francis CARBONNEL affiche, malgré la gravité de sa fonction, un look décontracté, « cool », ses longs cheveux artistement disposés, teints ( !) en blond vénitien sale ; un look très contrasté avec le masque dur et froid qu’il arbore lorsqu’il officie sur son estrade -  lui, le Président, en personne – dans la remarquable affaire Hilaire, Karine et David GRONDIN/René-Paul VICTORIA…

    *Déporté à Toulouse – après avoir sévi 12 ans à la Réunion… - « La Dépêche du Midi » annonçant sa prise de fonctions, nous le révèle sous un jour bien différent : veston, cravate club, coupe militaire aux cheveux sagement grisonnants, sur le visage, une expression amène ; transfiguré !! Et ce qu’il y a de plus amusant c’est que je suis sûrement à l’origine de cette transformation ; jugez plutôt : (Lire ici) 

    Ainsi, pour ce «  Grand Magistrat » tout se réduit à une apparence. Apparemment, Francis CARBONNEL est un Magistrat, un Président de tribunal qu’on ne pourrait imaginer autrement qu’impartial et intègre ; pourquoi pas ? Las !!

     

    A vous de réagir ci-dessous et de vous exprimer de façon libre mais correcte. Merci. Ce blog est "modéré" : vos contributions ne seront mises en ligne qu'après validation par l'auteure du Blog. Merci de votre compréhension !


    votre commentaire
  •  

    La première chose que nous avons apprise, en 1971, en nous fixant dans le quartier, c’est que nous nous dotions, en même temps, d’un voisinage pour le moins inquiétant : M. Hilaire GRONDIN, notre plus proche voisin, avait, deux ans auparavant, tué froidement son épouse et blessé l’amant ; avec préméditation. Un assassin ! – pas tout à fait le genre de proximité espérée par une famille avec deux très jeunes enfants … Et plus grave encore, ledit assassin – comparaissant libre ! – avait été acquitté de ce crime, sous les applaudissements de la foule !! (Journal de l’île du 16 décembre 1970)

    Imaginez l’effet que peut produire sur tel individu, l’approbation de la Justice et du public « légitimant » de tels actes !

    Ainsi, en 1970, ICI à la Réunion, l’infidélité méritait la mort pour LA coupable et l’assassin, auteur d’un « crime passionnel », s’attirait une unanime sympathie…

    Pendant plus de 30 ans, nous n’avons jamais perdu de vue ces faits, tous ces faits ; d’autant qu’Hilaire GRONDIN se posait en homme très sûr de lui et de ses «  droits » de voisin…Nous avons donc fait en sorte de tenir de fermes distances avec ledit voisin ; moyennant cela, aucun problème majeur n’est survenu durant cette période. Nous étions loin de nous imaginer, alors, que les « problèmes majeurs » surgiraient des décennies après…

    À mon insu, Hilaire GRONDIN et ses deux enfants adultes (David, né le 31.07.1975 et Karine, née le 24.07.1982) avaient prémédité, dès 2004, de construire pour ces deux derniers un immeuble accolé à ma propriété. Ce projet était délibérément concocté pour se réaliser hors lois et règles, tant au point de vue technique que légal, et – bien entendu – sans permis de construire ; tout cela avec l’aimable « permission » du Député-Maire d’alors, René-Paul VICTORIA ; « permission » qui a été par la suite prorogée, en 2008, par Gilbert ANNETTE, nouveau maire de St DENIS, garant du bon achèvement du chantier…

    (Dans le cadre de cette affaire, David et Karine GRONDIN, dignes enfants de leur papa, se sont rendus coupables de faux et d’usage de faux ; toujours avec la même aisance !)

    L’immeuble HORS LA LOI  - ô combien ! -  dont la construction a été engagée début  Décembre 2005,  a été achevé en force, en 2010, avec la complicité des deux maires de St DENIS,  du Préfet MACCIONI, via le service de la Légalité de la Préfecture, mais aussi du Préfet Michel LALANDE et enfin, de celle du Président du Tribunal Administratif de la Réunion d’alors, Francis CARBONNEL – magistrat  corrompu  -  en collaboration avec la «  Commissaire du Gouvernement- Rapporteur Public »… Sabine ENCONTRE…

    Ces deux derniers personnages-clé  dans l’affaire GRONDIN/VICTORIA/ANNETTE feront l’objet d’un prochain chapitre.

