• 6-Affaire H.Grondin/R.-P. Victoria (J.Pavard)

     

    À cause de sa neutralité, il m’a paru intéressant de publier d’abord l’ « Histoire » racontée par un tiers non concerné mais néanmoins informé.(« Défendre son droit à la Réunion » - par Didier MÉRY) .

    Le document qui suit, plus précis, détaille l’histoire, de son point de départ le 03 Décembre 2005 (Ouverture du chantier GRONDIN) jusqu’au 10 Décembre 2010, où, ayant rassemblé mes esprits, j’ai pu enfin clairement diagnostiquer le FAIT de CORRUPTION AVÉRÉ, nourri par la complicité flagrante de TOUS les pouvoirs locaux. (J’avais rédigé ce document, en Décembre 2010, sur demande de Christian VITTORI, Éditions Azalées – pour servir d’introduction à une espèce de « WIKILEAKS 974 » dont j’avais à fournir la matière à M. VITTORI qui se chargeait,  lui, de la diffusion ; le projet n’a pas abouti M. VITTORI s’étant rétracté…).

     

    URBANISME REGLEMENTAIRE

    DE LA VILLE DE SAINT-DENIS

    DE LA REUNION

    ***************** 

     

    Affaire Hilaire, David et Karine GRONDIN / René–Paul VICTORIA / Gilbert ANNETTE :

     

    ü CONSTRUCTION ILLEGALE

    ü PERMIS DE CONSTRUIRE DE COMPLAISANCE

    ü CONSTRUCTION NON CONFORME

    ü FAUX ET USAGE DE FAUX

    ü CLIENTELISME - FAVORITISME

    ü FRAUDE FISCALE

    ü ETC…ETC…

     

    « Si vous saviez, Madame, ce qui se passe dans ce service ! » - Novembre 2005 – Un agent du service de l’Urbanisme Réglementaire de la Mairie de SAINT DENIS de la RÉUNION …

     

     *****************

     

      BREF RÉSUMÉ du POINT de DÉPART de l’ « AFFAIRE » …

     

    * Le 03 Décembre 2005 : 

    Mes voisins, les consorts GRONDIN, ouvrent un chantier en limite de ma propriété. Après d’importants terrassements, ils engagent la construction d’un immeuble ; sans qu’apparaisse l’affichage légal d’un permis de construire… 

    * Le 18 Avril 2006 : 

    Je prends mon premier contact officiel avec l’Urbanisme réglementaire de la mairie de Saint-Denis. J’y apprends que les GRONDIN ont déposé une demande de permis de construire, le 05/12/2005. Restée sans réponse, à ce jour. 

    Du 24 au 27 Avril 2006 : 

    J’adresse, de plus en plus alarmée, 16 fax de signalement à l’Urbanisme réglementaire de la mairie de Saint-Denis, lequel ne bouge pas ! 

    * Le 27 Avril 2006 : 

    Je saisis par lettre recommandée avec accusé de réception, le maire de Saint-Denis, René-Paul VICTORIA, et je dépose plainte auprès du procureur de la République, François MUGUET (ladite plainte, réitérée, sera classée sans suite le 23/08/2007…). 

    * Le 27 Avril 2006 : 

    Sur mon signalement, un journaliste du JIR intervient auprès de l’Urbanisme réglementaire et, par ce simple fait, contraint la mairie à réagir (la construction est largement engagée : fondations, première dalle, façades, dont l’une en limite extrême de ma propriété…). 

    * Le 27 Avril 2006 : 

    10 jours de « réflexion » y ont été nécessaires, mais les choses se précipitent :

    -          Brigitte LAMY, directrice de l’Urbanisme réglementaire, ainsi que la police municipale, viennent sur place « constater » l’illégalité du chantier et le non respect du PLU de Saint-Denis ;

    -          un arrêté interruptif de travaux est pris, le jour même, contre ce chantier. 