    A vous de réagir ci-dessous et de vous exprimer de façon libre mais correcte. Merci. Ce blog est "modéré" : vos contributions ne seront mises en ligne qu'après validation par l'auteure du Blog. Merci de votre compréhension !


    votre commentaire


  • 1°- Les acteurs et soutiens de la corruption disposent d’une grande liberté de mouvement et de décision, aidés par la triste « Servitude volontaire » dont la majorité silencieuse n’est pas près de se défaire. Paradoxalement – ou pas – la violence est reine ICI.

     2°- La Mafia réunionnaise n’a pas de chefs, pas d’organisation ; les contacts utiles s’établissent, plaisamment, au cours des nombreux raouts « mondains », à la Préfecture, dans les Palais de Justice et autres administrations.

     3°-Cette Mafia implique et compromet – ouvertement, délibérément – TOUS les pouvoirs locaux ; dont, les principaux : l’ÉTAT, LA JUSTICE, LES MÉDIAS ET … L’ÉGLISE CATHOLIQUE.

     4°- Aucun des médias locaux, pourtant bien au fait de cette gangrène, n’y fait allusion ; bien au contraire, ils s’autocensurent pour ne pas déplaire et conserver ainsi le juteux marché de la publicité dont les politiques réunionnais sont prodigues. Pas de « liberté de la presse » donc, ICI, à la Réunion, où par surcroit, la Justice est très, très sévère en cas de « diffamation » ; alors, autant être prudent…

    5°- La «  Mafia », version locale, ne produit aucun « repenti ». Jamais un ( ou une…) de ses affiliés n’a à faire acte de contrition ou doive faire repentance pour les préjudices portés à la société réunionnaise ; ils gardent, fièrement, leur défroque sale toute leur vie ; rarissimes sont ceux qui sont condamnés à la mesure de leurs délits, maintenant moins que jamais. La Magistrature-peï, odieusement corrompue, est très compréhensive… Les Préfets-peï – grands amateurs d’ « ordre public » et de « paix sociale »  - dans les limites de leur séjour – satisfaits…

    6°- Enfin, la Mafia réunionnaise est une Mafia «  douce » : elle ne tue pas ; pas directement… Sa spécialité mafieuse est la persécution, concertée entre TOUS les pouvoirs, organisée et programmée avec les moyens de la collectivité. Appliquée et insistante, elle peut s’exercer sur le long terme…

    7°- En clair, la « Mafia » réunionnaise n’est pas une « Honorable Société » qui s’assume mais un climat fait de connivences, de mépris des autres, de petits « arrangements » et d’abus en tous genres.


    A vous de réagir ci-dessous et de vous exprimer de façon libre mais correcte. Merci. Ce blog est "modéré" : vos contributions ne seront mises en ligne qu'après validation par l'auteure du Blog. Merci de votre compréhension !


    votre commentaire
  •  

    À cause de sa neutralité, il m’a paru intéressant de publier d’abord l’ « Histoire » racontée par un tiers non concerné mais néanmoins informé.(« Défendre son droit à la Réunion » - par Didier MÉRY) .

    Le document qui suit, plus précis, détaille l’histoire, de son point de départ le 03 Décembre 2005 (Ouverture du chantier GRONDIN) jusqu’au 10 Décembre 2010, où, ayant rassemblé mes esprits, j’ai pu enfin clairement diagnostiquer le FAIT de CORRUPTION AVÉRÉ, nourri par la complicité flagrante de TOUS les pouvoirs locaux. (J’avais rédigé ce document, en Décembre 2010, sur demande de Christian VITTORI, Éditions Azalées – pour servir d’introduction à une espèce de « WIKILEAKS 974 » dont j’avais à fournir la matière à M. VITTORI qui se chargeait,  lui, de la diffusion ; le projet n’a pas abouti M. VITTORI s’étant rétracté…).

     

    URBANISME REGLEMENTAIRE

    DE LA VILLE DE SAINT-DENIS

    DE LA REUNION

    ***************** 

     

    Affaire Hilaire, David et Karine GRONDIN / René–Paul VICTORIA / Gilbert ANNETTE :

     

    ü CONSTRUCTION ILLEGALE

    ü PERMIS DE CONSTRUIRE DE COMPLAISANCE

    ü CONSTRUCTION NON CONFORME

    ü FAUX ET USAGE DE FAUX

    ü CLIENTELISME - FAVORITISME

    ü FRAUDE FISCALE

    ü ETC…ETC…

     

    « Si vous saviez, Madame, ce qui se passe dans ce service ! » - Novembre 2005 – Un agent du service de l’Urbanisme Réglementaire de la Mairie de SAINT DENIS de la RÉUNION …

     

     *****************

     

      BREF RÉSUMÉ du POINT de DÉPART de l’ « AFFAIRE » …

     

    * Le 03 Décembre 2005 : 

    Mes voisins, les consorts GRONDIN, ouvrent un chantier en limite de ma propriété. Après d’importants terrassements, ils engagent la construction d’un immeuble ; sans qu’apparaisse l’affichage légal d’un permis de construire… 

    * Le 18 Avril 2006 : 

    Je prends mon premier contact officiel avec l’Urbanisme réglementaire de la mairie de Saint-Denis. J’y apprends que les GRONDIN ont déposé une demande de permis de construire, le 05/12/2005. Restée sans réponse, à ce jour. 

    Du 24 au 27 Avril 2006 : 

    J’adresse, de plus en plus alarmée, 16 fax de signalement à l’Urbanisme réglementaire de la mairie de Saint-Denis, lequel ne bouge pas ! 

    * Le 27 Avril 2006 : 

    Je saisis par lettre recommandée avec accusé de réception, le maire de Saint-Denis, René-Paul VICTORIA, et je dépose plainte auprès du procureur de la République, François MUGUET (ladite plainte, réitérée, sera classée sans suite le 23/08/2007…). 

    * Le 27 Avril 2006 : 

    Sur mon signalement, un journaliste du JIR intervient auprès de l’Urbanisme réglementaire et, par ce simple fait, contraint la mairie à réagir (la construction est largement engagée : fondations, première dalle, façades, dont l’une en limite extrême de ma propriété…). 

    * Le 27 Avril 2006 : 

    10 jours de « réflexion » y ont été nécessaires, mais les choses se précipitent :

    -          Brigitte LAMY, directrice de l’Urbanisme réglementaire, ainsi que la police municipale, viennent sur place « constater » l’illégalité du chantier et le non respect du PLU de Saint-Denis ;

    -          un arrêté interruptif de travaux est pris, le jour même, contre ce chantier. 

    * Le 30 Avril 2006 : 

    Sous le titre « permis tardif mais bafoué », le JIR révèle l’histoire… 

    * Le 04 Mai 2006 : 

    La demande de permis de construire, déposée le 05/12/2005 est rejetée sous la signature de l’adjoint délégué à l’urbanisme de la mairie, Dominique FOURNEL – entre autres motifs du refus, « pour incohérence » (sic). 

    * Le 06 Juin 2006 : 

    Un courrier de Dominique FOURNEL me confirme, par le détail, les dispositions prises contre cette réalisation ; hormis la démolition de l’existant hors la loi… Le chantier reste en sommeil pendant les 8 mois qui suivent. Il se confirme qu’aucune décision n’est prise pour faire procéder à la destruction de ce qui existe, illégal, irrégulier (ô combien !) et… « incohérent » (sic).

    * Le 26 Novembre 2006 :

     Je m’absente du département et ne rentrerai que le 03 Mars 2007 (ce détail a une importance capitale dans ce qui va suivre).  

    * Le 27 Décembre 2006 : 

    Un permis de construire, signé Dominique FOURNEL, est délivré aux GRONDIN. Manœuvre ayant pour but de permettre à ces derniers de continuer les travaux engagés hors lois et règles.

    Présenté, administrativement, comme un « projet » grâce à la complicité, es qualité, d’un architecte et par le biais d’un faux, établi de concert par les GRONDIN et leur artisan (entreprise SINABAT). Soit un « procès-verbal de commencement de travaux » qui, en date du 03/01/2007, atteste que le chantier « …débute le 03/01/2007 », 7 jours après l’attribution du permis de construire du 27/12/2006, un an après le vrai « commencement de travaux » le 03/12/2005 (c’est très grossier, mais ces nouveaux délits feront foi et donneront satisfaction – on le verra –  à Francis CARBONEL, président du tribunal administratif). 