    * Le 30 Avril 2006 : 

    Sous le titre « permis tardif mais bafoué », le JIR révèle l’histoire… 

    * Le 04 Mai 2006 : 

    La demande de permis de construire, déposée le 05/12/2005 est rejetée sous la signature de l’adjoint délégué à l’urbanisme de la mairie, Dominique FOURNEL – entre autres motifs du refus, « pour incohérence » (sic). 

    * Le 06 Juin 2006 : 

    Un courrier de Dominique FOURNEL me confirme, par le détail, les dispositions prises contre cette réalisation ; hormis la démolition de l’existant hors la loi… Le chantier reste en sommeil pendant les 8 mois qui suivent. Il se confirme qu’aucune décision n’est prise pour faire procéder à la destruction de ce qui existe, illégal, irrégulier (ô combien !) et… « incohérent » (sic).

    * Le 26 Novembre 2006 :

     Je m’absente du département et ne rentrerai que le 03 Mars 2007 (ce détail a une importance capitale dans ce qui va suivre).  

    * Le 27 Décembre 2006 : 

    Un permis de construire, signé Dominique FOURNEL, est délivré aux GRONDIN. Manœuvre ayant pour but de permettre à ces derniers de continuer les travaux engagés hors lois et règles.

    Présenté, administrativement, comme un « projet » grâce à la complicité, es qualité, d’un architecte et par le biais d’un faux, établi de concert par les GRONDIN et leur artisan (entreprise SINABAT). Soit un « procès-verbal de commencement de travaux » qui, en date du 03/01/2007, atteste que le chantier « …débute le 03/01/2007 », 7 jours après l’attribution du permis de construire du 27/12/2006, un an après le vrai « commencement de travaux » le 03/12/2005 (c’est très grossier, mais ces nouveaux délits feront foi et donneront satisfaction – on le verra –  à Francis CARBONEL, président du tribunal administratif). 

    * Le 07 Mars 2007 : 

    Je saisis le tribunal administratif de ce qui précède, présentant 2 requêtes en référé suspension et 1 requête en annulation du permis de construire du 27/12/2006. L’affaire a été jugée par le Tribunal Administratif du 07 Mars 2007 au 15 Novembre 2007. Je suis déboutée partout, partout ! par le président Francis CARBONNEL, lequel complète son œuvre en me condamnant à verser 1000 Euros de « dédommagement » à la mairie de René-Paul VICTORIA. La décision se veut dissuasive… 

                                       

                                               **************** 

     

    Ainsi débute le Volet Pénal de ce qui va devenir l’ « affaire Juliette CARANTA-PAVARD » (sic) par la subtile et souveraine définition du procureur général Raymond DOUMAS (confirmée par son courrier du 25/11/2008). Il n’y a plus, il n’y a jamais eu, une « affaire GRONDIN/VICTORIA/ANNETTE ». Pourquoi Gilbert ANNETTE ? Parce que le successeur de René-Paul VICTORIA à la mairie de Saint-Denis a eu à cœur d’accompagner de sa bienveillance l’achèvement de l’immeuble GRONDIN, objet d’une procédure pour le délit de non-conformité auprès du procureur de la République, Richard BOMETON… 

     

                                               *****************

    Pour terminer, je crois utile d’ajouter que, ayant moi-même déposé le 04 Octobre 2004, à l’Urbanisme réglementaire de Saint-Denis, une demande de permis pour reconstruire, à l’identique, le rez-de-chaussée familial à Bellepierre, j’ai eu la surprise de découvrir un traitement de ce dossier plus que surprenant de rigueur. J’ai dû, alors, affronter les très lourdes tracasseries de la directrice de l’Urbanisme réglementaire, Brigitte LAMY, ce, avant, pendant et après la réalisation de ce projet (lequel avait été programmé et conduit de ma part, en parfaite transparence administrative et légale). Je ne comprenais pas pourquoi… Jusqu’à la révélation des actes délictueux de mes voisins GRONDIN et des délits avérés de leur « protecteurs » de la mairie de Saint-Denis (le député maire René-Paul VICTORIA et son successeur à la mairie Gilbert ANNETTE) qui m’ont prouvé que tous les dossiers de permis de construire n’étaient pas traités d’égale façon, bien loin s’en faut !! 