    * Le 07 Mars 2007 : 

    Je saisis le tribunal administratif de ce qui précède, présentant 2 requêtes en référé suspension et 1 requête en annulation du permis de construire du 27/12/2006. L’affaire a été jugée par le Tribunal Administratif du 07 Mars 2007 au 15 Novembre 2007. Je suis déboutée partout, partout ! par le président Francis CARBONNEL, lequel complète son œuvre en me condamnant à verser 1000 Euros de « dédommagement » à la mairie de René-Paul VICTORIA. La décision se veut dissuasive… 

                                       

                                               **************** 

     

    Ainsi débute le Volet Pénal de ce qui va devenir l’ « affaire Juliette CARANTA-PAVARD » (sic) par la subtile et souveraine définition du procureur général Raymond DOUMAS (confirmée par son courrier du 25/11/2008). Il n’y a plus, il n’y a jamais eu, une « affaire GRONDIN/VICTORIA/ANNETTE ». Pourquoi Gilbert ANNETTE ? Parce que le successeur de René-Paul VICTORIA à la mairie de Saint-Denis a eu à cœur d’accompagner de sa bienveillance l’achèvement de l’immeuble GRONDIN, objet d’une procédure pour le délit de non-conformité auprès du procureur de la République, Richard BOMETON… 

     

                                               *****************

    Pour terminer, je crois utile d’ajouter que, ayant moi-même déposé le 04 Octobre 2004, à l’Urbanisme réglementaire de Saint-Denis, une demande de permis pour reconstruire, à l’identique, le rez-de-chaussée familial à Bellepierre, j’ai eu la surprise de découvrir un traitement de ce dossier plus que surprenant de rigueur. J’ai dû, alors, affronter les très lourdes tracasseries de la directrice de l’Urbanisme réglementaire, Brigitte LAMY, ce, avant, pendant et après la réalisation de ce projet (lequel avait été programmé et conduit de ma part, en parfaite transparence administrative et légale). Je ne comprenais pas pourquoi… Jusqu’à la révélation des actes délictueux de mes voisins GRONDIN et des délits avérés de leur « protecteurs » de la mairie de Saint-Denis (le député maire René-Paul VICTORIA et son successeur à la mairie Gilbert ANNETTE) qui m’ont prouvé que tous les dossiers de permis de construire n’étaient pas traités d’égale façon, bien loin s’en faut !! 

    Sans conteste, l’ « amitié » s’en mêlait… 

    Suffoquée par la découverte de cette incroyable discrimination, je me suis appliquée – confiante en la JUSTICE de mon pays – à prospecter TOUS les moyens susceptibles de rétablir DROIT et égalité de traitement dans cette première affaire. EN VAIN ! 

    INEXPLICABLEMENT – au nom du DROIT ! – j’ai été – je le répète – déboutée partout, partout ! Et, par surcroit, persécutée à l’infini par un ennemi innombrable, et lourdement condamnée, en « coupable ébahie…, sur plainte des voyous municipaux (René-Paul VICTORIA, député maire, Dominique FOURNEL, élu en charge de l’Urbanisme réglementaire, Etienne CHARRITAT, directeur général des services et, accessoirement, président de l’ordre des architectes…) et Brigitte LAMY, directrice de l’Urbanisme réglementaire !!). La JUSTICE-PEÏ parlait… 

    Engagée en résistance et en justes dénonciations, seule, face à tous les pouvoirs locaux, ayant uni leurs efforts et rassemblé leurs moyens pour me « calmer » (sic, Police nationale, janvier 2008), j’ai enfin compris qu’à partir de ce cas particulier – « Un problème de voisinage » (sic) m’assurait le préfet MACCIONNI dans son courrier du 07/09/2007 – nous allions vers un « général » explosif touchant les très graves dérives urbanistiques de TOUT le département ! 

    J’ai enfin compris qu’il était URGENT pour ces pouvoirs de continuer à les camoufler, à n’importe quel prix. Au risque, sinon, de nuire, par l’application de la Loi, à l’économie souterraine de l’île. 

    Au risque, aussi, et ce n’est pas anodin, de mettre au grand jour le rôle des pouvoirs locaux dans la pérennisation de ce système frauduleux. Rôle compromettant gravement l’ÉTAT et ses services (DDE, Services fiscaux, police, etc…), la JUSTICE (ordre administratif  et judiciaire, bras armés de la corruption…), l’ÉGLISE CATHOLIQUE (…) et les MÉDIAS (en particulier la presse écrite, JIR et QUOTIDIEN, férocement concurrents, mais unis dans ce cas par une complicité de silence sans faille… L’OMERTA). 

    Alors, comment comprendre, autrement, qu’une JUSTICE-PEÏ si douloureusement privée de moyens tels qu’encre, papier, codes, juges, greffiers, etc… (V. articles du JIR et du Quotidien novembre 2010) en ait engagés de si lourds et de si spectaculaires (en une absolue discrétion, il est vrai…) depuis mars 2007… 

     

                   …Juste pour me faire taire ???

                         Juliette CARANTA-PAVARD – St DENIS le 10 Décembre 2010

     

    N.B. : LE 26 Avril 2011, j’ai fait tenir par FAX, ce document assorti du commentaire suivant : « La copie de ce document, en 5 pages, a été transmise à Sabine ENCONTRE, «  Rapporteur Public » alias « Commissaire du Gouvernement », en 2007. Tous les deux vendus au « sistèma », elle a été la complice du Président (du T.A. …) Francis CARBONNEL dans les « jugements » proclamés en faveur du tueur de femme, Hilaire GRONDIN, protégé en ses délits par le Député-Maire, René-Paul VICTORIA. »  aux  destinataires suivants :  

    *Jean BRENIER – Président du Tribunal Administratif de la Réunion

    *Michel LALANDE – Préfet de la Réunion

    *Denis ROBERT-CHARRERAU – Procureur Général de la Réunion

    *Gilbert AUBRY – Président de la commission « Justice et Paix » de la Réunion

    *Le J.I.R. – Journal de l’Île de la Réunion

    *Le QUOTIDIEN

    *Et Libre Diffusion.

     

    A vous de réagir ci-dessous et de vous exprimer de façon libre mais correcte. Merci. Ce blog est "modéré" : vos contributions ne seront mises en ligne qu'après validation par l'auteure du Blog. Merci de votre compréhension !


    votre commentaire
  •  

    Extrait du site Internet www.didiermery.re

    Défendre son droit à la Réunion
    Par Didier Mery, samedi 25 octobre 2008 à 05:13 

    Quand on achète une maison avec un jardin à la Réunion, on n’est jamais à l’abri de la construction d’un immeuble devant chez soi (sauf si vous vivez au bord d’une ravine). Ceci est d’autant plus vrai même si vous aviez vérifié auparavant la non-faisabilité d’un tel projet par rapport au PLU de votre commune. Un règlement de zone n’est pas éternel et peut très bien être modifié.

    Je ne veux pas vous faire peur, mais il faut le savoir. 

     

     Affaire Pavard-Grondin

    Maintenant, que pouvez-vous faire si on projette de construire un immeuble en face de chez vous ? vers qui pouvez-vous tourner ? comment procéder ? vous devez faire face à des tas de questions qui s’additionnent comme les étages de l’immeuble d’en face (je sais, c’est pas drôle).

    Vous pouvez vous renseigner au CAUE, à l’association AUC mais aussi vous rendre à l’Urbanisme de votre commune, leur demander des explications.

    En attendant, permettez-moi de vous raconter l’histoire de Madame Juliette Caranta-Pavard

    Madame Juliette Caranta-Pavard a 72 ans et vit à Bellepierre, un quartier de Saint-Denis depuis + de 35 ans. Tout allait bien jusqu’en décembre 2005, le jour où son voisin a coupé les jolis manguiers et laissé place à un BOB4 pour s’occuper du terrassement. Madame Pavard n’avait aucune raison de s’inquiéter, vu qu’il n’y avait aucun panneau d’affiché, elle s’était dit que c’était sûrement dans le but de réaliser un mur de clôture. Les jours et les semaines passent, les travaux avancent et là, Madame Pavard se rend à l’évidence : il s’agit de la construction d’un IMMEUBLE et non d’un mur. Elle se rend de suite à l’Urbanisme et on lui répond que le permis de construire est à l’étude. A l’étude ? cela signifie que le voisin avait déjà commencé les travaux avant même de savoir s’il allait obtenir son permis de construire (j’ai toujours pensé qu’être sûr de soi était une qualité mais là quand même, le voisin, il a fait fort !).