    Sans conteste, l’ « amitié » s’en mêlait… 

    Suffoquée par la découverte de cette incroyable discrimination, je me suis appliquée – confiante en la JUSTICE de mon pays – à prospecter TOUS les moyens susceptibles de rétablir DROIT et égalité de traitement dans cette première affaire. EN VAIN ! 

    INEXPLICABLEMENT – au nom du DROIT ! – j’ai été – je le répète – déboutée partout, partout ! Et, par surcroit, persécutée à l’infini par un ennemi innombrable, et lourdement condamnée, en « coupable ébahie…, sur plainte des voyous municipaux (René-Paul VICTORIA, député maire, Dominique FOURNEL, élu en charge de l’Urbanisme réglementaire, Etienne CHARRITAT, directeur général des services et, accessoirement, président de l’ordre des architectes…) et Brigitte LAMY, directrice de l’Urbanisme réglementaire !!). La JUSTICE-PEÏ parlait… 

    Engagée en résistance et en justes dénonciations, seule, face à tous les pouvoirs locaux, ayant uni leurs efforts et rassemblé leurs moyens pour me « calmer » (sic, Police nationale, janvier 2008), j’ai enfin compris qu’à partir de ce cas particulier – « Un problème de voisinage » (sic) m’assurait le préfet MACCIONNI dans son courrier du 07/09/2007 – nous allions vers un « général » explosif touchant les très graves dérives urbanistiques de TOUT le département ! 

    J’ai enfin compris qu’il était URGENT pour ces pouvoirs de continuer à les camoufler, à n’importe quel prix. Au risque, sinon, de nuire, par l’application de la Loi, à l’économie souterraine de l’île. 

    Au risque, aussi, et ce n’est pas anodin, de mettre au grand jour le rôle des pouvoirs locaux dans la pérennisation de ce système frauduleux. Rôle compromettant gravement l’ÉTAT et ses services (DDE, Services fiscaux, police, etc…), la JUSTICE (ordre administratif  et judiciaire, bras armés de la corruption…), l’ÉGLISE CATHOLIQUE (…) et les MÉDIAS (en particulier la presse écrite, JIR et QUOTIDIEN, férocement concurrents, mais unis dans ce cas par une complicité de silence sans faille… L’OMERTA). 

    Alors, comment comprendre, autrement, qu’une JUSTICE-PEÏ si douloureusement privée de moyens tels qu’encre, papier, codes, juges, greffiers, etc… (V. articles du JIR et du Quotidien novembre 2010) en ait engagés de si lourds et de si spectaculaires (en une absolue discrétion, il est vrai…) depuis mars 2007… 

     

                   …Juste pour me faire taire ???

                         Juliette CARANTA-PAVARD – St DENIS le 10 Décembre 2010

     

    N.B. : LE 26 Avril 2011, j’ai fait tenir par FAX, ce document assorti du commentaire suivant : « La copie de ce document, en 5 pages, a été transmise à Sabine ENCONTRE, «  Rapporteur Public » alias « Commissaire du Gouvernement », en 2007. Tous les deux vendus au « sistèma », elle a été la complice du Président (du T.A. …) Francis CARBONNEL dans les « jugements » proclamés en faveur du tueur de femme, Hilaire GRONDIN, protégé en ses délits par le Député-Maire, René-Paul VICTORIA. »  aux  destinataires suivants :  

    *Jean BRENIER – Président du Tribunal Administratif de la Réunion

    *Michel LALANDE – Préfet de la Réunion

    *Denis ROBERT-CHARRERAU – Procureur Général de la Réunion

    *Gilbert AUBRY – Président de la commission « Justice et Paix » de la Réunion

    *Le J.I.R. – Journal de l’Île de la Réunion

    *Le QUOTIDIEN

    *Et Libre Diffusion.

     

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