    Madame Pavard, en bonne citoyenne prévient donc l’Urbanisme sur ce qui se passe près de chez elle, mais les parpaings continuent d’être montés car il n’y a aucune réaction. Déçue de la tournure des évènements, Madame Pavard décide de contacter la presse. Un journaliste du JIR mène son enquête et un article relatant les faits sortira le 30 avril 2006. Sentant le vent venir, l’Urbanisme, accompagnée de la Police Municipale viennent sur place pour arrêter le chantier le 27 avril 2006. Une semaine plus tard (le 4 mai), le permis de construire est refusé. Ni une, ni deux, il refait une demande de permis mais cette fois il s’aide des compétences d’un Architecte. Rien n’y fait, deuxième refus. A force de patience et d’obstination, le voisin réussit à obtenir ce fameux permis de construire le 27 décembre 2006. Je suis incapable de vous dire si c’est à cause du dicton « jamais deux sans trois » ou bien l’absence prolongée de Madame Pavard (partie en Métropole, voir ses petits enfants), toujours est-il que lorsque cette Dame rentre chez elle, c’est pour s’apercevoir que le recours aux Tiers de 2 mois est caduc.

    Beaucoup d’entre nous, aurait déjà jeté l’éponge mais il faut reconnaître une qualité à Madame Pavard, celle de ne jamais renoncer. Forte de son droit, elle présente 2 requêtes en reféré suspension qui seront rejetés (ainsi que la requête en annulation du Permis de Construire) par le Tribunal Administratif en 2007. Cependant, Madame Pavard est toujours en litige avec son voisin, car il réclame maintenant le « droit » d’accéder chez elle pour terminer l’étanchéité de sa façade en justifiant donc de son « droit » du « tour d’échelle ».

    Affaire Pavard-Grondin

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Aujourd’hui Madame Pavard a des problèmes avec la justice car en essayant de défendre ses droits de citoyenne, elle s’est mise à dos certaines personnes haut-placées qui la portent depuis un an, en diffamation devant les Tribunaux. Justice, Justice….Audiences le 30 octobre et le 06 novembre…

    L’histoire de Madame Pavard est bien sûr l’exemple d’un cas extrême, il ne faut pas oublier que cela peut arriver à n’importe qui…

     

    A vous de réagir ci-dessous et de vous exprimer de façon libre mais correcte. Merci. Ce blog est "modéré" : vos contributions ne seront mises en ligne qu'après validation par l'auteure du Blog. Merci de votre compréhension !


    1 commentaire
  •  

    • Après sept ans d’immersion dans les arcanes de la « Mafia » réunionnaise. Après sept ans de silence mafieux, je veux « casser » l’Omertà.
    • Pour émerger de la censure pratiquée, ICI, à la Réunion, je me vois dans l’obligation d’avoir recours à l’Internet…à l’instar des dissidents-résistants des régimes autoritaires… !

    • La « Liberté d’Expression », je veux lui donner tout son sens, toute sa dimension ; et toute sa valeur ! Et, ainsi aller plus loin que je ne l’ai déjà fait dans le devoir de dénonciation.

    • Depuis sept ans que dure cette « affaire », j’ai toujours assumé tous mes dires, tous mes actes et signé de mes noms tous mes écrits. De même, toutes les personnes ayant figuré dans cette affaire, à quelque titre que ce soit, l’ont été sous leur identité et, ensuite, en leur titre ou fonction.

    • Notre Préfet actuel, Michel LALANDE, affirme que nous sommes, ICI, à la Réunion, «  en pays de droit » (sic). J’ai la «  naïveté » de le croire…

       

      A vous de réagir ci-dessous et de vous exprimer de façon libre mais correcte. Merci. Ce blog est "modéré" : vos contributions ne seront mises en ligne qu'après validation par l'auteure du Blog. Merci de votre compréhension ! 


    1 commentaire
  • Tous les faits et leurs conséquences touchant la construction illégale à la Réunion.

    * Quelques faits : 

    * La construction sans permis de construire ; « sauvage » et hors normes elle est une pratique courante et délibérée, ICI, à la Réunion. 

    Les permis de construire de complaisance, attribués d’emblée, hors règles de l’urbanisme, ou délivrés a posteriori, une fois la construction sciemment engagée ou même carrément achevée, hors normes et sans permis de construire « préalable »…

    Les « Régularisations » automatiques et abusives sur des constructions  illégales et non conformes.( Ce qui fut désigné par le Conseil d’État comme une « possibilité » pour un cas particulier, en Octobre 1956 ( !) est devenu LA Règle, ICI, à la réunion…). 

    * Les « Permis modificatifs » réitérés pour tenter de faire « coller » la réalité à ce qui aurait dû être exigé via les procédures obligatoires… 

    L’absolue impunité couvrant et encourageant ces délits à commencer par le délit de clientélisme commis par les Maires au profit de leurs « amis » souvent nantis… Cette impunité est instituée par la magistrature locale, tant Administrative que Judiciaire. 

    Les conséquences : 

    * Gravissimes et infinies sur les voisins des délinquants ; particulièrement lourdes sur ceux qui ne sont pas d’accord et qui le manifestent haut et fort… 

    La Fraude fiscale qui découle de toute cette construction sans existence légale crée forcément un manque à gagner dans le budget des collectivités ; qui se rattrapent en…augmentant les taxes locales… au préjudice de la communauté… 

    * Par un effet « dominos », beaucoup de désordres sont créés de toutes pièces par cette  gestion  qui va bien au-delà de la malhonnêteté…

     

    A vous de réagir ci-dessous et de vous exprimer de façon libre mais correcte. Merci. Ce blog est "modéré" : vos contributions ne seront mises en ligne qu'après validation par l'auteure du Blog. Merci de votre compréhension ! 


    1 commentaire
  • Je me présente :  Je m’appelle Juliette CARANTA-PAVARD. Je suis née à Hyères, dans le Var, en 1936. Je suis petite-fille et fille d’immigrants piémontais des années 1914 et 1930.    ( Ma mère a été une émigrée clandestine, terrorisée, de 16 ans.  Ses parents sont morts, brutalement, tous les deux dans la même semaine, de la Grippe Espagnole, laissant seuls 6 enfants âgés de 14 ans à 11 mois ; tous ont survécu…). A l’époque, les français  « de souche » désignaient ces envahisseurs piémontais sous le nom de « Bâbi », crapaud, en Provençal.

    Il n’y a pas eu d’esclaves ni d’esclavagistes dans ma famille. A son arrivée en France en 1914, mon grand-père paternel a dû, cependant, vivre à l’égal d’un serf  sur les « domaines » viticoles des propriétaires terriens «  français de souche » varois ; l’exploitation de l’Homme se faisait à travers le dur travail de la terre. Malgré cela, parce que dans leurs villages montagnards mes ancêtres ont été des Hommes LIBRES, dans leurs gènes, ils ne l’ont jamais oublié ; la preuve…

    Ma famille a pris racine. Ces gens-là ont profondément respecté leur terre d’accueil, se signalant par leur courage à la tâche et leur honnêteté. Le jour où un courrier est arrivé  - avec le « décret-loi » annonçant que désormais le groupe familial jouissait de la nationalité française – il y a eu, toute la journée, un grand silence à la maison…

    Ma famille est (discrètement) très honorablement connue à Hyères, depuis bientôt cent ans.

    J’ai fréquenté l’école publique jusqu’à 14 ans. Mon premier métier a été la terre. A ma majorité (21 ans) j’ai sauté du champ de choux à l’école d’Infirmières et d’Assistantes sociales de la Croix Rouge de Toulon. A la fin de ma formation, j’ai été recrutée par la Caisse Générale de Sécurité Sociale de la Réunion comme Assistante sociale ; sur  un poste resté vacant depuis deux ans, faute de postulants.

    Je suis arrivée à la Réunion le 2 juillet 1962, juste après le cyclone « Jenny ». J’ai ouvert la toute première permanence sociale de la C.G.S.S. au dispensaire de P.M.I. de St Benoît, dans les mois qui ont suivi ma prise de fonctions. Pendant 35 ans d’activité, j’ai travaillé comme Assistante sociale de base, puis comme responsable du Service social spécialisé de l’organisme. En 1987, j’ai créé un Service d’Information pour la Santé et je m’y suis investie jusqu’à mon départ en retraite, en 1996.

    Durant ces 50 ans de vie au Pays, je me suis appliquée à rester digne des qualités de courage et d’honnêteté de mes aïeux et parents. J’ai choisi de terminer ce qui me reste de vie à la Réunion.

     

    A vous de réagir ci-dessous et de vous exprimer de façon libre mais correcte. Merci. Ce blog est "modéré" : vos contributions ne seront mises en ligne qu'après validation par l'auteure du Blog. Merci de votre compréhension !


    19 commentaires
  • Lors de mes premiers contacts avec la population de mon secteur, à mes clients venus à la permanence demander un « secours du gouvernement », je répondais : «  Je vois que vous avez là des fiches de paie ; nous allons d’abord voir si vous avez des droits ; si oui, je suis payée pour vous aider à les faire valoir. »

    Je n’ai pas changé d’un iota : ayant pour goût et pour habitude de me soumettre aux lois de mon pays, je préfère – toujours et partout – revendiquer des DROITS plutôt que quêter des « bienveillances ». Ces «bienveillances » tellement prisées ICI, à la Réunion, où les lois et règles sont allègrement, impunément, triomphalement bafouées…

    La Réunion où la seule loi, scrupuleusement appliquée, est la loi du silence…

    Il est donc possible de vivre des décennies, ICI, à la Réunion sans savoir. Puis, un jour votre vie ( la mienne…) bascule ; vous vous retrouvez, stupéfait, dans la tourmente, aux prises avec la « Mafia » réunionnaise !

    « La MAFIA réunionnaise ?? Mais que dites-vous là, Madame !!??

    De fait, l’île de la Réunion est , aux yeux du Monde, ce que la minorité agissante et profiteuse de l’île a intérêt de faire croire, ICI et ailleurs : une île « intense » de beauté et de plaisir de vivre ; pour TOUS !

    A l’évidence, nous ne sommes pas ICI, à Naples ou à Palerme ; la « Mafia » réunionnaise est, je dirais, une mafia de soupe populaire, style « Une louche à toi – une louche à moi ».  Cependant, le « sistema » réunionnais  fonctionne selon les mêmes pratiques que les vraies Mafias, à base d’intimidations, de menaces, de représailles et d’omertà…

    Parmi les très nombreux scandales qui éclaboussent ce département français, il y a celui de l’urbanisme « sauvage », avec ses constructions sans permis de construire ; ses bétonnages de bric et de broc – néanmoins « REGULARISES » à tour de bras par les services de l’Urbanisme Règlementaire des mairies ; ses permis de complaisance, délivrés par les mairies, au mépris des lois et règles…

    Le sujet est explosif. Mais c’est ce scandale-là qui me mobilise parce que des cas précis et flagrants de constructions illégales ont généré des faits extrêmement graves sur ma vie et sur celle de ma famille. Comme dans tout système mafieux…

    Il faut savoir que le jour où votre vie bascule, vous restez là, pétrifié de surprise en découvrant la « gestion » de ce bout d’  « Etat de droit ». Indigné, vous décidez de dire NON !, de résister et de réagir. Alors, vous vous retrouvez seul ( seule ! ) face au front uni des affiliés et des aspirants-affiliés. Et – ô surprise ! – même les victimes de « ça » vous en veulent de faire trop de bruit ! Il est clair que vous dérangez l’ordre des choses : ICI, à la réunion, TOUT se sait mais RIEN ne doit se dire…

    Alors, nos Préfets, très attachés à l’ « ordre public » lancent la machine à étouffer les scandales, tous moyens rassemblés ; au premier rang, ceux de l’Etat et ceux de la Justice préposés à vous «  calmer ». ET – spécificité locale -  aucun FALCONE, aucun SAVIANO, aucun LAS CASAS ; jamais !! Pas un seul doigt levé en faveur du Droit et de la Justice ; pas une voix, JAMAIS !!

    Mais il sera temps, pour les internautes le souhaitant, de découvrir la suite : sept ans, déjà, de dure résistance et d’intense guérilla au pays de la douceur de vivre ; ce pays que Prosper EVE, historien local, désigne comme «  l’île de la peur » et moi, comme l’île du mensonge-roi…

     

    A vous de réagir ci-dessous et de vous exprimer de façon libre mais correcte. Merci. Ce blog est "modéré" : vos contributions ne seront mises en ligne qu'après validation par l'auteure du Blog. Merci de votre compréhension !


    votre commentaire